FLUIMUCIL 5 g/25 ml solution injectable pr perfusion (Hôp)

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FLUIMUCIL 5 g/25 ml solution injectable pr perfusion (Hôp)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 15/12/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SOLUTION POUR PERFUSION

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : ZAMBON FRANCE

    Produit(s) : FLUIMUCIL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 22/4/1987
    2. publication JO de l’AMM 9/7/1987
    3. mise sur le marché 15/2/1988

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 555839-1

    1
    flacon(s)
    25
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste II

    Prix Pharmacien HT : 55 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :

    Volume : 25
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIDOTE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : V03A-B23.
      – Chez l’homme, la n-acétylcystéine exerce un effet protecteur vis à vis des effets hépatotoxiques d’une dose massive de paracétamol.
      – La n-acétylcystéine est un précurseur du glutathion, susceptible de pénétrer dans les cellules. C’est essentiellement par ce biais qu’elle protège les hépatocytes. Le glutathion neutralise, en effet, les entités électrophiles produites par le métabolisme du paracétamol.


    1. Intoxication aigüe par le paracétamol, lorsque l’administration orale de n-acétylcystéine est impossible.

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. REACTION ANAPHYLACTIQUE
      Ces manifestations régressent à l’arrêt de la perfusion. Un traitement symptomatique est parfois nécessaire.
    4. URTICAIRE
      Ces manifestations régressent à l’arrêt de la perfusion. Un traitement symptomatique est parfois nécessaire.
    5. OEDEME DE LA FACE
      Ces manifestations régressent à l’arrêt de la perfusion. Un traitement symptomatique est parfois nécessaire.
    6. OEDEME LARYNGE
      Oedème laryngé aigu
      Ces manifestations régressent à l’arrêt de la perfusion. Un traitement symptomatique est parfois nécessaire.
    7. BRONCHOSPASME
      Ces manifestations régressent à l’arrêt de la perfusion. Un traitement symptomatique est parfois nécessaire.
    8. FLUSH
      Ces manifestations régressent à l’arrêt de la perfusion. Un traitement symptomatique est parfois nécessaire.
    9. HYPOTENSION ARTERIELLE
      Ces manifestations régressent à l’arrêt de la perfusion. Un traitement symptomatique est parfois nécessaire.
    10. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE
      Ces manifestations régressent à l’arrêt de la perfusion. Un traitement symptomatique est parfois nécessaire.
    11. INFLAMMATION AU POINT D’INJECTION
      En cas d’extravasation.

    1. MISE EN GARDE
      L’administration intraveineuse de n-acétylcystéine peut être à l’origine de réactions anaphylactoïdes. Elle ne doit être réalisée que lorsque la prise orale du médicament est impossible.
    2. ***
      L’administration intraveineuse impose la surveillance hospitalière du malade pendant le traitement.

      Les accidents liés à la perfusion intraveineuse de n-acétylcystéine sont plus fréquents et plus graves lorsque le médicament est administré trop rapidement ou en trop grande quantité. Il est souhaitable de respecter la posologie proposée.

    Traitement

    Les réactions anaphylactoïdes dues à la n-acétylcystéine sont plus fréquentes et plus graves lorsque le médicament est perfusé trop rapidement ou en trop grande quantité. Elles doivent être traitées symptomatiquement.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Dose de charge : cent cinquante milligrammes par kilo dilués dans deux cent cinquante millilitres de soluté glucosé à cinq pour cent perfusés en quinze minutes,
    – puis cinquante milligrammes par kilo dans cinq cents millilitres de
    soluté glucosé à cinq pour cents, perfusés en quatre heures
    – enfin cent milligrammes par kilo dilués dans mille millilitres de soluté glucosé à cinq pour cent perfusés en seize heures.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Voie intraveineuse lente; conservation : vingt
    quatre heures à température ambiante, en solution pour phléboclyse.


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