OPIPRAMOL DICHLORHYDRATE
OPIPRAMOL DICHLORHYDRATE
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 5/4/2001
Etat : valide
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Pharmaco-Dépendance
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
dichlorhydrate de 4-[3-(5H-dibenz[b,f]azpin-5-yl)propyl]-1-piprazine thanolEnsemble des dénominations
BANM : OPIPRAMOL HYDROCHLORIDE
CAS : 909-39-7
USAN : OPIPRAMOL HYDROCHLORIDE
autre dnomination : CHLORHYDRATE D’OPIPRAMOL
autre dnomination : DICHLORHYDRATE D’OPIPRAMOL
autre dnomination : OPIPRAMOL CHLORHYDRATE
bordereau : 1557
code exprimentation : G-33040
rINNM : OPIPRAMOL HYDROCHLORIDEClasses Chimiques
Molécule(s) de base : OPIPRAMOL
- PSYCHOANALEPTIQUE (principale certaine)
- ANTIDEPRESSEUR (principale certaine)
- ANTIDEPRESSEUR TRICYCLIQUE (principale certaine)
- TRANQUILLISANT (secondaire certaine)
- ANTICHOLINERGIQUE CENTRAL ET PERIPHERIQUE
Mécanismes d’action
- principal
Le mcanisme d’action du dichlorhydrate d’opipramol est probablement identique celui de l’imipramine chlorhydrate.
Les mcanismes de l’action de l’imipramine portent sur les systmes adrnergique, cholinergique, srotoninergique et sur l’activit des hydroxylases hpatiques.
L’imipramine s’oppose au recaptage de la noradrnaline, au niveau de la membrane axonale.
Sur le systme cholinergique, l’imipramine se rvle un parasympatholytique central antagonisant esrine et arcoline.
Sur le systme srotoninergique, l’imipramine inhibe le recaptage de la srotonine dans le cerveau, surtout au niveau de l’hypothalamus. Elle augmente la teneur en srotonine de l’agmydale.
L’imipramine empche l’action des hydroxylases des microsomes hpatiques sur les barbituriques, l’phdrine et l’amphtamine. De ce fait sont prolongs la narcose barbiturique, d’une part, les effets centraux des deux amines sympathiques, d’autre part.
- ANTIDEPRESSEUR (principal)
- DEPRESSION (principale)
Essentiellement dpression composante anxieuse. - ANXIETE (secondaire)
Aussi efficace que l’alprazolam contre l’anxit gnralise. Etude randomise de 313 patients:
– J Clin Psychopharmacol 2001;21:59-65
- GYNECOMASTIE (CERTAIN )
– Concours Med 1989;111:1171-1176. - ANXIETE (CERTAIN TRES RARE)
- EXCITATION PSYCHOMOTRICE (CERTAIN TRES RARE)
- ACCES MANIAQUE (CERTAIN TRES RARE)
- RAPTUS SUICIDAIRE (CERTAIN TRES RARE)
- EUPHORIE (CERTAIN TRES RARE)
- SECHERESSE DE LA BOUCHE (CERTAIN RARE)
- NAUSEE (CERTAIN TRES RARE)
- CONSTIPATION (CERTAIN FREQUENT)
- HYPERSUDATION (CERTAIN RARE)
- PALPITATION (CERTAIN TRES RARE)
- TACHYCARDIE (CERTAIN RARE)
- VERTIGE (CERTAIN RARE)
- HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE (CERTAIN RARE)
- SYNCOPE (CERTAIN TRES RARE)
- MORT SUBITE (CERTAIN TRES RARE)
- CEPHALEE (CERTAIN TRES RARE)
- INSOMNIE (CERTAIN RARE)
- TREMBLEMENT (CERTAIN TRES RARE)
- CRISE CONVULSIVE (CERTAIN TRES RARE)
Publication sur les convulsions sous antidpresseurs :
– J Clin Psychiatry 1993;54:289-299. - DYSARTHRIE (CERTAIN TRES RARE)
- TROUBLE DE LA VISION (CERTAIN TRES RARE)
- DYSURIE (CERTAIN RARE)
- RETENTION D’URINE (CERTAIN TRES RARE)
- FIEVRE (CERTAIN TRES RARE)
- ICTERE (CERTAIN TRES RARE)
- EOSINOPHILIE (CERTAIN TRES RARE)
- AGRANULOCYTOSE (CERTAIN TRES RARE)
- HEPATITE CHOLESTATIQUE (CERTAIN TRES RARE)
- ICTERE CHOLESTATIQUE (CERTAIN TRES RARE)
- SOMNOLENCE (CERTAIN )
- ALOPECIE (CERTAIN TRES RARE)
- POLYNEVRITE (A CONFIRMER )
- IMPUISSANCE (A CONFIRMER )
- GALACTORRHEE (A CONFIRMER )
- ETAT MANIAQUE
- EPILEPSIE
Il peut tre ncessaire d’adapter la posologie du traitement anticomitial. - ANTECEDENTS CARDIOVASCULAIRES
Infarctus du myocarde ancien, insuffisance cardiaque compense, troubles tensionnels. - GROSSESSE(TROIS PREMIERS MOIS)
- ALLAITEMENT
- CONDUCTEUR DE VEHICULE
Risque de somnolence. - UTILISATEUR DE MACHINE
Risque de somnolence. - ASSOCIATION A L’ALCOOL
- ANESTHESIE GENERALE
Par le chloroforme ou les barbituriques.
- ASSOCIATION AUX IMAO
Respecter un intervalle suffisant (2 semaines) entre la fin d’un traitement par les IMAO et le dbut d’un traitement par tricycliques. - GLAUCOME A ANGLE FERME
- ADENOME PROSTATIQUE
Avec dysurie : risque de rtention urinaire aigu. - INFARCTUS DU MYOCARDE RECENT
- HYPERSENSIBILITE
Hypersensibilit connue l’opipramol ou aux dibenzoazpines.
Voies d’administration
Posologie et mode d’administration
Dose usuelle par voie orale chez l’adulte:
Cent cinquante trois cents milligrammes par jour en plusieurs prises.
Ne pas administrer fortes doses d’emble sans tude pralable de la tolrance individuelle.
Surveiller la tension artrielle chez les
hypotendus.
Prvenir le patient du risque de somnolence.
Pharmaco-Cinétique
– 1 –
DEMI VIE
6
à 23
heure(s)
– 2 –
ELIMINATION
voie rnaleAbsorption
Rsorb par le tractus gastro-intestinal.
Répartition
Liaison aux protines plasmatiques: 91%.
Demi-Vie
6 23 heures.
Métabolisme
Hpatique.
Mtabolis en dhydroxythylopipramol.
Elimination
Rein.
70% de la dose administre est limin par voie urinaire.
Spécialités
Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr
Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :
-
Attention ! Donnes en date de janvier 2000.
- INSIDON (ITALIE)
- INSIDON (BELGIQUE)
- INSIDON (PAYS-BAS)
- INSIDON (ANGLETERRE)
- INSIDON (ALLEMAGNE)
- INSIDON (SUISSE)
- OPRIMOL (ISRAEL)