CAPSYL 15 mg capsules (arrêt de commercialisation)
CAPSYL 15 mg capsules (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 11/1/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : CAPSULES
Usage : adulte, enfant + de 15 ans
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : NOVARTIS PHARMAProduit(s) : CAPSYL
Evénements :
- octroi d’AMM 23/7/1985
- publication JO de l’AMM 16/11/1985
- mise sur le marché 13/11/1989
- arrêt de commercialisation 1/9/1996
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 328235-8
1
plaquette(s) thermoformée(s)
12
unité(s)
PVC/alu
brun rougeEvénements :
- arrêt de commercialisation 1/9/1996
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Régime : aucune liste
Composition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE
- DEXTROMETHORPHANE BROMHYDRATE 15 mg
Adsorbat micronisé de bromhydrate de dextrométhorphane à 10 pour cent 150 mg quantité correspondant à bromhydrate de dextrométhorphane.
- MIGLYOL 812 excipient
- LECITHINE DE SOJA excipient
- CIRE JAUNE excipient
- HUILE VEGETALE PARTIELLEMENT HYDROGENEE excipient
- SACCHARINE SODIQUE excipient
- HUILE ESSENTIELLE DE MENTHE POIVREE excipient
- HUILE ESSENTIELLE D’EUCALYPTUS excipient
- MENTHOL excipient
- GELATINE excipient
- GLYCEROL excipient
- OXYDE DE FER ROUGE colorant (excipient)
- HUILE ESSENTIELLE DE MENTHE VERTE excipient
- ANTITUSSIF (OPIACE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : R05D-A09.
D’action centrale, ne possèdant pas d’action sur le centre respiratoire à dose thérapeutique mais pouvant provoquer une dépression à fortes doses.
- ***
Traitement symptomatique des toux non productives gênantes. - TOUX SECHE
- CONSTIPATION
- SOMNOLENCE
- VERTIGE
- NAUSEE
- VOMISSEMENT
- BRONCHOSPASME
- REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
- CRISE CONVULSIVE
Condition(s) Exclusive(s) :
NOURRISSON
ENFANT
FORTES DOSESEn raison de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.
- EXCITATION PSYCHOMOTRICE
Condition(s) Exclusive(s) :
SUJET AGE
FORTES DOSESEn raison de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.
- CONFUSION MENTALE
Condition(s) Exclusive(s) :
SUJET AGE
FORTES DOSESEn raison de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.
- MISE EN GARDE
– Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire sont à respecter.
– Avant de prescrire traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement étiologique propre (asthme, dilation des bronches, insuffisance ventriculaire gauche qu’elle que soit l’étiologie, embolie pulmonaire, toux du cardiaque, cancer, affections endobronchiques, vérification d’obstacles intrabronchiques); et si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
– Dérivés terpéniques :
Cette spécialité contient des dérivés terpéniques, en tant qu’excipients, qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. A doses excessives, risque d’accidents neurologiques à type de convulsions chez le nourrisson et chez l’enfant. Respecter les posologies et la durée de traitement préconisées. - GROSSESSE
Une étude prospective portant sur un nombre limité de femmes n’a pas mis en évidence de risque tératogène du dextrométhorphane.
En fin de grossesse des doses élevées de dextrométhorphane sont susceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né. - ALLAITEMENT
En cas d’allaitement, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament du fait :
– de l’absence de donnée cinétique sur le passage des dérivés terpéniques dans le lait,
– et de leur toxicité neurologique potentielle chez le nourrisson. - BOISSONS ALCOOLISEES
La prise de boissons alcoolisées pendant le traitement est déconseillée. - INSUFFISANCE HEPATIQUE
La posologie initiale sera diminuée de 50 pour cent et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins. - SUJET AGE
Laa posologie initiale sera diminuée de 50 pour cent et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins. - CONDUCTEURS DE VEHICULES
L’attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les possibilités de somnolence. Ce phénomène régresse habituellement après plusieurs prises. Il peut être utile de commencer le traitement le soir. - ANTECEDENTS EPILEPTIQUES
Tenir compte de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.
- INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
En règle générale, insuffisance respiratoire quelque soit son degré (en raison de la nécessité de respecter la toux pour éviter l’encombrement bronchique). - TOUX DE L’ASTHMATIQUE
- TRAITEMENT PAR LES IMAO
Risque d’hyperpyrexie, d’hyperexcitabilité, de collapsus, de décès. - ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
Traitement
– Symptômes (survenant plus particulièrement lors d’association avec des antihistaminiques) :
nausées, vomissements, agitation, confusion, somnolence; éruption urticariforme, vision floue, nystagmus.
En cas de surdosage massif : coma, dépression
respiratoire, convulsions.
– Traitement :
En cas de dépression respiratoire : naloxone, assistance respiratoire, en cas de convulsions : benzodiazépines (IV chez l’adulte et le grand enfant ; intra rectale chez le petit enfant).
Evacuation digestive.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Chez l’adulte et l’enfant de plus de 15 ans, la posologie quotidienne usuelle est de 60 à 120 mg de bromhydrate de dextrométhorphane, à répartir en trois ou quatre prises, soit une à deux capsules, trois à quatre fois par jour.
Les
prises seront espacées d’au moins quatre heures.
.
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Mode d’Emploi :
– Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours).
– Les capsules peuvent être sucées pour libérer leur contenu dans la bouche puis avalées, on peut aussi les avaler
telles quelles.
L’enveloppe est constituée de gélatine digestible.