HALOPERIDOL THERAPLIX 0.05% solution buvable (arrêt de commercialisation)
HALOPERIDOL THERAPLIX 0.05% solution buvable (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 24/10/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : SOLUTION BUVABLE
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : THERAPLIXProduit(s) : HALOPERIDOL THERAPLIX
Evénements :
- octroi d’AMM 29/12/1981
- publication JO de l’AMM 21/2/1982
- mise sur le marché 15/11/1982
- arrêt de commercialisation 1/9/1991
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 325217-9
1
flacon(s) compte-gouttes
30
mlEvénements :
- inscription SS 20/5/1982
- agrément collectivités 26/10/1982
- radiation SS 19/8/1991
- radiation collectivités 21/8/1991
- arrêt de commercialisation 1/9/1991
Lieu de délivrance : officine et hôpitaux
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Régime : liste I
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Volume : 1
ml- HALOPERIDOL 0.50 mg
- LACTIQUE ACIDE excipient
- EAU PURIFIEE excipient
- PARAHYDROXYBENZOATE DE METHYLE conservateur (excipient)
- PARAHYDROXYBENZOATE DE PROPYLE conservateur (excipient)
- NEUROLEPTIQUE (BUTYROPHENONE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : N05A-D01.
L’halopéridol exerce à faible posologie une action anxiolytique.
-
– Manifestations d’anxiété des états névrotiques.
– Manifestations psychosomatiques.
– Vomissements d’origine centrale et périphérique.
- SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES
Suspendre impérativement le traitement. - FIEVRE
Peut être l’un des éléments du syndrôme malin et doit alors impérativement entraîner l’arrêt du traitement. - PALEUR
Peut être l’un des éléments du syndrôme malin et doit alors impérativement entraîner l’arrêt du traitement. - TROUBLE NEUROVEGETATIF
Peut être l’un des éléments du syndrôme malin et doit alors impérativement entraîner l’arrêt du traitement. - SEDATION
- SOMNOLENCE
- DYSKINESIE PRECOCE
Ces phénomènes cèdent à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - TORTICOLIS SPASMODIQUE
Ces phénomènes cèdent à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - CRISE OCULOGYRE
Ces phénomènes cèdent à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - TRISMUS
Ces phénomènes cèdent à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - SYNDROME EXTRAPYRAMIDAL
Cédant partiellement aux antiparkinsoniens anticholinergiques. - DYSKINESIE TARDIVE
Condition(s) Favorisante(s) :
TRAITEMENT PROLONGELes anti-parkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation.
- DEPRESSION
Condition(s) Exclusive(s) :
TRAITEMENT PROLONGE - IMPUISSANCE
- FRIGIDITE
- AMENORRHEE
- GALACTORRHEE
- GYNECOMASTIE
- PROLACTINEMIE(AUGMENTATION)
- SYNDROME MALIN
En cas d’hyperthermie, il est impératif de suspendre l’Halopéridol Théraplix 0,05%; cette hyperthermie peut, en effet, être l’un des éléments du syndrôme malin (pâleur, hyperthermie, troubles végétatifs) qui a été décrit avec les neuroleptiques. - ENFANTS DE MOINS DE 2 ANS
Prescription exceptionnelle sous surveillance médicale stricte. - RECOMMANDATION
La susceptibilité infantile à l’Halopéridol impose une certaine prudence au début du traitement : celui-ci doit être très progressif. - CURES D’AMAIGRISSEMENT
Emploi déconseillé. - CONDUCTEURS DE VEHICULES
Il faut tenir compte d’une légère somnolence possible, surtout en début de traitement. - UTILISATEUR DE MACHINE
Il faut tenir compte d’une légère somnolence possible, surtout en début de traitement. - ALCOOL
L’attention des patients sera attirée sur le risque de potentialisation des effets de l’alcool. - EPILEPSIE
Surveillance renforcée (clinique et éventuellement électrique) en raison de la possibilité d’abaissement du seuil épileptogène. - MALADIE DE PARKINSON
Utilisation avec prudence. - SUJET AGE
Chez les sujets âgés en raison de leur importante sensibilité (sédation et hypotension) nécessitant une posologie plus faible. - INSUFFISANCE RENALE
En raison du risque de surdosage. - INSUFFISANCE HEPATIQUE
En raison du risque de surdosage.
Traitement
Possibilité d’hyperthermie pouvant être l’un des éléments du syndrôme malin (pâleur, hyperthermie, troubles végétatifs) décrit avec les neuroleptiques.
Syndrôme parkinsonien gravissisme – comma nécessitant un traitement en milieu hospitalier.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
– Adultes : quinze gouttes trois fois par jour.
– Enfants :
– de deux à cinq ans : une à deux gouttes par année d’âge et par jour, en deux ou trois prises.
– de cinq à quinze ans : deux à trois gouttes par année d’âge et par
jour, en deux ou trois prises.