APRACLONIDINE CHLORHYDRATE

APRACLONIDINE CHLORHYDRATE
Introduction dans BIAM : 13/11/1995
Dernière mise à jour : 13/4/2001
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Effets sur la descendance
- Pharmaco-Dépendance
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Bibliographie
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
chlorhydrate de 2-[(4-amino-2,6-dichlorophényl)imino]imidazolidineEnsemble des dénominations
BANM : APRACLONIDINE HYDROCHLORIDE
CAS : 73218-79-8
DCIM : CHLORHYDRATE D’APRACLONIDINE
USAN : APRACLONIDINE HYDROCHLORIDE
autre dénomination : APLONIDINE CHLORHYDRATE
autre dénomination : CHLORHYDRATE D’APRACLONIDINE
bordereau : 3023
code expérimentation : ALO2145
code expérimentation : NC-14
rINNM : APRACLONIDINE HYDROCHLORIDE
sel ou dérivé : CLONIDINE
Regime : liste I
Remarque sur le regime : JO 14/02/2001
- ANTIGLAUCOMATEUX (principale certaine)
- AGONISTE ALPHA 2 ADRENERGIQUE (principale certaine)
Mécanismes d’action
- principal
Réduit la pression intraoculaire en diminuant la production d’humeur aqueuse par le corps ciliaire.
Cette diminution pourrait être la conséquence d’une constriction des artérioles qui irriguent le corps ciliaire.
Ne réduirait pas la pression artérielle et n’exercerait pas d’effets centraux.
- ANTIGLAUCOMATEUX (principal)
- GLAUCOME CHRONIQUE (principale)
Chez les malades nécessitant un abaissement supplémentaire de la pression intraoculaire sous traitement habituel.
L’effet est transitoire, inférieur à 1 mois. - CHIRURGIE OCULAIRE(ADJUVANT) (principale)
Chirurgie oculaire du glaucome :
Après traitement au laser, traitement ou prévention de l’élévation de la pression intraoculaire.
- CONJONCTIVITE (CERTAIN FREQUENT)
- SECHERESSE DE LA BOUCHE (CERTAIN FREQUENT)
- HYPOSECRETION NASALE (CERTAIN RARE)
- CONSTIPATION (CERTAIN TRES RARE)
- NAUSEE (CERTAIN TRES RARE)
- ULCERATION CORNEENNE (CERTAIN TRES RARE)
- DIARRHEE (CERTAIN TRES RARE)
- DYSGUEUSIE (CERTAIN TRES RARE)
- BRADYCARDIE (A CONFIRMER )
- INSOMNIE (A CONFIRMER )
- CEPHALEE (A CONFIRMER )
- PARESTHESIE (A CONFIRMER )
- LIBIDO(DIMINUTION) (A CONFIRMER )
- DYSPNEE (A CONFIRMER )
- DERMATITE DE CONTACT (A CONFIRMER )
2 cas lors de l’utilisation sous forme de collyre chez des patients âgés:
– Conatact Dermatitis 1998;39:193.
- INFORMATION MANQUANTE DANS L’ESPECE HUMAINE
- NON TERATOGENE CHEZ L’ANIMAL
Etude chez le rat, le lapin.
- HYPERTENSION ARTERIELLE
- INSUFFISANCE CARDIAQUE
- INSUFFISANCE CORONARIENNE
- INFARCTUS DU MYOCARDE(ANTECEDENT)
- INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
- SYNDROME DE RAYNAUD
- THROMBO-ANGEITE OBLITERANTE
- INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
- CONDUCTEUR DE VEHICULE
Risque théorique de somnolence.
- HYPERSENSIBILITE A CETTE SUBSTANCE
- LENTILLES DE CONTACT
Eviter l’administration d’apraclonidine lors du port de lentilles de contact souples (présence de chlorure de benzalkonium comme agent conservateur). - GROSSESSE
Information manquante. - ALLAITEMENT
Information manquante.
Voies d’administration
Posologie et mode d’administration
Application d’une goutte d’un collyre à 0,5% 3 fois par jour.
Pharmaco-Cinétique
Absorption
Après application du collyre, l’activité sur la production d’humeur aqueuse apparaît en 1 heure et l’effet est maximum en 3 à 5 heures.
Répartition
Après application bilatérale du collyre à 0,5% 3 fois par jour, les concentrations plasmatiques sont inférieures à 1 ng/ml.
Bibliographie
– Ophtalmology 1989;96:3-7.
– Am J Ophtalmol 1995;120:423-432.
– Arch Ophtalmol 1995;113:287-292.
– Prescrire 1998;18:14-17.
Spécialités
Pour rechercher les spécialités contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr