CODOTUSSYL 20 mg TOUX SECHE capsules molles

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CODOTUSSYL 20 mg TOUX SECHE capsules molles

Introduction dans BIAM : 14/12/1998
Dernière mise à jour : 16/6/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : CAPSULES MOLLES

    Usage : adulte, enfant + de 15 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : WYETH-LEDERLE

    Produit(s) : CODOTUSSYL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 24/8/1998
    2. mise sur le marché 3/12/1998
    3. publication JO de l’AMM 20/2/1999
    4. rectificatif d’AMM 31/1/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 348153-7

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    12
    unité(s)
    PVC/alu

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    EVITER L’HUMIDITE

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 16.87 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTITUSSIF (OPIACE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05D-A09.
      Dextrométorphane : dérivé morphinique antitussif d’action centrale.
      Aux doses thérapeutiques, il n’entraîne ni dépression des centres respiratoires, ni accoutumance, ni toxicomanie.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Le dextrométhorphane est bien résorbé au niveau du tube digestif. Il est partiellement métabolisé au niveau du foie, et excrété sous forme inchangée ou sous forme de métabolite déméthylé.

    1. ***
      Traitement de courte durée des toux sèches et des toux d’irritation chez l’adulte (à partir de 15 ans).
    2. TOUX SECHE

    1. VERTIGE
    2. SOMNOLENCE
    3. NAUSEE
    4. VOMISSEMENT
    5. CONSTIPATION
    6. ERUPTION PRURIGINEUSE
    7. URTICAIRE
      -notamment en raison de la présence de lécithine de soja et d’huile d’arachide.
    8. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    9. BRONCHOSPASME (EXCEPTIONNEL)
    10. CHOC ANAPHYLACTIQUE
      -notamment en raison de la présence de lécithine de soja et d’huile d’arachide.

    1. MISE EN GARDE
      – Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire sont à respecter.

      – Il est illogique d’associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.

      – Avant de délivrer un traitement antitussif, il convient de s’assurer que les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique ont été recherchées.

      – Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
    2. ALCOOL
      La prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée.
    3. GROSSESSE
      Il n’y a pas de données fiables de tératogenèse chez l’animal.

      En clinique, les résultats des études épidémiologiques sont menées sur des effectifs restreints de femmes semblent exclure un effet malformatif particulier du dextrométorphane.

      En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont suceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

      Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de dextrométorphane par la mère, et cela quelque soit la dose, peut être à l’origine d’un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.

      En conséquence, l’utilisation ponctuelle du dextrométorphane ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
    4. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est appelée notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence et de vertiges attachés à l’emploi de ce médicament.

    1. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
    2. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    3. TOUX DE L’ASTHMATIQUE
    4. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    5. ASSOCIATION AUX IMAO
      – IMAO non sélectifs : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique.(diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma)
      – IMAO sélectifs (moclobémide, toloxatone) par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique.
      (diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma)
    6. ALLAITEMENT
      Le dextrométorphane passe dans le lait maternel ; quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères et d’autres antitussifs centraux à doses supra-thérapeutiques.
      En conséquence, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l’allaitement.

    Signes de l’intoxication :

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. VERTIGE
    4. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    5. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    6. CONFUSION MENTALE
    7. SOMNOLENCE
    8. COMA
    9. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    10. CRISE CONVULSIVE

    Traitement

    – Signes :
    nausées, vomissements, vertiges, nervosité, agitation, confusion, somnolence.
    En cas de surdosage massif : coma, dépression respiratoire, convulsions.
    – Traitement symptomatique :
    En cas de dépression respiratoire : naloxone, assistance
    respiratoire,
    En cas de convulsions : benzodiazépines.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Réservé à l’adulte (à partir de quinze ans) :
    – Une capsule contient vingt mg de bromhydrate de dextrométorphane.
    – Chez l’adulte, la dose unitaire de bromhydrate de dextrométorphane est de quinze à trente mg, la dose quotidienne
    maximale est de cent vingt mg soit :
    Une capsule par prise, à renouveler si nécessaire au bout de quatre heures
    En aucun cas, ne dépasser 6 capsules par jour.
    – Le traitement doit être limitée aux horaires ou survient la toux, sans dépasser les doses
    prescrites.
    – La durée du traitement doit être courte (limitée à cinq jours).
    .
    Posologies particulières :
    * Chez le sujet âgé ou en cas d’insuffisance hépatique :
    La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée, et
    pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
    .
    Mode d’emploi :
    Les capsules sont à avaler avalées telles quelles avec un verre d’eau.


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