ZOVIRAX 500 mg poudre pour solution pour perfusion

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ZOVIRAX 500 mg poudre pour solution pour perfusion

Introduction dans BIAM : 11/5/1994
Dernière mise à jour : 28/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    No de Dossier d’AMM – NL 18214


    Etat : commercialisé

    Laboratoire : GLAXO – WELLCOME

    Produit(s) : ZOVIRAX

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 24/12/1993
    2. publication JO de l’AMM 1/1/1994
    3. mise sur le marché 15/4/1994
    4. rectificatif d’AMM 25/9/2000

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 336393-8

    1
    flacon(s) de lyophilisat
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 18/3/1994


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste I

    Prix Pharmacien HT : 159.07 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 350116-8

    1
    flacon(s) de lyophilisat
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 4/11/1999
    2. inscription SS 4/11/1999
    3. mise sur le marché 6/4/2000


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel complémentaire : Avec système de transfert

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 171.68 F

    Prix public TTC : 219.40 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIVIRAL VOIE GENERALE (NUCLEOSIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J05A-B01.
      Antiviral à usage systémique (J : anti-infectieux).
      L’aciclovir est un inhibiteur spécifique des herpès virus, avec une activité in vitro sur les virus Herpes simplex (HSV) types1 et 2, varicelle-zona (VZV).
      L’aciclovir, après avoir été phosphorylé en aciclovir triphosphate, inhibe la synthèse de l’ADN viral. La première étape de la phosphorylation est assurée uniquement par une enzyme virale spécifique.
      Pour les virus HSV et VZV, il s’agit d’une thymidine kinase virale qui est présente uniquement dans les cellules infectées par le virus.
      La phosphorylation de l’aciclovir monophosphate en di et triphosphate est assurée par des kinases cellulaires. L’aciclovir triphosphate est un inhibiteur compétitif sélectif de l’ADN polymérase virale, et l’incorporation de cet analogue nucléosidique stoppe l’élongation de la chaîne d’ADN, interrompant ainsi la synthèse d’ADN viral. La réplication virale est donc bloquée.
      Du fait de sa double sélectivité, l’aciclovir n’interfère pas avec le métabolisme des cellules saines.
      L’étude d’un grand nombre d’isolats cliniques lors de traitement curatif ou préventif par l’aciclovir a montré qu’une diminution de la sensibilité à l’aciclovir est extrêmement rare chez le sujet immunocompétent. Chez les sujets immunodéficients (tels que transplantés d’organe ou de moelle osseuse, sujets recevant une chimiothérapie anticancéreuse et sujets infectés par le virus de l’immunodéficience humaine [VIH]), une diminution de sensibilité a été mise en évidence de façon occasionnelle.
      Les rares résistances observées sont généralement dues à une thymidine kinase virale déficiente et se traduisent par une moindre virulence. Quelques cas de diminution de sensibilité à l’aciclovir ont été observés suite à une modification soit de la thymidine kinase, soit de l’ADN polymérase virale. La virulence de ces virus ne semble pas modifiée.
      *Propriétés pharmacocinétiques :
      – L’administration IV peut entraîner des concentrations très élevées et néphrotoxiques. L’apport d’aciclovir doit se faire lentement (en une heure minimum).
      – La demi-vie plasmatique est de 3 heures.
      – Distribution : l’aciclovir diffuse rapidement dans les tissus, notamment cerveau, reins, poumons, foie, muscles, sécrétions vaginales, liquide vésiculaire herpétique.
      Les taux dans le liquide céphalorachidien sont environ 50% des concentrations plasmatiques.
      L’aciclovir est peu lié aux protéines plasmatiques (9 à 33%).
      – Biotransformation : l’aciclovir est peu métabolisé. Le principal métabolite, la 9-(carboxyméthoxyméthyl)guanine, possède de faibles propriétés antivirales.
      – Elimination : la voie majeure d’élimination est rénale. Les deux tiers de l’aciclovir sont ainsi éliminés sous forme inchangée et les quantités d’aciclovir et de métabolites retrouvées dans les urines de 24 heures sont comprises entre 70 et 99 % de la dose injectée.

    1. ***
      A) Chez le sujet immunodéprimé :
      infections à virus Varicelle Zona (VZV),
      infection à virus Herpes Simplex (HSV).
      B) Chez le sujet immunocompétent :
      a) Infections à VZV :
      . zona grave par lÂextension ou par IÂévolutivité des lésions,
      . varicelle chez la femme enceinte dont lÂéruption survient dans les 8 à 10 jours avant lÂaccouchement,
      . varicelle du nouveau-né,
      . le nouveau-né avant toute éruption, lorsque la mère a débuté une varicelle dans les 5 jours précédents et les 2 jours suivants lÂaccouchement,
      . formes graves de varicelle chez lÂenfant de moins de 1 an,
      . varicelle compliquée, en particulier de pneumopathie varicelleuse,
      b) Infections à HSV :
      . primo-infection génitale herpétique sévère,
      . traitement des gingivo-stomatites herpétiques aiguës, lorsque la gêne fonctionnelle rend la voie orale impossible,
      . traitement du syndrome de Kaposi Juliusberg,
      . traitement de la méningo-encéphalite herpétique.
    2. INFECTION A HERPES-VIRUS
    3. ZONA
    4. VARICELLE(PREVENTION)
    5. VARICELLE
    6. HERPES(PRIMO-INFECTION)
    7. SYNDROME DE KAPOSI
    8. ENCEPHALITE HERPETIQUE

    1. ERUPTION CUTANEE (RARE)
      Bénignes régressant à l’arrêt du traitement.
    2. TROUBLE RENAL
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ADMINISTRATION PARENTERALE TROP RAPIDE

      Incidents rénaux avec augmentation de l’urée et de la créatinine sanguines survenant le plus souvent après administration intraveineuse trop rapide.
      Ils peuvent être évités en respectant les posologies, les précautions d’emploi et la vitesse d’administration.

    3. UREE SANGUINE(AUGMENTATION)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ADMINISTRATION PARENTERALE TROP RAPIDE

      Incidents rénaux avec augmentation de l’urée et de la créatinine sanguines survenant le plus souvent après administration intraveineuse trop rapide.
      Ils peuvent être évités en respectant les posologies, les précautions d’emploi et la vitesse d’administration.

    4. CREATININEMIE(AUGMENTATION)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ADMINISTRATION PARENTERALE TROP RAPIDE

      Incidents rénaux avec augmentation de l’urée et de la créatinine sanguines survenant le plus souvent après administration intraveineuse trop rapide.
      Ils peuvent être évités en respectant les posologies, les précautions d’emploi et la vitesse d’administration.

    5. TROUBLE NEUROLOGIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INSUFFISANCE RENALE
      DOSES ELEVEES
      SUJETS PREDISPOSES
      SUJET AGE

      Quelques observations de troubles neurologiques régressifs (notamment sensations ébrieuses, confusion, hallucinations, somnolence) ont été signalées : il s’agit habituellement d’insuffisants rénaux ayant reçu des doses supérieures à la posologie recommandée ou de patients à risque, notamment le sujet âgé (voir Précautions d’emploi).

    6. SENSATION DE VERTIGE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INSUFFISANCE RENALE
      DOSES ELEVEES
      SUJET AGE
      SUJETS PREDISPOSES

      Quelques observations de troubles neurologiques régressifs (notamment sensations ébrieuses, confusion, hallucinations, somnolence) ont été signalées : il s’agit habituellement d’insuffisants rénaux ayant reçu des doses supérieures à la posologie recommandée ou de patients à risque, notamment le sujet âgé (voir Précautions d’emploi).

    7. CONFUSION MENTALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INSUFFISANCE RENALE
      DOSES ELEVEES
      SUJETS PREDISPOSES
      SUJET AGE

      Quelques observations de troubles neurologiques régressifs (notamment sensations ébrieuses, confusion, hallucinations, somnolence) ont été signalées : il s’agit habituellement d’insuffisants rénaux ayant reçu des doses supérieures à la posologie recommandée ou de patients à risque, notamment le sujet âgé (voir Précautions d’emploi).

    8. HALLUCINATION
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INSUFFISANCE RENALE
      DOSES ELEVEES
      SUJETS PREDISPOSES
      SUJET AGE

      Quelques observations de troubles neurologiques régressifs (notamment sensations ébrieuses, confusion, hallucinations, somnolence) ont été signalées : il s’agit habituellement d’insuffisants rénaux ayant reçu des doses supérieures à la posologie recommandée ou de patients à risque, notamment le sujet âgé (voir Précautions d’emploi).

    9. SOMNOLENCE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INSUFFISANCE RENALE
      DOSES ELEVEES
      SUJETS PREDISPOSES
      SUJET AGE

      Quelques observations de troubles neurologiques régressifs (notamment sensations ébrieuses, confusion, hallucinations, somnolence) ont été signalées : il s’agit habituellement d’insuffisants rénaux ayant reçu des doses supérieures à la posologie recommandée ou de patients à risque, notamment le sujet âgé (voir Précautions d’emploi).

    10. TROUBLE DIGESTIF
      Rare et bénin, régressant toujours parfois même malgré la poursuite du traitement.
    11. BILIRUBINEMIE(AUGMENTATION)
      Rare et bénin, régressant toujours parfois même malgré la poursuite du traitement.
    12. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Rare et bénin, régressant toujours parfois même malgré la poursuite du traitement.
    13. CEPHALEE
      Rare et bénin, régressant toujours parfois même malgré la poursuite du traitement.
    14. ASTHENIE
      Rare et bénin, régressant toujours parfois même malgré la poursuite du traitement.
    15. REACTION AU POINT D’INJECTION (RARE)
      Rares lésions cutanées au lieu de l’injection, pouvant exceptionnellement aller jusqu’à la nécrose, en cas d’extravasation ou de dilution insuffisante de la solution (voir Posologie et mode d’emploi). Ces effets indésirables sont liés au pH alcalin de ce médicament.
    16. NECROSE CUTANEE (EXCEPTIONNEL)
      Rares lésions cutanées au lieu de l’injection, pouvant exceptionnellement aller jusqu’à la nécrose, en cas d’extravasation ou de dilution insuffisante de la solution (voir Posologie et mode d’emploi). Ces effets indésirables sont liés au pH alcalin de ce médicament.

    1. MISE EN GARDE
      Ce médicament ne constitue pas un traitement ni une prévention des douleurs post-zostériennes.
    2. INSUFFISANCE RENALE
      Chez les patients ayant une insuffisance rénale, la posologie doit être adaptée suivant la clairance de la créatinine (cf Posologie et mode dÂemploi).
    3. SUJET AGE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE RENALE

      Il peut être nécessaire d’adapter la posologie.

    4. HYDRATATION CORRECTE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      SUJET AGE

      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE RENALE

      Un apport hydrique suffisant doit être assuré.

    5. SURVEILLANCE DE LA FONCTION RENALE
      Compte tenu des données toxicologiques chez l’animal, il est souhaitable de surveiller la fonction rénale.
    6. REGIME DESODE STRICT
      Ce médicament contient 56 mg de sodium par flacon : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict.
    7. GROSSESSE
      Les études effectuées chez lÂanimal ont mis en évidence un effet tératogène dans une seule espèce et à posologie très élevée. En clinique, lÂanalyse dÂun millier de grossesses exposées nÂa apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier de IÂaciclovir. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier lÂabsence de risque. Cependant, en raison des indications, ce médicament peut être prescrit au cours de la grossesse si besoin.
    8. ALLAITEMENT
      En cas dÂaffection grave nécessitant un traitement maternel par voie générale,lÂallaitement est à proscrire.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
      Ce médicament ne doit pas être utilisé en cas d’antécédent d’hypersensibilité à l’aciclovir ou à l’un des constituants de la poudre.

    Signes de l’intoxication :

    1. TROUBLE DE LA CONSCIENCE
    2. CONFUSION MENTALE
    3. HALLUCINATION
    4. COMA

    Traitement

    L’évolution a toujours été favorable après arrêt du traitement et hémodialyse éventuelle. Par voie intraveineuse, l’administration d’une dose unique de 80 mg/kg n’a provoqué aucun effet indésirable.
    L’aciclovir est dialysable.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)
    stricte

    Posologie & mode d’administration

    Posologie habituelle :
    – Chez lÂadulte :
    . Infections à virus Varicelle Zona (VZV) : 10 mglkg toutes les 8 heures, 15 mg/kg toutes les 8 heures chez la femme enceinte.
    . Infections à virus Herpes simplex (HSV) (sauf méningo-encéphalite) : 5 mg/kg toutes
    les 8 heures.
    . Méningo-encéphalite herpétique : 10 mg/kg toutes les 8 heures.
    – Chez lÂenfant de plus de 3 mois, dans certains cas il est nécessaire de calculer Ia posologie en fonction de la surface corporelle :
    . Infection à HSV (sauf
    méningo-encéphalite) ou VZV: 250 mg/m2 toutes les 8 heures (soit environ 10 mg/kg toutes les 8 heures).
    . Méningo-encéphalite à HSV ou infection à VZV sévère chez lÂenfant immunodéprimé : 500 mg/m2 toutes les 8 heures (soit environ 20 mg/kg toutes les 8
    heures).
    – Chez le nouveau-né, 20 mg/kg toutes les 8 heures.

    Posologie particulière chez lÂinsuffisant rénal :
    LÂintervalle entre deux administrations et la posologie seront adaptés selon la clairance de la créatinine :
    – Pour une clairance de la
    créatinine de 25 à 50 mI/min, la dose unitaire à administrer 2 fois par 24 heures est :
    5 mg/kg pour les infections à HSV,
    10 mg/kg pour les infections à VZV et la méningo-encéphalite herpétique,
    20 mg/kg pour la méningo-encéphalite du nourrisson
    – Pour
    une clairance de la créatinine de 10 à 25 mI/min, la dose unitaire à administrer 1 fois par 24 heures est :
    5 mg/kg pour les infections à HSV,
    10 mg/kg pour les infections à VZV et la méningo-encéphalite herpétique,
    20 mg/kg pour la méningo-encéphalite
    du nourrisson.
    – Pour une clairance de la créatinine de 0 à 10 mI/min, la dose unitaire à administrer 1 fois par 24 heures est :
    2,5 mg/kg pour les infections à HSV,
    5 mg/kg pour les infections à VZV et la méningo-encéphalite herpétique,
    10 mg/kg pour
    la méningo-encéphalite du nourrisson.
    Le jour de IÂhémodialyse, la dose doit être administrée après la dialyse

    Mode dÂadministration :
    Voie intra-veineuse stricte.
    Chaque dose sera injectée par voie intraveineuse (par pompe ou perfusion) en une heure
    minimum. La durée du traitement est en général :
    – de 8 à 10 jours pour les infections à virus Varicelle Zona,
    – de 10 jours pour le traitement de la méningo-encéphalite
    ; herpétique, elle doit être adaptée suivant lÂétat du malade et de sa réponse au
    traitement,
    – de 5 à 10 jours pour les autres infections à virus Herpes simplex,

    Mode d’emploi, instructions concernant la manipulation :
    La stabilité du produit à température ambiante a été vérifiée pour les liquides de perfusion suivants :
    – solution
    de chlorure de sodium (0,45 à 0,9 %),
    – solution de chlorure de sodium (0,18 %) et de glucose (4%),
    – solution de chlorure de sodium (0,45 %) et de glucose (2,5%),
    – solution de lactate de sodium (solution de Hartmann).

    La reconstitution et la dilution
    de l’aciclovir doivent avoir lieu juste avant l’injection ; les solutions reconstituées, partiellement utilisées lors d’une administration, ne doivent pas être réemployées lors des injections suivantes. La solution ne sera pas utilisée en cas
    d’apparition d’un trouble ou d’une cristallisation ; elle ne doit pas être réfrigérée.

    Mode d’utilisation du flacon standard (sans le système de transfert) :
    Reconstituer le contenu du flacon de 500 mg avec 20 ml d’eau ppi ou une solution de chlorure
    de sodium isotonique. Après reconstitution avec de l’eau ppi, le pH de la solution est compris entre 10,7 et 11,7.
    La solution une fois reconstituée peut être administrée en IV, en perfusion ou avec une pompe à débit constant, en 1 heure minimum.
    Il est
    recommandé de diluer la solution dans un volume suffisant de liquide de perfusion afin de ne pas dépasser une concentration en aciclovir de 5 mg/ml de liquide de perfusion.

    Mode d’utilisation du flacon avec système de transfert :
    Le système de
    transfert est un dispositif à usage unique, qui facilite la reconstitution et le transfert de la solution injectable de Zovirax dans une poche de perfusion avec site d’injection.
    Le volume de la poche de perfusion doit être adapté au nombre de flacons
    de Zovirax IV à diluer : le but est d’obtenir une solution d’aciclovir dont la concentration est au maximum de 5 mg/ml.

    Nombre maximum de flacons de Zovirax I.V. 500 mg à diluer en fonction du volume de la poche (ml) :
    1 flacon pour une poche de 100
    ml,
    2 flacons pour une poche de 250 ml,
    5 flacons pour une poche de 500 ml,
    La solution une fois reconstituée peut être administrée en perfusion IV ou avec une pompe à débit constant, en 1 heure minimum.

    Incompatibilités
    En raison du risque de
    cristallisation de ce médicament et en cas de traitement intraveineux associé, il est préférable d’éviter d’injecter plusieurs spécialités en même temps dans une même tubulure ou, a fortiori, de les mélanger dans une même perfusion.


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