QUITAXON 5 mg comprimés (arrêt de commercialisation)
QUITAXON 5 mg comprimés (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 20/1/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
code expérimentation – H 5007
Forme : COMPRIMES DRAGEIFIES
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : PIERRE FABRE MEDICAMENTProduit(s) : QUITAXON
Evénements :
- mise sur le marché 15/1/1971
- octroi d’AMM 19/9/1975
- publication JO de l’AMM 2/7/1976
- arrêt de commercialisation 2/1/1991
- retrait d’AMM 2/1/1997
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 308909-3
1
boîte(s)
40
unité(s)
rougeEvénements :
- inscription liste sub. vénéneuses 28/10/1970
- arrêt de commercialisation 2/1/1991
- radiation SS 22/9/1991
- radiation collectivités 22/9/1991
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Régime : liste I
Composition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE
- DOXEPINE 5 mg
- LACTOSE excipient
- TALC excipient
- SILICE COLLOIDALE excipient
- STEARATE DE MAGNESIUM excipient
- METHYLCELLULOSE excipient
- POLYVIDONE EXCIPIENT excipient
- SACCHAROSE excipient
- KAOLIN excipient
- GLUCOSE LIQUIDE excipient
- MACROGOL excipient
- OXYDE DE TITANE excipient
- CIRE excipient
- MACROGOL STEARATE excipient
- JAUNE ORANGE S colorant (excipient)
- ERYTHROSINE colorant (excipient)
- TALC excipient
- ANTIDEPRESSEUR (INHIB. NON SEL. DU RECAPTA. DE MONOAMINE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : N06A-A12.
-
– Adultes :
Etats anxieux, insomnies anxieuses, troubles du caractère et de la sociabilité, troubles psychiatriques d’involution, préparation aux examens paracliniques et petites interventions.
– Enfants :
Troubles du comportement, insomnies, terreurs nocturnes, tics, bégaiement, difficultés alimentaires et digestives, énurésie.
- SOMNOLENCE (FREQUENT)
- EPILEPSIE(AGGRAVATION)
- TROUBLE DIGESTIF (EXCEPTIONNEL)
- TREMBLEMENT DES EXTREMITES (EXCEPTIONNEL)
- CONFUSION MENTALE (RARE)
- HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE (RARE)
- TACHYCARDIE
- POIDS(AUGMENTATION)
- SECHERESSE DE LA BOUCHE
- TROUBLE DE LA VISION
- CONSTIPATION
- RETENTION D’URINE
- REACTION ALLERGIQUE (RARE)
- ACCES MANIAQUE
Limité par l’effet sédatif du médicament. - DELIRE
Condition(s) Exclusive(s) :
PSYCHOTIQUELimité par l’effet sédatif du médicament.
- RISQUE SUICIDAIRE
Par levée brutale de l’inhibition psychique. Limité par l’effet sédatif du médicament.
- SURVEILLANCE MEDICALE
Une surveillance médicale est nécessaire, tant au point de vue psychique que somatique, en début de traitement. - ANTECEDENTS CARDIOVASCULAIRES
- SUJET AGE
- TRAITEMENT SEDATIF EN COURS
- CONDUCTEURS DE VEHICULES
- UTILISATEUR DE MACHINE
- HYPOTENSION
- TENDANCE SUICIDAIRE
- HYPERTROPHIE DE LA PROSTATE
- EPILEPSIE
Il peut être utile de renforcer la thérapeutique anticomitiale. - ANTECEDENTS EPILEPTIQUES
Il peut être utile de renforcer la thérapeutique anticomitiale. - GROSSESSE
Bien que l’administration à l’animal n’ait cause aucune malformation foetale, l’innocuité d’un tel traitement au cours de la grossesse n’a pas été établie.
Il est donc préférable de n’utiliser les antidépresseurs tricycliques chez la femme enceinte qu’après avoir mis en balance les avantages attendus d’une part, et l’éventuel risque thérapeutique de l’autre. - ALLAITEMENT
L’innocuité d’un tel traitement en période d’allaitement n’a pas été établie.
Il est donc préférable de n’utiliser les antidépresseurs tricycliques chez la femme en période d’allaitement qu’après avoir mis en balance les avantages attendus d’une part, et l’éventuel risque thérapeutique de l’autre.
Si troubles de la conduction, le traitement ne doit pas être interrompu systématiquement. - ANESTHESIE GENERALE
– Il peut apparaître des troubles de la conduction.
– Le traitement ne doit pas être interrompu systématiquement.
– En cas d’urgence (sans interruption préalable) une surveillance per-opératoire de l’électrocardiogramme est nécessaire.
Traitement
En cas de surdosage, on observe un renforcement des symptômes anticholinergiques, éventuellement un état confusionnel ou un coma (parfois retardés) , des manifestations cardio-vasculaires sévères (essentiellement troubles de la conduction) .
Il y a lieu
dans ce cas de faire évacuer le produit ingéré et de faire hospitaliser immédiatement le malade dans un service spécialisé.
Il n’existe pas d’antidote spécifique et le traitement est purement symptomatique.Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Trente milligrammes.
.
Posologie Particulière :
– Enfant : un demi milligramme par kilogramme et par jour en moyenne dans la majorité des cas.
Enurésie : une posologie double pourra être atteinte progressivement si nécessaire
(traitement prolongé) .
– Vieillard : dix à cinquante milligrammes le plus souvent en une à deux prises vespérales.
.
Mode d’Emploi :
– Instituer une posologie progressive en tenant compte de la sensibilité du malade et de son âge.
– A avaler dans un
peu d’eau en trois prises ou une prise unique le soir.
– L’arrêt du traitement sera progressif.
– De fortes doses ne peuvent être utilisées qu’après étude de la tolérance individuelle de chaque malade.