LEODRINE 50 mg comprimés (arrêt de commercialisation)

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LEODRINE 50 mg comprimés (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 2/12/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – FT9


    Forme : COMPRIMES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : LEO

    Produit(s) : LEODRINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 6/1/1960
    2. mise sur le marché 15/2/1960
    3. validation de l’AMM 12/10/1988
    4. arrêt de commercialisation 1/2/1990

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 306112-0

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    24
    unité(s)

    Evénements :

    1. agrément collectivités 16/12/1960
    2. arrêt de commercialisation 1/2/1990


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix public TTC : 10.30 F

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. DIURETIQUE THIAZIDIQUE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : C03A-A02.
      L’hydrofluméthiazide est un diurétique thiazidique qui agit en inhibant la réabsorption du sodium au niveau du segment cortical de dilution. Il augmente, de ce fait, l’excrétion urinaire du sodium et des chlorures et, à un moindre degré, l’excrétion du potassium.
      Le délai d’action de l’hydrofluméthiazide est d’environ 12 heures, avec un effet maximum en 4 à 6 heures.


    1. – Oedèmes rénaux et hépatiques, insuffisance cardiaque
      – Hypertension artérielle
      – Utilisation chez la femme enceinte : voir précautions d’emploi.

    1. DESHYDRATATION
      Justifie l’arrêt du traitement ou la réduction de la posologie.
    2. VOLEMIE(DIMINUTION)
      Justifie l’arrêt du traitement ou la réduction de la posologie.
    3. NATREMIE(DIMINUTION)
      Justifie l’arrêt du traitement ou la réduction de la posologie.
    4. HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE
      Justifie l’arrêt du traitement ou la réduction de la posologie.
    5. ASTHENIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
    6. HYPERSENSIBILITE (EXCEPTIONNEL)
      essentiellement dermatologique
    7. ENCEPHALOPATHIE HEPATIQUE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE HEPATIQUE
    8. URICEMIE(AUGMENTATION)
    9. GLYCEMIE(AUGMENTATION)
    10. KALIEMIE(DIMINUTION)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE CARDIAQUE TRAITEE PAR LES DIGITALIQUES

      Ce risque peut être particulièrement grave chez les insuffisants cardiaques traités par les digitaliques et peut, d’autre part, entraîner des troubles du rythme, en particulier des torsades de pointe (pouvant être mortelles) surtout lorsqu’il y a association avec des antiarythmiques du groupe de la quinidine.

    11. ALCALOSE METABOLIQUE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE CARDIAQUE TRAITEE PAR LESDIGITALIQUES

      Ce risque peut être particulièrement grave chez les insuffisants cardiaques traités par les digitaliques et peut, d’autre part, entraîner des troubles du rythme, en particulier des torsades de pointe (pouvant être mortelles) surtout lorsqu’il y a association avec des antiarythmiques du groupe de la quinidine.

    12. ARYTHMIE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE CARDIAQUE TRAITEE PAR LESDIGITALIQUES

      Ce risque peut être particulièrement grave chez les insuffisants cardiaques traités par les digitaliques et peut, d’autre part, entraîner des troubles du rythme, en particulier des torsades de pointe (pouvant être mortelles) surtout lorsqu’il y a association avec des antiarythmiques du groupe de la quinidine.

    13. TORSADE DE POINTES
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ASSOCIATION A LA QUINIDINE
      INSUFFISANCE CARDIAQUE TRAITEE PAR LESDIGITALIQUES

      Ce risque peut être particulièrement grave chez les insuffisants cardiaques traités par les digitaliques et peut, d’autre part, entraîner des troubles du rythme, en particulier des torsades de pointe (pouvant être mortelles) surtout lorsqu’il y a association avec des antiarythmiques du groupe de la quinidine.

    14. TROUBLE HEMATOLOGIQUE (EXCEPTIONNEL)
      Avec modification de la formule sanguine, thrombopénie, hypercalcémie.
    15. THROMBOPENIE (EXCEPTIONNEL)
    16. CALCEMIE(AUGMENTATION) (EXCEPTIONNEL)

    1. GROSSESSE
      En l’absence d’étude chez l’animal et de données cliniques humaines, le risque n’est pas connu, par conséquent par mesure de prudence ne pas prescrire pendant la grossesse. Et ceci d’autant plus que l’administration de diurétiques thiazidiques et apparentes ne se justifie pas dans le traitement des oedèmes et rétentions hydrosodees gravidiques, ni dans l’hta gravidique, car elle peut entraîner une ischémie foeto-placentaire, avec un risque d’hypotrophie foetale.

      n.b : les diurétiques restent un élément essentiel du traitement des oedèmes rénaux et hépatiques et de l’insuffisance cardiaque survenant chez la femme enceinte.
    2. ALLAITEMENT
      L’hydrofluméthiazide passant dans le lait maternel, l’allaitement est déconseillé.
    3. ATTEINTE HEPATIQUE
      En cas d’atteinte hépatique, ces diurétiques peuvent induire une encéphalopathie hépatique. En cas de survenue d’une telle encéphalopathie, le diurétique doit immédiatement être interrompu.
    4. SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
      Equilibre hydro-électrolytique :

      * au début du traitement, il est utile de vérifier la natrémie et la kaliémie ;

      * en cours de traitement, surveiller notamment la kaliémie chez les sujets cirrhotiques, ou ceux traités par les digitaliques, par les antiarythmiques proches de la quinidine, par les corticoïdes, ou par les laxatifs. De plus, chez les cirrhotiques, il est indispensable de surveiller la natrémie et la fonction rénale;

      * en cas d’hypokaliémie en cours de traitement, un apport complémentaire de potassium ou l’association à un diurétique épargnant du potassium peut être justifié.
    5. INSUFFISANCE RENALE
      Les diurétiques thiazidiques ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie plasmatique inférieure à des valeurs de l’ordre de 25 mg/l soit 220 micromol) .
    6. DIABETE
      Il est indispensable chez les diabétiques de contrôler rigoureusement la glycémie, notamment en présence d’hypokaliémie.
    7. GOUTTE
      Posologie prudente chez les goutteux et les hyperuricémiques car la tendance aux accès peut être augmentée.
    8. ASSOCIATION AUX ANTIHYPERTENSEURS
      Réduire éventuellement la posologie en cas d’association avec un autre antihypertenseur.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX SULFAMIDES
    2. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
    3. ENCEPHALOPATHIE HEPATIQUE
    4. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Contre-indications relatives :
      associations déconseillées avec l’acide tiénilique, le lithium, le fénoxedil, la lidoflazine, la prénylamine, la vincamine.

    Traitement

    Exacerbation de tous les effets secondaires.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Un à deux comprimés par jour à prendre de préférence au cours des repas.
    .
    Mode d’Emploi :
    Pendant les repas de préférence.


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