PREDNISOLONE

PREDNISOLONE

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 21/12/2000
Etat : valide

  • Identification de la substance
  • Propriétés Pharmacologiques
  • Mécanismes d’action
  • Effets Recherchés
  • Indications thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie & mode d’administration
  • Pharmaco-Cinétique
  • Bibliographie
  • Spécialités contenant la substance

    Identification de la substance

    Formule Chimique :
    11 bta,17 alpha,21-trihydroxyprgna-1,4-dine-3,20-dione

    Ensemble des dénominations

    BAN : PREDNISOLONE

    CAS : 50-24-8

    DCF : PREDNISOLONE

    DCIR : PREDNISOLONE

    autre dnomination : DEHYDROCORTISOL

    autre dnomination : DELTA F

    autre dnomination : DELTA1-DEHYDRO-HYDROCORTISONE

    autre dnomination : DELTAHYDROCORTISONE

    autre dnomination : METACORTANDRALONE

    bordereau : 32

    code exprimentation : NSC-9120

    dci : prednisolone

    liste OMS : liste 1

    rINN : PREDNISOLONE

    sel ou driv : METHYLPREDNISOLONE ACETATE

    sel ou driv : METHYLPREDNISOLONE HEMISUCCINATE

    sel ou driv : PREDNISOLONE ACETATE

    sel ou driv : PREDNISOLONE CAPROATE

    sel ou driv : PREDNISOLONE METASULFOBENZOATE SODIQUE

    sel ou driv : PREDNISOLONE PHOSPHATE SODIQUE

    sel ou driv : METHYLPREDNISOLONE

    sel ou driv : DESONIDE

    Classes Chimiques

    Molécule(s) de base : PREDNISOLONE

    Regime : liste I

    1. ANTIINFLAMMATOIRE (principale certaine)
    2. ANTIINFLAMMATOIRE STEROIDIEN (principale certaine)
    3. IMMUNOSUPPRESSEUR (principale certaine)
    4. GLUCOCORTICOIDE (principale certaine)

    Mécanismes d’action

    1. principal
      L’hormone :
      – diffuse travers la membrane cellulaire.
      – se lie un rcepteur cytosolique formant un complexe avec des protines de chocs thermiques (HSP 90 et 70) et une immunophiline p59. Aprs dimrisation, le complexe strode rcepteur se lie des squences de DNA spcifiques (lments de rponse aux corticodes ou GRE).
      – module la transcription des gnes sensibles aux corticodes par une interaction avec des facteurs de transcription (protines cytoplasmiques ou nuclaires).
      – augmente la transcription et/ou la stabilit du RNAm codant pour des protines responsables de l’action des glucocorticodes.
      – rprime certains gnes au niveau transcriptionnel en interagissant avec les facteurs nuclaires ncessaires l’activation de ces gnes.
      – augmente la dgradation du RNAm ou inhibe la synthse ou la scrtion des protines ou des cytokines.

      Les effets bilogiques de l’action anti-inflammatoire se traduisent par :
      – inhibition de la permabilit vasculaire qui permet le recrutement des globules blancs vers le site de l’inflammation.
      – inhibition des vnements molculaires lis l’activation des globules blancs et leur adhsion aux cellules endothliales :
      * expression du complexe majeur d’histocompatibilit type II,
      * expression des molcules d’adhsion cellulaire (ELAM 1, ICAM 1),
      * la scrtion des protines du complment C3 et le facteur B,
      * l’activit de l’IL1,
      * l’expression des cycloexognases de type 2 (cox2) prvenant ainsi la production de prostaglandines,
      * la production des mtabolites de l’acide arachidonique pro-inflammatoire (inhibe l’activit de la phospholipase A2 en stimulant la synthse de lipocortine ou annexine I).
      – blocage de la scrtion d’IL 1, IL 6, TNF alpha.
      – diminution de la production et du largage des leucotrines.
      – dpression de l’activit tumoricide et bactride des macrophages et leur diffrenciation.
      – effet immunosuppresseur sur les lymphocytes T et inhibition de la scrtion des cytokines par ces lymphocytes T.
      – inhibition de la prolifration des lymphocytes B et des cytokines impliques dans la synthse des immunoglobulines(IL 1 IL 6).
      Rfrences bibliographiques :
      – Immunol Rev 1980;51:337-357.
      – J Immunol 1980;124:2828-2833.
      – Prog Biochem Pharmacol 1985;20:55-62.
      – Am Rev Respir Dis 1990;141,Suppl:18-21.
      – Med Sci 1990,10:1003-1006.
      – Eur J Immunol 1990;20:2439-2443.
      – Proc Natl Acad Sci USA 1992;89:3917-3921.
      – J Neuroimmunol 1992;40:281-286.
      – Science 1992;258:1598-1604.
      – Ann Intern Med 1993;119:1198-1208.

    2. secondaire
      * activit granylate cyclase du rcepteur qui altre le potentiel lectrique des cellules.
      * stimulation de la reproduction des cellules alvolaires de type II augmentant la production de surfactant pulmonaire :
      – J Clin Invest 1980;66:504-510.
      – Radiat Res 1988;115:543-549.
      – Radiat Res 1988;113:112-119.

    1. ANTIINFLAMMATOIRE (principal)
    2. IMMUNOSUPPRESSEUR (principal)
    3. ANTICANCEREUX(ADJUVANT) (principal)
    4. DIURETIQUE (accessoire)

    1. MALADIE DE CROHN (principale)
      En cas de pousse :
      – Gastroenterology 1990;98:811-818.
    2. RECTOCOLITE HEMORRAGIQUE (principale)
      – Scand J Gastroenterol 1993;28:821-826.
    3. POLYARTHRITE RHUMATOIDE (principale)
      Metaanalyse de 10 tudes en cures courtes et faibles doses, serait plus efficace que les AINS:
      – BMJ 1998;316:811-818.
      L’opportunit de ce traitement est conteste cause de ses effets secondaires:
      – BMJ 1998;316:789-790.
    4. COLLAGENOSE (principale)
    5. MALADIE DE HORTON (principale)
      – Drugs 1993;46:263-268.
    6. DOULEUR RHUMATISMALE (principale)
    7. ASTHME (principale)
    8. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE (principale)
    9. FIBROSE PULMONAIRE (principale)
      Fibrose pulmonaire idiopathique, en asociation avec la prednisolone par voie orale. Amlioration chez 18 malades traits pendant plus de 12 mois :
      – N Engl J Med 1999;341:1264-1269.
      – N Engl J Med 1999;341:1302-1304.
    10. SARCOIDOSE (principale)
    11. SYNDROME DE LOEFFLER (principale)
    12. MONONUCLEOSE INFECTIEUSE (principale)
    13. HEMOPATHIE MALIGNE (principale)
    14. LEUCEMIE (principale)
    15. MALADIE DE HODGKIN (principale)
    16. PURPURA (principale)
    17. ANEMIE HEMOLYTIQUE (principale)
    18. ASCITE (principale)
      Au cours des cirrhoses
    19. HEPATITE VIRALE (principale)
    20. HEPATITE CHRONIQUE A VIRUS C (information ngative)
      Pas d’effet virologique dcel dans un essai randomis (prednisolone par voie orale) vs placebo chez des malades ensuite traits par interfron alfa :
      – J Hepatol 2000;33:135-141.
    21. HEPATITE CHRONIQUE A VIRUS B ( confirmer)
      Essai randomis vs placebo chez des malades devant tre traits par interfron. L’administration pralable de prednisolone augmenterait l’efficacit du traitement en cas d’infection par un virus B mutant :
      – J Hepatol 2000;32:829-836.
    22. REACTION ALLERGIQUE (principale)
    23. REACTION MEDICAMENTEUSE (principale)
    24. MALADIE SERIQUE (principale)
    25. REACTION TRANSFUSIONNELLE (principale)
    26. RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU (principale)
    27. RHUMATISME INFECTIEUX (principale)
    28. SEPTICEMIE (principale)
    29. BRUCELLOSE (principale)
    30. MILIAIRE ASPHYXIQUE (principale)
    31. TUBERCULOSE GENITALE (principale)
    32. MENINGITE BACTERIENNE(ADJUVANT) (principale)
      Prvention des cloisonnements.
    33. DERMATITE ALLERGIQUE (principale)
    34. DERMATITE INFLAMMATOIRE (principale)
    35. DYSKERATOSE (principale)
    36. PRURIT (principale)
    37. CANCER METASTASE (principale)
    38. SYNDROME NEPHROTIQUE (principale)
      Syndrome nphrotique lsions glomrulaires minimes.
    39. OEDEME CEREBRAL (principale)
      Revue gnrale des essais randomiss concernant l’efficacit des corticodes dans cette indication: efficacit incertaine:
      – BMJ 1997;314:1855-1859.
    40. EXOPHTALMIE MALIGNE (principale)
    41. HYPERCALCEMIE MALIGNE (principale)
      – Lancet 1985;2:907-910.
    42. HEPATITE ALCOOLIQUE (secondaire)
      Formes graves :
      – N Engl J Med 1992;326:507-572.
      Formes avec encphalopathie :
      – Am J Hosp Pharm 1994;51:347-353.
    43. CIRRHOSE BILIAIRE PRIMITIVE ( confirmer)
      Trs controvers :
      – J Hepatol 1992;15:336-344.
    44. DIPHTERIE ( confirmer)
      En cas d’intubation (essai contrl positif) :
      – Lancet 1992;340:745-748.
    45. MYASTHENIE ( confirmer)
      Etude sur 34 patients suivis sur 3 ans (sel de prednisolone non prcis) :
      – Neurology 1998;50:1778-1783.

    1. ULCERE GASTRODUODENAL(AGGRAVATION) (CERTAIN RARE)
    2. ULCERE GASTRODUODENAL (CERTAIN TRES RARE)
    3. GASTRODUODENITE (CERTAIN FREQUENT)
    4. ULCERE GASTRIQUE (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES
      TRAITEMENT PROLONGE

      L’arrt du traitement ne sera dcid qu’en tenant compte de la maladie de fond.

    5. ULCERE DUODENAL (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES
      TRAITEMENT PROLONGE

      L’arrt du traitement ne sera dcid qu’en tenant compte de la maladie de fond.

    6. INSUFFISANCE HYPOPHYSOSURRENALE (CERTAIN FREQUENT)
    7. KALIEMIE(DIMINUTION) (CERTAIN RARE)
    8. RETENTION HYDROSODEE (CERTAIN TRES RARE)
    9. HYPERTENSION ARTERIELLE (CERTAIN TRES RARE)
      Plusieurs cas lors de la rduction progressive de la posologie, la suite d’un traitement long terme chez des enfants asthmatiques :
      – J Allerg Clin Immunol 1992;89:816-821.
    10. GLYCEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
    11. SYNDROME CUSHINGOIDE (CERTAIN FREQUENT)
    12. HYPERCORTICISME (CERTAIN FREQUENT)
    13. CATABOLISME AZOTE(AUGMENTATION) (CERTAIN FREQUENT)
    14. OSTEOPOROSE (CERTAIN TRES RARE)
    15. ATROPHIE MUSCULAIRE (CERTAIN RARE)
    16. RETARD DE CROISSANCE (CERTAIN FREQUENT)
    17. RESISTANCE AUX INFECTIONS(DIMINUTION) (CERTAIN FREQUENT)
      Effet li aux proprits glucocorticodes.
      Deux cas de pneumonie pneumocystis carinii au cours d’un traitement par la prednisolone (sel non prcis) d’un lupus rythmateux systmique :
      – Br J Rheumatol 1992;31:643-644.
    18. TROUBLE PSYCHIQUE (CERTAIN TRES RARE)
    19. EXCITATION PSYCHOMOTRICE (CERTAIN TRES RARE)
    20. PSYCHOSE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas de psychose chez une femme enceinte traite 2 semaines auparavant par une dose totale de 60 mg pour asthme :
      – Br J Psychiatry 1996;169:522.
    21. DELIRE (CERTAIN TRES RARE)
      – N Y State J Med 1981:1795.
    22. HYPERTENSION INTRACRANIENNE (CERTAIN TRES RARE)
    23. GLAUCOME CHRONIQUE (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      VOIE LOCALE
      TRAITEMENT PROLONGE

      En instillation oculaire et pommade ophtalmique.
      Traitement prolong d’un an environ.
      Disparat habituellement l’arrt du traitement.

    24. ATTEINTE OSTEOLIGAMENTAIRE (CERTAIN TRES RARE)
      Rupture du tendon d’Achille. 10 cas chez des sujets gs traits par 5 10 mg/j de prednisolone par voie orale :
      – Thorax 1991;46:853-854.
    25. RUPTURE DE TENDON (CERTAIN )
      Rupture du tendon d’Achille. 10 cas chez des sujets gs traits par 5 10 mg/j de prednisolone par voie orale :
      – Thorax 1991;46:853-854.
    26. MALADIE THROMBOEMBOLIQUE (A CONFIRMER )
    27. CATARACTE (A CONFIRMER )
    28. ACUITE VISUELLE(DIMINUTION) (A CONFIRMER )
      Rduction transitoire de l’acuit visuelle chez un sujet ayant reu successivement fluprednisolone et prednisolone :
      – Am J Ophtalmol 1991;112:605-606.
    29. DIPLOPIE (A CONFIRMER )
      Deux cas aprs une administration pridurale ou intrathcale (sel de prednisolone non prcis) :
      – Presse Med 1997;26:271.
    30. ULCERATION OESOPHAGIENNE (A CONFIRMER )
      – Gastroenterol Clin Biol 1983;7:868-876.
    31. HYPERCHOLESTEROLEMIE (A CONFIRMER )
      La prednisolone pourrait tre responsable de l’hypercholestrolmie observe chez les transplants rnaux :
      – Transplantation Proceedings 1989;21:3670-3673.
    32. MYOPATHIE (A CONFIRMER )
      Un cas sous prednisolone (sel non prcis), avec retentissement ventilatoire :
      – Am Rev Resp Dis 1992;146:800-802.
    33. MENINGITE ASEPTIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas aprs injection intradurale :
      – Presse Med 1993;22:82.
    34. OSTEONECROSE ASEPTIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas (sel de prednisolone non prcis) avec localisations multiples chez un patient trait pour une rectocolite hmorragique :
      – Gut 1994;35:132-134.

    1. SPORTIFS
      Substance soumise certaines restrictions :
      – Journal Officiel du 7 Mars 2000.
      L’administration des corticostrodes par voie orale, par voie rectale et par injection systmique est interdite.
      L’administration par inhalation et par voies anale, auriculaire, dermatologique, nasale et ophtalmologique n’est pas interdite.
      Les injections locales et intra-articulaires de corticostrodes ne sont pas interdites mais, lorsque le rglement d’une autorit responsable le prvoit, une notification peut s’avrer ncessaire.
    2. TUBERCULOSE
    3. ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
    4. ULCERE GASTRIQUE(ANTECEDENT)
    5. ULCERE DUODENAL(ANTECEDENT)
    6. DIABETE
    7. TROUBLES PSYCHIQUES
    8. OSTEOPOROSE
    9. HYPERTENSION ARTERIELLE
    10. GROSSESSE
    11. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
    12. ETAT INFECTIEUX
    13. ALLAITEMENT
      Bien qu’aucun accident n’ait t dcrit.
    14. GLAUCOME
      En raison de l’augmentation de la pression intra-oculaire.
      Terrain : sujets gntiquement prdisposs.
      Surveillance ophtalmologique rgulire en cas de traitement prolong, surtout chez les sujets gs:
      – Lancet 1997;350:979-982.
    15. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
      ALLONGEMENT DE LA DEMI-VIE PLASMATIQUE(UNE FOIS ET DEMIE LA NORMALE.NOUV.PRESSE.MED.1977,6:3209) PAR DIMINUTION DU METABOLISME HEPATIQUE, MAIS LES CONSAQUENCES CLINIQUES RESTENT A EVALUER GASTROENTEROLOGY.1986,90:819-828

    1. ULCERE GASTRODUODENAL RECENT
    2. ULCERE GASTRIQUE EVOLUTIF
    3. ULCERE DUODENAL EVOLUTIF
    4. KERATITE HERPETIQUE
    5. AMYLOSE

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    – 2 – APPLICATION CUTANEE

    – 3 – NASALE

    Posologie et mode d’administration

    Dose usuelle par voie orale chez l’adulte : 5 25 mg par jour.
    Dans les cas svres : 30 50 mg par jour, diminuer de 5 10 mg tous les 5 jours.
    Utilisable en applications locales : pommade, crme.
    Les modalits thrapeutiques sont variables suivant
    l’indication, le terrain, la tolrance.
    Ne jamais interrompre brutalement un traitement, ventuellement associer ou prendre le relais avec des AINS.
    Surveillance: Poids, TA, temprature, appareil digestif, numration globulaire, glycmie; radio de
    thorax au moindre doute.
    En cas de traitement prolong, surveillance ophtalmologique rgulire.

    Pharmaco-Cinétique

    – 1 –
    ELIMINATION
    voie rnale

    – 2 –
    ELIMINATION
    voie fcale

    – 3 –
    ELIMINATION
    voie biliaire

    – 4 –
    REPARTITION
    90
    %
    lien protines plasmatiques

    – 5 –
    REPARTITION
    lait

    Répartition
    Liaison aux protines plasmatiques : 90%.
    A faible concentration, liaison avec la transcortine et forte concentration, liaison avec l’albumine et augmentation de la forme libre.
    Interconversion en prednisone.
    Passe dans le lait.

    Demi-Vie
    Allongement de la demi-vie plasmatique en cas d’insuffisance hpatocellulaire.

    Métabolisme
    Mtabolisme hpatique :
    – rduction sur les doubles liaisons du cycle A,
    – rduction des groupes carbonyles en 3 et 20 donnant des composs inactifs.

    Elimination
    Voie rnale :
    Mtabolites sulfoconjugus et glucuroconjugus hydrosolubles.

    Voie biliaire :
    Faible partie.

    Voie fcale :
    Faible partie.

    Bibliographie

    – Clin Pharmacokinet 1990;19:126-146 (Pharmacocintique).

    Spécialités

    Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr

    Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :


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