DIHYDROCODEINE TARTRATE
DIHYDROCODEINE TARTRATE
Introduction dans BIAM : 7/4/1992
Dernière mise à jour : 3/8/2000
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Effets sur la descendance
- Pharmaco-Dépendance
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
- Bibliographie
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
4,5-époxy-3-méthoxy-17-méthylmorphinan-6 ol tartrateEnsemble des dénominations
BANM : DIHYDROCODEINE TARTRATE
CAS : 5965-13-9
autre dénomination : DIHYDROCODEINE BITARTRATE
autre dénomination : DROCODE BITARTRATE
autre dénomination : HYDROCODEINE BITARTRATE
bordereau : 2910
code expérimentation : DF 118
rINNM : DIHYDROCODEINE TARTRATE
sel ou dérivé : CODEINEClasses Chimiques
Molécule(s) de base : DIHYDROCODEINE
- ANALGESIQUE (principale certaine)
- ANALGESIQUE CENTRAL (principale certaine)
Opioïde faible (palier 2 de l’O.M.S.). - ANTITUSSIF (principale certaine)
- SUBSTRAT DU CYTOCHROME P450 2D6 (principale certaine)
- SUBSTRAT DU CYP 2D6 (principale certaine)
Mécanismes d’action
- principal
Agoniste mu.
Activité analgésique proche de la codéine, et de puissance voisine du dixième de celle de la morphine.
Dépresseur respiratoire.
Dépression cardiovasculaire probablement due à une libération d’histamine.
Réduction de la motilité gastro-intestinale. Retarde la vidange gastrique. Augmente le tonus du sphincter d’Oddi.
- ANTALGIQUE (principal)
- DOULEUR (principale)
Traitement symptomatique des syndromes douloureux d’intensité moyenne. - DOULEUR DES CANCEREUX (principale)
- DOULEUR RHUMATISMALE (principale)
- DOULEUR POSTOPERATOIRE (principale)
- NAUSEE (CERTAIN FREQUENT)
- VOMISSEMENT (CERTAIN FREQUENT)
- CONSTIPATION (CERTAIN FREQUENT)
- CEPHALEE (CERTAIN RARE)
- BRONCHOSPASME (CERTAIN TRES RARE)
- ERUPTION CUTANEE (CERTAIN TRES RARE)
- REACTION ALLERGIQUE (CERTAIN TRES RARE)
- VERTIGE (CERTAIN RARE)
- SOMNOLENCE (CERTAIN FREQUENT)
- DEPRESSION RESPIRATOIRE (CERTAIN TRES RARE)
- SYNDROME DE SEVRAGE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
TRAITEMENT PROLONGE
DOSES ELEVEESSyndrome de sevrage aux opiacés
- INSOMNIE (CERTAIN TRES RARE)
- SECHERESSE DE LA BOUCHE (CERTAIN TRES RARE)
- HYPERSUDATION (CERTAIN TRES RARE)
- DOULEUR ABDOMINALE (CERTAIN TRES RARE)
- DOULEUR THORACIQUE (CERTAIN TRES RARE)
Sensation d’oppression thoracique.
- RISQUE MODERE
Pharmacodépendance de type morphinique.
- INSUFFISANCE RENALE
- CIRRHOSE
- TOXICOMANIE
Antécédents de toxicomanie. - HYPOTHYROIDIE
- SUJET AGE
- ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
- UTILISATEUR DE MACHINE
Risque de somnolence.
- GROSSESSE
Information manquante. - ALLAITEMENT
Information manquante. - HYPERSENSIBILITE A CETTE SUBSTANCE
- INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
Risque de dépression respiratoire. - ENFANT DE MOINS DE 1 AN
- INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
Risque de surdosage. - INSUFFISANCE RENALE SEVERE
Risque de surdosage.
Voies d’administration
Posologie et mode d’administration
Doses usuelles par jour, voie orale, chez l’adulte :
cent vingts milligrammes par jour en deux prises (doses à ne pas dépasser).
Pharmaco-Cinétique
– 1 –
DEMI VIE
4
heure(s)
– 2 –
ELIMINATION
voie rénaleAbsorption
95 à 100% de la dose sont résorbés par le tractus gastro-intestinal.
Pic plasmatique à 1.6 – 1.8 heures, voisin de 70 microgrammes/l après une prise de 30 mg.
Existence probable d’un effet de premier passage hépatique important.
Demi-Vie
4 heures.
Métabolisme
Métabolisme semblable à celui de la codéine.
Elimination
Elimination rénale.
Principale voie d’élimination.
Bibliographie
– Brochure Hospitalière Lab SARGET1992. (CREATION)
– Brochure Médicale Lab SARGET1992. (CREATION)
Spécialités
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