PENICILLAMINE

PENICILLAMINE

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 11/12/2000
Etat : valide

  • Identification de la substance
  • Propriétés Pharmacologiques
  • Mécanismes d’action
  • Effets Recherchés
  • Indications thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Effets sur la descendance
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie & mode d’administration
  • Pharmaco-Cinétique
  • Bibliographie
  • Spécialités contenant la substance

    Identification de la substance

    Formule Chimique :
    3-mercapto-D-valine

    Ensemble des dénominations

    BAN : PENICILLAMINE

    CAS : 52-67-5

    DCF : PENICILLAMINE

    DCIR : PENICILLAMINE

    USAN : PENICILLAMINE

    autre dnomination : BETA-THIOVALINE

    autre dnomination : D-PENICILLAMINE

    autre dnomination : DMC

    autre dnomination : PENICILLAMINE D

    bordereau : 1311

    rINN : PENICILLAMINE

    Classes Chimiques


    Regime : liste I

    1. CHELATEUR (principale certaine)
    2. CHELATEUR DU PLOMB (principale certaine)
    3. CHELATEUR DU CUIVRE (principale certaine)
    4. ANTIINFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN (principale certaine)
    5. CHELATEUR DU MERCURE (secondaire certaine)
    6. CHELATEUR DE L’OR (secondaire certaine)
    7. CHELATEUR DU ZINC (secondaire certaine)

    Mécanismes d’action

    1. principal
      Probablement formation d’un chlate entre 2 molcules de pnicillamine et un cuivre.
      Forte augmentation de l’limination urinaire du cuivre.
      Existence d’une certaine affinit pour le plomb, le mercure et le zinc.
      Formation avec la cystine d’un complexe beaucoup plus soluble que la cystine.
    2. secondaire
      Favorise la rupture de ponts disulfures de macroglobuline.
      Ralentit l’incorporation du soufre dans les mucopolysaccharides soufrs.
      Interfre avec le mtabolisme des fibroblastes.

    1. CHELATEUR (principal)
    2. CHELATEUR DU CUIVRE (principal)
    3. CHELATEUR DU PLOMB (principal)
    4. AGENT LATHYROGENE (accessoire)

    1. MALADIE DE WILSON (principale)
      Elimine la surcharge en cuivre, prvient l’apparition des manifestations hpatiques et neurologiques.
      Rfrence dans cette indication:
      – J Hepatol 1998;29:489.
    2. POLYARTHRITE RHUMATOIDE (principale)
      Surtout dans les formes rcentes et volutives aprs chec des sels d’or :
      – Med Hyg 1978;36:4209-4217.
      Autre publication :
      – N Engl J Med 1994;330:1368-1375.
    3. POLYARTHRITE CHRONIQUE DE L’ENFANT (principale)
      – N Engl J Med 1986;314:1269-1276.
    4. INTOXICATION PAR LE PLOMB (secondaire)
    5. INTOXICATION PAR LE MERCURE (secondaire)
    6. CYSTINURIE (secondaire)
      Formation de complexes plus solubles.
      A utiliser aprs chec du traitement par diurse force et alcalinisation de l’urine :
      – Presse Med 2000;29:528-532.
    7. LITHIASE CYSTINIQUE (secondaire)
      – Nephrologie 1984;5:228-231.
      Le traitement peut tre interrompu aprs quelques annes. La rcidive est habituelle, mais non obligatoire. Etude rtrospective sur 26 cas :
      – Sem Hop Paris 1992;68,26:746-750.
      A utiliser aprs chec du traitement par diurse force et alcalinisation de l’urine :
      – Presse Med 2000;29:528-532.
    8. SCLERODERMIE ( confirmer)
      – Ann Intern Med 1982;97:652-659
    9. HEPATITE AUTO-IMMUNE ( confirmer)
    10. CIRRHOSE BILIAIRE PRIMITIVE ( confirmer)
      Indication controverse :
      – N Engl J Med 1982;306:319.
      Une tude faite en double aveugle sur plus de 200 sujets ne confirme pas l’activit :
      – N Engl J Med 1985;312:1011-1015.
      – Hepatology 1985;5:1139.
    11. CHOLANGITE SCLEROSANTE PRIMITIVE ( confirmer)
      Trs controverse, essai ngatif :
      – Gastroenterology 1988;95:1036-1042.
    12. RHUMATISME PSORIASIQUE ( confirmer)
      – Sem Hop Paris 1991;67:1028-1036.

    1. REACTION D’HYPERSENSIBILITE (CERTAIN FREQUENT)
      Stomatite, raction d’hypersensibilit, ruption cutane sont constates chez 50 80% des sujets et imposent l’arrt du traitement dans un tiers des cas.
      Un cas avec rash cutan, fivre et cphales au cours du traitement d’une maladie de Wilson :
      – Am J Gastroenterol 1994;89:442-443.
    2. ERUPTION CUTANEE (CERTAIN FREQUENT)
      Stomatite, raction d’hypersensibilit, ruption cutane sont constates chez 50 80% des sujets et imposent l’arrt du traitement dans un tiers des cas.
    3. STOMATITE (CERTAIN FREQUENT)
      Stomatite, raction d’hypersensibilit, ruption cutane sont constates chez 50 80% des sujets et imposent l’arrt du traitement dans un tiers des cas.
    4. PURPURA (CERTAIN RARE)
      Le plus souvent thrombopnie immunoallergique. Des cas de purpura thrombopnique ont galement t rapports :
      – Sem Hop Paris 1986;62:3639-3642.
    5. MICROANGIOPATHIE THROMBOTIQUE (CERTAIN TRES RARE)
    6. URTICAIRE (CERTAIN FREQUENT)
    7. LICHEN PLAN (CERTAIN TRES RARE)
      Quatorze cas rapports :
      – Pharmacotherapy 1994;14:561-571.
    8. PEMPHIGUS (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas associ une myasthnie :
      – J Am Acad Dermatol 1993;28:655-658.
      Un cas d’ruption bulleuse pemphigode:
      – Ann Pharmacother 1998;32:1368.
    9. ALOPECIE (CERTAIN RARE)
    10. DOULEUR ARTICULAIRE (CERTAIN FREQUENT)
    11. FIEVRE (CERTAIN FREQUENT)
      – Sem Hop Paris 1984;60:784.
    12. ADENOPATHIE (CERTAIN FREQUENT)
    13. LEUCOPENIE (CERTAIN FREQUENT)
    14. AGRANULOCYTOSE (CERTAIN RARE)
      Favorise par un traitement antrieur par les sels d’or :
      – Presse Med 1980;9:2255-2256.
      Un cas d’agranulocytose traite favorablement par le GM-CSF :
      – Z Rheumatol 1991;50:328-329.
    15. THROMBOPENIE (CERTAIN RARE)
      Le plus souvent immuno-allergique.
      Un cas de trhrombopnie immune, aprs un an de traitement. Rversible l’arrt du traitement :
      – Internal Med 1992;31:244-345.
    16. EOSINOPHILIE (CERTAIN FREQUENT)
    17. ANEMIE HYPOCHROME (CERTAIN RARE)
      Par carence en fer.
    18. ANOREXIE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTE DOSE
    19. DYSGUEUSIE (CERTAIN )
      – Prescrire 1992;12:245.
      Autre publication (revue sur les agueusies d’origine iatrogne) :
      – Adv Drug React Toxicol Rev 1992;11:229-239.
    20. NAUSEE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTE DOSE
    21. VOMISSEMENT (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTE DOSE
    22. DOULEUR ABDOMINALE (CERTAIN FREQUENT)
    23. PROTEINURIE (CERTAIN RARE)
      11 cas, en l’absence de syndrome nphrotique :
      – Clin Rheumatol 1992;11:216-219.
    24. SYNDROME NEPHROTIQUE (CERTAIN RARE)
      Gnralement rversible l’arrt du traitement. La rintroduction prudente du produit est souvent possible :
      – Rhumatologie 1980;32:13-18.
    25. SYNDROME DE GOODPASTURE (A CONFIRMER )
      Un cas avec glomrulonphrite ncrotique et hmoptisie :
      – Nephrol Dial Transplant 1995;10:1925-1928.
    26. GLOMERULONEPHRITE EXTRAMEMBRANEUSE (CERTAIN RARE)
      Gnralement rversible l’arrt du traitement. La rintroduction prudente du produit est souvent possible :
      – Rhumatologie 1980;32:13-18.
      Un cas de glomrulonphrite prolifrative extra-capillaire :
      – Nephrol Dial Transpl 1992;7:161-164.
      Un cas associant syndrome lupique et glomrulonphrite prolifrative :
      – Br J Rheumatol 1993;32:251-253.
    27. GLOMERULONEPHRITE EXTRACAPILLAIRE (CERTAIN TRES RARE)
      – Am J Nephrol 1993;13:286-288.
      Glomrulonphrite extracapillaire chez un patient atteint de sclrodermie, une vingtaine d’autres cas cits :
      – Am J Nephrol 1997;17:528-532.
      Un cas dcrit chez une malade atteinte de sclrodermie, 26 cas cits :
      – Nephrologie 1998;19:25-32.
      Un nouveau cas, rgrssif sous traitement corticodes-immunosuppresseur, ce serait le 31me cas:
      – Presse Med 1999;28:689-690.
    28. INSUFFISANCE RENALE (CERTAIN RARE)
      Glomrulonphrite extracapillaire chez un patient atteint de sclrodermie; une vingtaine d’autres cas cits:
      – Am J Nephrol 1997;17:528-532.
    29. CEPHALEE (CERTAIN RARE)
    30. OEDEME (CERTAIN RARE)
    31. AGUEUSIE (CERTAIN RARE)
    32. POLYNEVRITE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
    33. BLOC NEUROMUSCULAIRE (CERTAIN TRES RARE)
    34. CRAMPE (CERTAIN TRES RARE)
    35. DYSTONIE AIGUE (A CONFIRMER )
      3 cas au cours de traitement de maladie de Wilson:
      – Eur Neurol 1998;39:32-37.
    36. ANTICORPS ANTI-INSULINE (CERTAIN TRES RARE)
      Deux cas :
      – Am J Med 1985;78:857-860.
      – Ann Intern Med 1986;104:127.
    37. MYASTHENIE (CERTAIN RARE)
      150 cas rapports dans la littrature jusqu’en 1995. Cliniquement identique la myasthnie idiopathique, elle rgresse habituellement l’arrt du traitement. Prsence d’anticorps anti-rcepteurs de l’actylcholine :
      – Presse Med 1985;14:2336-2340.
      Autre rfrence :
      – Sem Hop Paris 1988;64:961-965.
      Pourrait apparatre chez 7 % des sujets aprs 5 9 mois de traitement :
      – Clin Rheumatol 1994;13:586-588.
      Revue de cet effet secondaire:
      – Pharmacother 1997;17:1220-1232
    38. ANTICORPS ANTIDNA(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
      – Presse Med 1984;13:2755-2760.
    39. SYNDROME LUPIQUE (CERTAIN RARE)
      Un cas avec ruption bulleuse gnralise (type II) :
      – Br J Dermatol 1997;136:474-475.
      – Sem Hop Paris 1989;65:2195-2203.
      Un cas associant syndrome lupique et glomrulonphrite prolifrative :
      – Br J Rheumatol 1993;32:251-253.
      Un cas avec ruption bulleuse gnralise (type II) :
      – Br J Dermatol 1997;136:474-475.
    40. CARENCE IMMUNITAIRE (CERTAIN )
      Dficit en IgA :
      – Lancet 1976;2:804-805.
    41. DERMATOMYOSITE (CERTAIN TRES RARE)
      – Sem Hop Paris 1986;69:399-403.
    42. HEPATITE CHOLESTATIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      – JAMA 1981;246:674.
      – Clin Exp Rheumatol 1985;3:337-339.
    43. MYOSITE (CERTAIN )
      – Am J Med 1984;77:719-722.
    44. BRONCHIOLITE OBLITERANTE (CERTAIN TRES RARE)
      25 cas ont t rapports, habituellement irrversibles :
      – Sem Hop Paris 1985;61:3055-3060.
    45. PNEUMONIE AIGUE (CERTAIN RARE)
      – Clin Chest Med 1990;11:139.
    46. FIBROSE PULMONAIRE (CERTAIN RARE)
      – Clin Chest Med 1990;11:139.
    47. PLEURESIE (A CONFIRMER )
      Un cas :
      – J Clin Pharm Ther 1996;21:15-17.
    48. POLYMYOSITE (A CONFIRMER )
      Un cas associant bloc auriculo-ventriculaire et polymyosite, rversible l’arrt du traitement :
      – Eur Heart J 1989;10:1041-1044.
      Un cas l’origine d’un bloc auriculo-ventriculaire complet :
      – Clin Rheumatol 1994;13:80-82.
    49. BLOC AURICULOVENTRICULAIRE (A CONFIRMER )
      Un cas associant bloc auriculo-ventriculaire et polymyosite, rversible l’arrt du traitement :
      – Eur Heart J 1989;10:1041-1044.
    50. LEUCEMIE LYMPHOIDE CHRONIQUE (A CONFIRMER )
      – Lancet 1978;2:152.
    51. COLITE AIGUE (A CONFIRMER )
      Un cas :
      – Br Med J 1979;2:367.
    52. SYNDROME MYOTONIQUE (A CONFIRMER )
    53. HEPATOMEGALIE (A CONFIRMER )
    54. ICTERE (A CONFIRMER )
    55. BILIRUBINEMIE CONJUGUEE(AUGMENTATION) (A CONFIRMER )
    56. BSP(RETENTION) (A CONFIRMER )
    57. PHOSPHATASES ALCALINES(AUGMENTATION) (A CONFIRMER )
    58. HEPATITE GRANULOMATEUSE (A CONFIRMER )
      – Presse Med 1979;8:212.
    59. NEUROPATHIE PERIPHERIQUE (A CONFIRMER )
      Neuropathie sensitivo-motrice des quatre membres, prvenue par la pyridoxine :
      – Ann Intern Med 1981;95:458-459.
      Un cas se manifestant par une grande faiblesse musculaire trs lentement rversible l’arrt du traitement :
      – Acta Neurol Scand 1990;81:188-190.
    60. COLORATION DES ONGLES (A CONFIRMER )
      Coloration jaune :
      – Acta Dermatol Venerol 1983;63:554.
    61. ANEMIE APLASTIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas mortel :
      – Am Rheum Dis 1989;48:609-610.
    62. GLYCEMIE(DIMINUTION) (A CONFIRMER )
      Un cas chez un sujet prsentant des anti-corps anti-insuline (autoimmune insuline syndrome) :
      – Horm Res 1992;37:78-80.
    63. SCLERODERMIE GENERALISEE (A CONFIRMER )
      Un cas aprs traitement long terme chez un enfant:
      – Br J Dermatol 1987;116:95-100
      Un cas d’aggravation d’une sclrodermie aprs 4 mois de traitement:
      – Clin Drug Invest 1998;15:61-63.

    1. FOETOPATHIE
      Risque d’hypotrophie, d’hyperlaxit cutane, hernie inguinale bilatrale, contracture en flexion des membres infrieurs :
      – N Eng J Med 1977;296,1:54-55.

    1. INSUFFISANCE RENALE
    2. PORPHYRIE CUTANEE

    1. MYASTHENIE
    2. GROSSESSE
      Risque d’hypotrophie, d’hyperlaxit cutane, hernie inguinale bilatrale, contracture en flexion des membres infrieurs :
      – N Eng J Med 1977;296,1:54-55.
    3. ALLAITEMENT
      Quelques cas d’effets secondaires graves avec un mdicament de cette famille biochimique (drivs thiols).
    4. LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE
    5. DERMATOSE EVOLUTIVE
      Ne pas utiliser en cas de dermatoses svres.
    6. ALLERGIE A LA PENICILLINE
    7. TROUBLES HEMATOLOGIQUES
      Ne pas utiliser en cas de troubles hmatologiques graves.
    8. NEPHROPATHIE SEVERE
      Nephropathies hmaturiques et protinuriques.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie et mode d’administration

    Doses usuelles par voie orale :

    * Dans la maladie de Wilson :
    La posologie sera adapte en fonction de l’excrtion urinaire du cuivre.
    De zro gramme soixante quinze deux grammes par jour en plusieurs prises. L’augmentation des doses au-del de trois
    grammes par jour n’amliore pas l’limination du cuivre.
    Associer avec un rgime pauvre en cuivre et avec une rsine changeuse de cations afin de rduire l’absorption du cuivre alimentaire.

    * Dans la cystinurie :
    – chez l’adulte :
    Un deux grammes
    par jour en quatre prises pour la dissolution des calculs.
    Sept cent cinquante milligrammes par jour en une prise vesprale pour la prvention des calculs.
    – chez l’enfant :
    Trente milligrammes par kilo de poids corporel en quatre prises. Traitement
    rserver aux lithiases rcidivantes et rsistant aux traitements habituels.

    * Dans la polyarthrite rhumatode chez l’adulte :
    Commencer par 300 milligrammes, puis augmenter tous les mois la posologie sans dpasser 900 milligrammes par jour.
    Surveiller
    l’hmogramme, la fonction rnale et la protinurie, ainsi que l’apparition d’anticorps anti DNA.

    Dans l’intoxication par le plomb chez l’enfant, des doses de 15 mg/kg seraient suffisantes tout en rduisant la frquence des effets secondaires :
    – Ann
    Pharmacother 2000;34:15-18.

    Pharmaco-Cinétique

    – 1 –
    DEMI VIE
    48
    heure(s)

    – 2 –
    ELIMINATION

    Absorption
    Rapidement absorbe par le tube digestif.

    Répartition
    Taux sanguin maximum entre 30 min et 2 heures aprs l’administration.
    Une faible fraction reste lie aux protines.

    Demi-Vie
    La demi-vie d’limination est d’environ 48 heures.
    Comprise entre 7 heures et 4 jours :
    – Biopharm Drug Dispos 1979;1:73.

    Métabolisme
    Subit une oxydation du SH conduisant la formation d’un disulfure soit entre 2 restes de penicillamine, soit entre une molcule de pnicillamine et une de cystine.

    Elimination
    * Voie rnale : Elimination rapide.

    Bibliographie

    – Br Med J 1979;1,6176:1464-1465.
    – Biopharm Drug Dispos 1979;1:73-95.
    – Clin Pharmacokinet 1987;13:317-333. (PHARMACOCINETIQUE)
    – Concours Med 1982;12:1857-1862. (REVUE GENERALE)
    – Reactions 1983;77:1113:317-333. (PHARMACOCINETIQUE)
    – Concours Med
    1982;12:1857-1862. (REVUE GENERALE)
    – Reactions 1983;77:11.
    – Drug Saf 1993;8:99-127. (INTERACTIONS)* Revue des interactions avec les AINS.
    – Drug Saf 1994;11:21-36. (EFFETS SECONDAIRES)*
    – Drug Saf 1995;13:219-227. (EFFETS SECONDAIRES)*

    Spécialités

    Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr

    Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :


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