EQUANIL 400 mg/5 ml solution injectable

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EQUANIL 400 mg/5 ml solution injectable

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 1/10/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – 8040 CB


    Forme : SOLUTION INJECTABLE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : SANOFI PHARMA

    Produit(s) : EQUANIL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 6/1/1960
    2. mise sur le marché 4/7/1960
    3. validation de l’AMM 23/10/1986

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 303689-5

    10
    ampoule(s)
    5
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 28/12/1961
    2. inscription SS 28/12/1961


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    NE PAS CONGELER

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 40.84 F

    Prix public TTC : 56.20 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 5
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANXIOLYTIQUE (CARBAMATE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N05B-C01.
      Par diminution de l’excitabilité du système limbique.
      Sédatif par action inhibitrice sur le thalamus.
      Myorelaxant par antagonisme des réflexes polysynaptiques. Aux doses thérapeutiques le méprobamate est sans action sur les fonctions végétatives (système cardiovasculaire et respiratoire).


    1. – Etats aigus d’anxiété ou d’agitation,
      – Predelirium, delirium tremens,
      – Prémédication des endoscopies et des petites interventions; sédation pré et post-opératoire.
      – Contractures douloureuses réflexes.

    1. SOMNOLENCE
      Notamment en début de traitement.
    2. TROUBLE DIGESTIF
    3. NAUSEE
    4. VOMISSEMENT
    5. DIARRHEE
    6. CEPHALEE
    7. VERTIGE
    8. ATAXIE
    9. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    10. TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
    11. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    12. URTICAIRE
    13. RASH
      maculo-papuleux
    14. PURPURA THROMBOPENIQUE
    15. BRONCHOSPASME
    16. ANURIE
    17. AGRANULOCYTOSE (RARE)

    1. MISE EN GARDE
      Phénomène de sevrage :

      un syndrome de sevrage peut survenir à l’arrêt brutal d’un traitement prolongé surtout à dose élevée.

      Il est donc recommandé de réduire progressivent les doses ou, en cas d’arrêt brutal, de surveiller attentivement le malade.
    2. MYASTHENIE
      La prise de méprobamate doit être faite sous surveillance accrue.
    3. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      L’action sédative peut être potentialisée par l’administration de tout autre dépresseur du système nerveux central ( en particulier par l’alcool, les hypnotiques, les opiacés).
    4. SUJET AGE
      Réduire la posologie.
    5. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      risque de somnolence diurne
    6. UTILISATEUR DE MACHINE
      risque de somnolence diurne
    7. BOISSONS ALCOOLISEES
      Formellement déconseillées pendant la durée du traitement.
    8. GROSSESSE
      – Chez l’animal : un effet tératogène a été mis en èvidence dans certaines espèces.

      – Dans l’espèce humaine : un risque tératogène a été évoqué ; ce risque, s’il existe, est vraisemblablement extrêmement faible.

      Par conséquent, il reste préférable de ne pas prescrire sans nécessité, pendant le premier trimestre de la grossesse.
    9. ALLAITEMENT
      A éviter, en raison du passage important dans le lait maternel, et de sédation et troubles digestifs décrits chez le nouveau né.
    10. PORPHYRIE AIGUE INTERMITTENTE

    1. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    2. ENFANT
      Spécialité réservée à l’adulte.

    Traitement

    – Intoxication aiguë : somnolence, coma, défaillance respiratoire, insuffisance circulatoire.
    – Conduite à tenir : lavage gastrique, traitement symptomatique en milieu spécialisé (il n’y a pas d’antidote spécifique).
    – Perfuser avec prudence : risque
    d’oedème pulmonaire en cas d’incompétence myocardique.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAMUSCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’adulte.
    L’Equanil injectable doit être administré par voie im profonde.
    – en pratique quotidienne : une à trois ampoules en im
    – en psychiatrie : deux à quatre ampoules, voire plus, en im
    – delirium tremens, predelirium :
    deux ampoules im, répétées quatre à huit fois par jour, selon l’importance de l’agitation.
    Dès le deuxième ou troisième jour, il est généralement possible de diminuer la dose.
    Vers le sixième jour, prendre le relais par voie orale : quatre à six
    comprimés d’Equanil 400 par jour.
    – en prémédication : une ampoule im, une demi-heure ou une heure avant l’intervention ou l’examen.
    – contractures musculaires : une à deux ampoules im.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Eviter de stocker à température très basse,
    sinon risque de cristallisation du principe actif. Dans ce cas il suffit de plonger les ampoules dans de l’eau chaude et d’agiter pour leur rendre leur aspect normal.


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