KINTUXIL 0.25 pour cent sirop

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KINTUXIL 0.25 pour cent sirop

Introduction dans BIAM : 9/11/1999
Dernière mise à jour : 26/4/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SIROP

    Usage : adulte

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : TRADIPHAR

    Produit(s) : KINTUXIL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 24/7/1997
    2. publication JO de l’AMM 15/2/1998
    3. mise sur le marché 21/10/1999

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 344235-9

    1
    flacon(s)
    150
    ml
    verre brun

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : cuillère-mesure
    5
    ml
    1

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 18.06 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTITUSSIF (OPIACE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05D-A09.
      – Dérivé morphinique, antitussif d’action centrale. Aux doses thérapeutiques, il n’entraîne ni dépression des centres respiratoires, ni accoutumances, ni toxicomanie.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Le dextrométhorphane est bien résorbé au niveau du tube digestif. Il est partiellement métabolisé au niveau du foie ; il est excrété sous forme inchangée ou sous forme de métabolite déméthylé.

    1. ***
      Traitement symptomatique des toux non productives gênantes.
    2. TOUX SECHE

    1. CONSTIPATION
      Lié à la présence du dextrométorphane.
    2. SOMNOLENCE
      Lié à la présence du dextrométorphane.
    3. VERTIGE (RARE)
      Lié à la présence du dextrométorphane.
    4. NAUSEE (RARE)
      Lié à la présence du dextrométorphane.
    5. VOMISSEMENT (RARE)
      Lié à la présence du dextrométorphane.
    6. BRONCHOSPASME (RARE)
      Lié à la présence du dextrométorphane.
    7. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE (RARE)
      Lié à la présence du dextrométorphane.
    8. CONFUSION MENTALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      SUJET AGE

      En cas de non respect des doses préconisées.

    9. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      SUJET AGE

      En cas de non respect des doses préconisées.

    1. MISE EN GARDE
      ATTENTION : Le titre alcoolique de ce médicament est de 6.7 degrés soit 265 mg d’alcool par cuillère à café.

      – Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire sont à respecter.

      – Il est illogique d’associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.

      – Avant de prescrire traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.

      – Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, o ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.

      – En cas d’antécédents d’épilepsie, tenir compte de la présence de lévomenthol (les terpènes peuvent abaisser le seuil épileptogène).
    2. BOISSONS ALCOOLISEES
      La prise de boissons alcoolisées et d’autres médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée.
    3. DIABETE
      Tenir compte de la teneur en sucre : 2.5 g pour une cuillère à café.
    4. REGIME HYPOGLUCIDIQUE
      Tenir compte de la teneur en sucre : 2.5 g pour une cuillère à café.
    5. GROSSESSE
      Il n’y a pas de données fiables de tératogenèse chez l’animal.

      En clinique, les résultats des études épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes semblent exclure un effet malformatif particulier du dextrométhorphane.

      En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

      Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de dextrométhorphane par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l’origine d’un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.

      En conséquence, l’utilisation ponctuelle du dextrométhorphane ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
    6. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l’emploi de ce médicament.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    3. TOUX DE L’ASTHMATIQUE
    4. ASSOCIATION THERAPEUTIQUE
      Associations contre-indiquées :
      – IMAO non sélectif (iproniazide) :
      Risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique.
      – IMAO sélectifs A (moclobémide, toloxatone) :
      Risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs.
      Le syndrome sérotoninergique se manifeste par l’apparition (éventuellement brutale) simultanée ou séquentielle d’un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l’hospitalisation, voire entraîner le décès.
      Ces symptômes peuvent être d’ordre :
      – psychique (agitation, confusion, hypomanie),
      – moteurs (myoclonies, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
      – végétatifs (hypo ou hypertension, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs, éventuellement coma),
      – digestifs (diarrhée).
      Association déconseillée avec l’alcool : majoration par l’alcool de l’effet sédatif de l’antitussif central et de l’antihistaminique H1. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules ou l’utilisation de machines. ‰viter la prise de boissons alcoolisées et d’autres médicaments contenant de l’alcool.
    5. ALLAITEMENT
      Le dextrométhorphane passe dans le lait maternel. Quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons après ingestion par les mères d’autres antitussifs centraux à doses supra-thérapeutiques.
      Par conséquent, l’administration de cet antitussif pendant l’allaitement est contre-indiquée.

    Signes de l’intoxication :

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. VERTIGE
    4. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    5. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    6. CONFUSION MENTALE
    7. SOMNOLENCE
    8. COMA
    9. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    10. CRISE CONVULSIVE

    Traitement

    – Signes :
    nausées, vomissements, vertiges, nervosité, agitation, confusion, somnolence.
    En cas de surdosage massif : coma, dépression respiratoire, convulsions.
    – Traitement symptomatique :
    En cas de dépression respiratoire : naloxone, assistance
    respiratoire,
    En cas de convulsions : benzodiazépines.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Une cuillère à café (cinq ml), contient douze mg cinq de bromhydrate de dextrométhorphane.
    Réservé à l’adulte et à l’enfant de plus de quinze ans :
    Chez l’adulte :
    – Une à deux cuillères à café par prise, à renouveler au bout de
    quatre heures en cas de besoin, sans dépasser dix cuillères à café par jour.
    – En l’absence d’autre prise médicamenteuse apportant du dextrométhorphane ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne de dextrométhorphane à ne pas dépasser est de
    cent vingt mg chez l’adulte.
    – Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.
    Sujet âgé ou en cas d’insuffisance hépatique :
    La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la
    posologie conseillée chez l’adulte et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.


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