STAPODEN pommade (arrêt de commercialisation)
STAPODEN pommade (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 20/1/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : POMMADE
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : SMITHKLINE BEECHAM LABORATOIRES PHARMACEUTIQUESProduit(s) : STAPODEN
Evénements :
- octroi d’AMM 18/12/1969
- mise sur le marché 11/1/1971
- arrêt de commercialisation 1/6/1990
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 311592-7
1
tube(s)
15
g
aluEvénements :
- inscription SS 22/12/1970
- agrément collectivités 15/1/1971
- arrêt de commercialisation 1/6/1990
- radiation SS 20/3/1996
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
A L’ABRI DE LA CHALEURComposition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Par poids : 15
g- VIRGINIAMYCINE 75 mg
- POLYMYXINE B SULFATE 0.15 million(s) U.I.
- VASELINE excipient
- HUILE DE VASELINE excipient
- ANTIBIOTIQUE DERMIQUE (AUTRE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : D06A-X10.
.Deux antibiotiques de spectre différent actifs sur les germes les plus fréquemment rencontrés en pathologie cutanée:
-la virginiamycine, antibiotique bactériostatique apparenté à la famille des macrolides, du type des synergistines active sur les coques gram positif;
-la polymyxine b, antibiotique bactéricide polypeptidique de la famille des polymyxines, du groupe des polymyxines b, qui exerce une action antibactérienne sur la quasi totalité des bacilles gram négatif.
.En particulier, espèces sensibles au niveau cutané:
staphylocoques, streptocoques, escherichia coli, pseudomonas, bacillus anthracis.
-
Infections cutanées à germes sensibles à la virginiamycine et à la polymyxine:
-Infections primitives:
indications ophtalmologiques: orgelets, blépharites.
-Prévention des infections en chirurgie et en traumatologie: surinfection des brûlures superficielles et des plaies superficielles.
- ECZEMA
Condition(s) Favorisante(s) :
ULCERES DE JAMBES
TRAITEMENT PROLONGEAllergique de contact, survenant plus fréquemment en cas d’application sur des dermites péri-ulcéreuses. Les lésions d’eczéma peuvent disséminer à distance des zones traitées.
- SELECTION DE SOUCHES RESISTANTES
A la virginiamycine et/ou à la polymyxine.
- MISE EN GARDE
La sensibilisation par voie cutanée peut compromettre l’utilisation ultérieure par voie générale de ces antibiotiques ou d’antibotiques antigéniquement apparentes. - TRAITEMENT PROLONGE
La durée du traitement doit être limitée car l’antibiothérapie locale peut sélectionner des germes résistants. - LESIONS SUINTANTES
Et macérées. - PLIS
- ULCERES DE JAMBES
La résorption et le passage systèmique des deux antibiotiques ne sont pas à écarter. - LESION ETENDUE
La résorption et le passage systèmique des deux antibiotiques ne sont pas à écarter.
- HYPERSENSIBILITE
A la virginiamycine et/ou à la polymyxine. - ALLAITEMENT
En cas d’infections mammaires, en raison du risque d’absorption du produit par le nouveau-né.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
1 à 3 applications par jour.
.
Mode d’Emploi:
Pendant une semaine à titre indicatif, selon la nature, la gravité et le stade évolutif de la lésion.