ETODOLAC
ETODOLAC
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/10/1998
Etat : valide
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
- Bibliographie
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
ACIDE DIETHYL-1,8 TETRAHYDRO-1,3,9 PYRANNE[3,4,6] INDOLYL-1 ACETIQUEEnsemble des dénominations
BAN : ETODOLAC
CAS : 41340-25-4
DCF : ETODOLAC
DCIR : ETODOLAC
USAN : ETODOLAC
bordereau : 2777
code exprimentation : AY 24236
dci : todolac
rINN : ETODOLACClasses Chimiques
Regime : liste II
Remarque sur le regime : JO 26/11/1997
- ANTIINFLAMMATOIRE (principale certaine)
- ANTIINFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN (principale certaine)
- ANALGESIQUE (principale certaine)
- ANALGESIQUE PERIPHERIQUE (principale certaine)
- ANTIPYRETIQUE (principale certaine)
Mécanismes d’action
- principal
Les diffrentes proprits sont probablement lies l’effet inhibiteur de la cyclo-oxygnase.
– Clin Pharm Ther 1985;35:716-721.
Inhibition de la synthse des prostaglandines.
Inhibition de l’agrgation plaquettaire.
- ANTIINFLAMMATOIRE (principal)
- ANTALGIQUE (principal)
- RHUMATISME INFLAMMATOIRE (principale)
Traitement systmatique. - ARTHROSE (principale)
Traitement symptomatique des pousses aigus. - RHUMATISME ABARTICULAIRE (principale)
Traitement symptomatique des pousses aigus. - DOULEUR POSTOPERATOIRE (principale)
Traitement symptomatique.
- CREATININEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
- ERUPTION CUTANEE (CERTAIN TRES RARE)
- NAUSEE (CERTAIN FREQUENT)
- VOMISSEMENT (CERTAIN RARE)
- DOULEUR EPIGASTRIQUE (CERTAIN FREQUENT)
- DOULEUR ABDOMINALE (CERTAIN RARE)
- DIARRHEE (CERTAIN RARE)
- TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
- CEPHALEE (CERTAIN RARE)
- VERTIGE (CERTAIN RARE)
- AGRANULOCYTOSE (A CONFIRMER )
Un cas :
– Ann Pharmacother 1994;28:458-460.
Un cas chez un sujet ag :
– Ann Pharmacother 1994;28:458-460. - HEPATITE FULMINANTE (A CONFIRMER )
Un cas, chez une femme traite depuis quatre mois :
– Am J Gastroenterol 1995;90:659-661. - COLITE AIGUE (A CONFIRMER )
Deux cas :
– J Clin Gastroenterol 1997;25:367-368. - STENOSE DU COLON (A CONFIRMER )
Un cas rapport de stnose bnigne du colon :
– Am J Gastroenterol 1998;93:120-121.
- ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
- GASTRITE
- HERNIE HIATALE
- INSUFFISANCE CARDIAQUE SEVERE
- CIRRHOSE
- SYNDROME NEPHROTIQUE
- LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE
- SUJET AGE
- ULCERE GASTRODUODENAL
- HEMORRAGIE DIGESTIVE
- HYPERSENSIBILITE A L’ASPIRINE
Il existe une allergie associe entre l’aspirine et les antiinflammatoires non strodiens chez les sujets prsentant un syndrome de Fernand Widal (asthme, rhinite vasomotrice, polypes nasaux) dclench par l’aspirine. - HYPERSENSIBILITE A CETTE SUBSTANCE
- ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
- INSUFFISANCE RENALE SEVERE
- INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE SEVERE
- GROSSESSE
- ALLAITEMENT
Voies d’administration
Posologie et mode d’administration
Dose usuelle par voie orale chez l’adulte:
Deux six cents milligrammes par jour en 2 prises au cours des repas.
Dans les tats inflammatoires non articulaires, le traitement sera de courte dure.
Dans les tats comportant un risque infectieux,
l’utilisation sera prudente en raison de la diminution des dfenses naturelles de l’organisme contre l’infection.Surveillance du traitement:
Sueveillance clinique des signes d’hypersensibilit et des signes digestifs d’intolrance: leur apparition
ncessite l’arrt immdiat du traitement.
Surveillance de la fonction rnale en cas d’hypoperfusion rnale ou d’hypovolmie.
Pharmaco-Cinétique
– 1 –
DEMI VIE
7
heure(s)
– 2 –
ELIMINATION
RENALE
voie rnale
– 3 –
ELIMINATION
FECALE
voie fcaleAbsorption
Pic plasmatique atteint 1 2 heures aprs prise orale, de 12 15 microgrammes par ml aprs une dose orale de 200 mg.
Biodisponibilit: 75%.
Répartition
Liaison aux protines plasmatiques: 99%.
– Drugs Metabol Rev 1981;12:339.
L’isomre actif de l’etodolac est prsent dans le liquiode synovial des concentrations doubles des concentrations plasmatiques.
– J Clin Pharmacol 1991;31:741-746.
Demi-Vie
Elimination en 2 phases:
1re phase: 3 heures.
2me phase:7 heures;
– N Eng J Med 1991;324:1716-1725.
Ne semble pas allonge en cas d’insuffisance rnale; non modifie chez le sujet g.
– Clin Pharm Ther 1986;39:550.
Métabolisme
Forpation de drivs glycuroconjugus.
Elimination
Voie rnale:
60% de la dose administre sont limins par les urines en 24 heures, et 90% en 7 jours.
Voie fcale.
Bibliographie
– Drugs 1986;31:288-300. (REVUE GENERALE)
– Pharmacotherapy 1986;6:199-205.
– Drugs 1991;42: 274-299.
– Drug Saf 1993;8:99-127. (INTERACTIONS)* Revue des interactions avec les AINS.
– Clin Pharmacol Ther 1988;43:571-576.
– Hum Toxicol 1988;7:203-204.
Spécialités
Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr
Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
-
Attention ! Donnes en date de janvier 2000.
- ECRIDOXAN (GRECE)
- ETANAL (COREE DU SUD)
- HYPHEN (JAPON)
- LODINE (ANGLETERRE)
- LODINE (ITALIE)
- LODINE (MEXIQUE)
- LODINE (SUISSE)
- LODINE (USA)
- LODINE (VENEZUELA)
- LONINE (GRECE)
- OSTELUC (JAPON)
- RAMODAR (ANGLETERRE)
- TEDOLAN (DANEMARK)
- ZEDOLAC (ITALIE)