VALIUM ROCHE 10 mg/2 ml solution injectable

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VALIUM ROCHE 10 mg/2 ml solution injectable

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 20/3/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – RO-05-2807


    Forme : SOLUTION INJECTABLE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : PRODUITS ROCHE

    Produit(s) : VALIUM

    Evénements :

    1. mise sur le marché 1/1/1965
    2. octroi d’AMM 11/7/1973
    3. validation de l’AMM 22/10/1986
    4. rectificatif d’AMM 20/1/2000

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 311124-3

    6
    ampoule(s)
    2
    ml
    verre

    Evénements :

    1. inscription SS 12/1/1965
    2. agrément collectivités 15/4/1965


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 8.14 F

    Prix public TTC : 14.20 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 554813-9

    30
    ampoule(s)
    2
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 15/4/1965


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Prix Pharmacien HT : 36.75 F

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 2
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANXIOLYTIQUE (BENZODIAZEPINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N05B-A01.
      Le diazépam appartient à la classe des 1-4 benzodiazépines et a une activité pharmacodynamique qualitativement semblable à celle des autres composés de cette classe :
      – myorelaxante
      – anxiolytique
      – sédative
      – hypnotique
      – anticonvulsivante
      – amnésiante.
      Ces effets sont liés à une action agoniste spécifique sur un récepteur central faisant partie du complexe ªrécepteurs macromoléculaires GABA-OMEGAº, également appelés BZD1 et BZD2 et modulant l’ouverture du canal chlore.

      Propriétés Pharmacocinétiques

      Distribution :
      Après administration IV de diazépam, la décroissance des taux plasmatiques s’effectue en 2 phases : une phase de distribution rapide (30 à 60 minutes) où les concentrations atteignent des valeurs égales à celles obtenues après administration orale, puis une phase d’élimination plus lente.
      Par voie IM, la biodisponibilité est médiocre (résorption partielle et retardée).
      Le volume de distribution varie de1 à 2 l/kg. La clairance totale plasmatique du diazépam, calculée après administration intraveineuse, est de 30 ml/min. Elle tend à diminuer lors d’administrations multiples.
      La liaison aux protéines est importante, en moyenne de 95 à 98%.
      La demi- vie d’élimination plasmatique du diazépam est comprise entre 32 et 47 heures. L’état d’équilibre des concentrations plasmatiques est atteint en une semaine au minimum.
      Une relation concentration effet n’a pu être établie pour cette classe de produits, en raison de l’intensité de leur métabolisme et du développement d’une tolérance.
      Les benzodiazépines passent la barrière hémato-encéphalique, ainsi que dans le placenta et le lait maternel.
      Pour le diazépam, le rapport lait/plasma est égal à 2.

      Métabolisme et élimination :
      Le foie joue un rôle majeur dans le processus de métabolisation des benzodiazépines, ce qui explique le pourcentage négligeable (<0,1%) de produit inchangé retrouvé au niveau urinaire. Le métabolite principal du diazépam est le desméthyldiazépam, également actif, dont la demi-vie est plus longue que celle de la molécule-mère (entre 30 et 150 heures).
      L’hydroxylation de cette molécule donne naissance à un autre métabolite actif, l’oxazépam. L’inactivation se fait par glucuroconjugaison, aboutissant à des substances hydrosolubles éliminées dans les urines.

      Populations à risque :
      Sujet âgé : le métabolisme hépatique diminue, et donc la clairance totale, avec augmentation des concentrations à l’équilibre, de la fraction libre et des demi-vies. Il importe alors de diminuer les doses, au moins dans un premier temps.

      Insuffisant hépatique : on note une augmentation de la fraction libre (et donc du volume de distribution) ainsi que de la demi-vie.

      Femme enceinte : le volume de distribution et la demi-vie du diazépam sont augmentés.

    1. ***
      – Urgences neuropsychiatriques :
      * traitement d’urgence de l’état de mal épileptique de l’adulte et de l’enfant,
      * crise d’angoisse paroxystique;
      * crise d’agitation;
      * delirium tremens.
      Le trouble panique n’est pas une indication.

      – Pédiatrie :
      Traitement d’urgence par voie rectale des crises convulsives du nourrisson et de l’enfant.

      – Anesthésie :
      * prémédication à l’endoscopie,
      * induction et potentialisation de l’anesthésie.

      – Autre indication :
      * tétanos

    2. ATTAQUE DE PANIQUE
    3. DELIRIUM TREMENS
    4. ETAT DE MAL EPILEPTIQUE
    5. CRISE CONVULSIVE

    1. APNEE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION IV RAPIDE

      Risque d’apnée en cas d’injection intraveineuse rapide.
      Effet lié à la voie d’administration.

    2. DOULEUR AU POINT D’INJECTION
      Effet lié à la voie d’administration.
    3. PHLEBITE
      Possibilité de phlébite.
      Effet lié à la voie d’administration.
    4. REACTION ALLERGIQUE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT

      En raison de la présence d’alcool benzylique, possibilité de réactions allergiques graves, notamment chez l’enfant de moins de 3 ans.
      Effet lié à la composition de la forme injectable.

    5. IRRITATION RECTALE
      En raison de la présence d’acide benzoïque et de benzoate de sodium, irritation de la muqueuse rectale en cas d’administration par voie rectale.
      Effet lié à la composition de la forme injectable.
    6. SENSATION DE VERTIGE
      Sensations ebrieuses.
    7. ASTHENIE
    8. BAISSE DE LA VIGILANCE
    9. SOMNOLENCE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJET AGE
    10. HYPOTONIE MUSCULAIRE
    11. AMNESIE ANTEROGRADE
      Et actes automatiques amnésiques.
    12. REACTION PARADOXALE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT
      SUJETS AGES

      Réactions paradoxales chez certains sujets : aggravation de l’insomnie, cauchemars, irritabilité, agressivité, tension, agitation, trouble du comportement, modifications de la conscience.

    13. INSOMNIE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT
      SUJET AGE
    14. CAUCHEMAR
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT
      SUJET AGE
    15. IRRITABILITE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT
      SUJET AGE
    16. AGRESSIVITE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT
      SUJET AGE
    17. NERVOSITE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT
      SUJET AGE

      Tension.

    18. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT
      SUJET AGE
    19. TROUBLE DU COMPORTEMENT
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT
      SUJET AGE
    20. TROUBLE DE LA CONSCIENCE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT
      SUJET AGE
    21. DEPENDANCE PHYSIQUE
      Dépendance physique et psychique, même à dose thérapeutiques (cf. Mises en garde) avec syndrome de sevrage ou de rebond à l’arrêt du traitement.
    22. DEPENDANCE PSYCHIQUE
      Dépendance physique et psychique, même à dose thérapeutiques (cf. Mises en garde) avec syndrome de sevrage ou de rebond à l’arrêt du traitement.
    23. SYNDROME DE SEVRAGE
      Ou de rebond à l’arrêt du traitement.
    24. ERUPTION CUTANEE
      Prurigineuse ou non.
    25. TROUBLE DE LA LIBIDO

    1. MISE EN GARDE
      Ce produit contient de l’alcool benzylique susceptible d’entraîner des réactions allergiques graves, notamment chez l’enfant de moins de 3 ans.

      L’introduction d’un médicament antiépileptique peut, rarement être suivie d’une recrudescence des crises ou de l’apparition d’un nouveau type de crise chez le patient, et ce indépendamment des fluctuations observées dans certaines maladies epileptiques. En ce qui concerne les benzodiazépines, les causes de ces aggravations peuvent être : un choix de médicament mal approprié vis à vis des crises ou du syndrome épileptique du patient, une modification du traitement antiépileptique concomitant ou une interaction pharmacocinétique avec celui-ci, une toxicité ou un surdosage. Il peut ne pas y avoir d’autre explication qu’une réaction paradoxale.
      Ð Tolérance :

      Certains effets des benzodiazépines sont susceptibles de se modifier lors d’une administration prolongée, en raison du développement d’une tolérance.

      Ð Dépendance :

      Tout traitement par les benzodiazépines, et plus particulièrement en cas d’utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique. Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :

      . durée du traitement,

      . dose,

      . antécédents d’autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique.

      Cet état peut entraîner à l’arrêt du traitement un phénoméne de sevrage.

      Certains symptômes sont fréquents et d’apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité. D’autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, sensibilité exacerbée à divers stimuli (bruits, lumière), dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions.

      Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l’arrêt du traitement.

      L’association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu’en soit l’indication, anxiolytique ou hypnotique, d’accroître le risque de pharmacodépendance.

      Ð Phénomène de rebond :

      Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d’une exacerbation de l’anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines.

      Ð Amnésie :

      Une amnésie antérograde est susceptible d’apparaître dans les heures qui suivent la prise.
      La possibilité d’actes automatiques est également décrite.
      Ð Réactions paradoxales :

      Chez certains sujets, les benzodiazépines peuvent provoquer des réactions paradoxales :
      – aggravation de l’insomnie, cauchemars,
      – agitation, nervosité, irritabilité, accès de colère, libération d’agressivité,
      – idées délirantes, hallucinations, délire oniroîde, symptômes psychotiques, comportement inapproprié et autres troubles du comportement.
      L’enfant et le sujet âgé y sont davantage exposés.Elles imposent l’arrêt du traitement.

    2. ALCOOL
      Ce médicament contient 0,16 g d’alcool par ampoule de 2 ml.
    3. DEPRESSION
      Les benzodiazépines et produits apparentés ne doivent pas être utilisés seuls pour traiter la dépression ou l’anxiété associée à la dépression dans la mesure où ils peuvent favoriser un passage à l’acte suicidaire.
    4. PSYCHOSE
      Les benzodiazépines et produits apparentés ne constituent pas le traitement principal des troubles psychotiques.
    5. ALCOOLISME
      La plus grande prudence est recommandée en cas d’antécédents d’alcoolisme ou d’autres dépendances, médicamenteuses ou non.
    6. DEPENDANCE
      La plus grande prudence est recommandée en cas d’antécédents d’alcoolisme ou d’autres dépendances, médicamenteuses ou non.
    7. ARRET DU TRAITEMENT
      Modalités d’arrêt progressif du traitement :

      Elles doivent être énoncées au patient de façon précise.

      Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patients devront être avertis de la possibilité d’un phénomène de rebond, afin de minimiser l’anxiété qui pourrait découler des symptômes liés à cette interruption, même progressive.

      Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase.
    8. ENFANT
      Plus encore que chez l’adlute, le rapport bénéfice/risque sera scrupuleusement évalué et la durée du traitement aussi brève que possible.
    9. SUJET AGE
      Il est recommandé de réduire la posologie, de moitié par exemple.
    10. INSUFFISANCE RENALE
      Il est recommandé de réduire la posologie, de moitié par exemple.
    11. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      Il est recommandé de réduire la posologie, de moitié par exemple.
    12. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
      Il convient de prendre en compte l’effet dépresseur des benzodiazépines (d’autant que l’anxiété et l’agitation peuvent constituer des signes d’appel d’une décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs).
    13. GROSSESSE
      Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène pour quelques benzodiazépines.

      En clinique, un risque malformatif a été évoqué pour certaines d’entre elles, mais non confirmé à la suite d’études épidémiologiques.

      Des doses élevées au cours du dernier trimestre de la grossesse peuvent être à l’origine, à la naissance, d’hypotonie et de détresse respiratoire chez le nouveau-né. Après quelques jours à quelques semaines d’âge peut apparaître un syndrome de sevrage.

      En conséquence, les benzodiazépines ne seront prescrites pendant le premier trimestre de la grossesse que si nécessaire.

      Au cours du dernier trimestre, il convient d’éviter de prescrire des doses élevées.
    14. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risque possible de somnolence.

      L’association avec d’autres médicaments sédatifs doit être déconseillée ou prise en compte en cas de conduite automobile ou d’utilisation de machines.

    1. ALLERGIE AUX BENZODIAZEPINES
    2. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE SEVERE
    3. SYNDROME D’APNEE DU SOMMEIL
    4. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
      Risque de survenue d’une encéphalopathie.
    5. MYASTHENIE (relative)
      L’administration d’une benzodiazépine en aggrave les symptômes. Il est recommandé de l’utiliser exceptionnellement et sous surveillance accrue.
    6. ALLAITEMENT (relative)
      L’administration de benzodiazépines est à l’origine d’effets sédatifs (léthargie, baisse de tonus) chez l’enfant. En conséquence, si la prise de ce médicament apparaît indispensable, il convient d’éviter d’allaiter.
    7. ALCOOL (relative)
      Ce médicament est généralement déconseillé en association avec l’alcool : Majoration par l’alcool de l’effet sédatif des benzodiazépines. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
      Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.

    Signes de l’intoxication :

    1. HYPERSOMNIE
    2. COMA
    3. CONFUSION MENTALE
    4. LETHARGIE
    5. ATAXIE
    6. HYPOTONIE MUSCULAIRE
    7. HYPOTENSION ARTERIELLE
    8. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    9. MORTALITE AUGMENTEE

    Traitement

    Les signes de surdosage se manifestent, principalement par un sommeil profond pouvant aller jusqu’au coma, selon la quantité ingérée. On retrouve également des signes de confusion mentale, une léthargie, dans les cas bénins.
    Les cas plus sérieux se
    manifestent par de l’ataxie, hypotonie, hypotension, dépression respiratoire, exceptionnellement le décès.
    Le pronostic est favorable, en l’absence toutefois d’association à d’autres psychotropes et à condition que le sujet soit traité.
    L’administration
    de flumazénil peut être utile pour le diagnostic et/ou le traitement d’un surdosage intentionnel ou accidentel en benzodiazépines.
    L’antagonisme par le flumazénil de l’effet des benzodiazépines peut fovoriser l’apparition de troubles neurologiques
    (convulsions).

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAMUSCULAIRE

    – 2 – INTRAVEINEUSE

    – 3 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    Posologie & mode d’administration

    Posologie :
    La posologie sera essentiellement dépendante de la situation clinique.
    Chez l’adulte, elle varie de 0,1 à 0,2 mg/kg par injection. On peut d’emblée administrer 1 à 2 ampoules par voie I.M. ou I.V. lente.
    Cette dose pourra être renouvelée
    jusqu’à 4 fois par 24 heures, voire davantage en milieu hospitalier.

    – Injection intrarectale dans le traitement de la crise convulsive du nourrisson et de l’enfant :
    . la solution injectable est utilisée à la dose de 0,5 mg (0,1 ml de solution) par
    kilogramme de poids corporel, sans dépasser 10 mg.
    . la quantité voulue est prélevée à l’aide d’une seringue et injectée dans le rectum à l’aide d’une canule adaptable à la seringue.

    – Sujet âgé, insuffisant rénal, insuffisant hépatique : il est
    recommandé de diminuer la posologie ; par exemple, la moitié de la posologie moyenne peut être suffisante.
    – Etat de mal convulsif chez l’adulte : 2 mg par minute en perfusion intra-veineuse rapide jusqu’à 20 mg puis en perfusion lente avec 100 mg dans
    500 ml de solution glucosée, à raison de 40 ml par heure.

    Mode d’administration
    *Voies d’administration
    Voie intramusculaire ou intraveineuse lente ou perfusion ou voie intrarectale. En raison du risque d’apnée en cas d’injection intraveineuse rapide,
    l’injection intraveineuse doit être lente et faite dans une grosse veine.
    Il est nécessaire de disposer d’un matériel de réanimation respiratoire.
    Les injections intramusculaires doivent être profondes. Elles ne sont pas adaptés au traitement des crises
    ou de l’état de mal convulsif. La voie intramusculaire est déconseillée chez l’enfant.

    *Durée de traitement
    Le traitement doit être aussi bref que possible. En cas de relais par la voie orale, l’indication sera réévaluée régulièrement.
    .


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