ANDROSTANOLONE
ANDROSTANOLONE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 21/3/2000
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
- Bibliographie
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
HYDROXY-17BETA OXO-3 5ALPHA-ANDROSTANEEnsemble des dénominations
BAN : STANOLONE
CAS : 521-18-6
DCIR : ANDROSTANOLONE
autre dénomination : DIHYDROTESTOSTERONE
autre dénomination : STANOLONE
bordereau : 628
rINN : ANDROSTANOLONE
sel ou dérivé : ANDROSTANOLONE BENZOATEClasses Chimiques
Molécule(s) de base : ANDROSTANOLONE
- HORMONE (principale certaine)
- ANDROGENE (principale certaine)
- ANABOLISANT (principale certaine)
- STEROIDE ANABOLISANT (principale certaine)
- ANTIGONADOTROPE (secondaire certaine)
A FORTES DOSES, INHIBE LA SECRETION DE LH.
Mécanismes d’action
- principal
Contrôle l’apparition et le maintien des caractères sexuels secondaires mâles.
Stimule la synthèse protéique (accroit la masse musculaire, stimule la croissance de la matrice osseuse, positive la balance azotée).
Action anabolisante plus marquée que l’activité androgène. - secondaire
Entraine une rétention hydrosaline.
A fortes doses, inhibe la secrétion des gonadotrophines hypophysaires: entraine une atrophie testiculaire et ovarienne.
- ANDROGENE (principal)
- ANABOLISANT (principal)
- STIMULANT DE L’HEMATOPOIESE (principal)
CETTE STIMULATION S’EXERCE ESSENTIELLEMENT SUR L’ERYTHROPOIESE, LES EFFETS SUR LA GRANULOPOIESE ET LA THROMBOPOIESE SONT PLUS INCONSTANTS.
- HYPOGONADISME MASCULIN (principale)
Hypogonadotrope (origine haute) ou hypergonadotrope (origine testiculaire) si sa cause permet un traitement substitutif.
Egalement insufisance transitoire en testostérone après intervention ou stress. - APLASIE MEDULLAIRE (principale)
Primitive ou toxique, surtout efficace dans les formes quantitatives de sévérité modérée. - GYNECOMASTIE (principale)
Gynécomasties non dysgénétiques et gynécomasties idiopathiques:
– Presse Med 1983;12:21-24.