MEROL sirop (arrêt de commercialisation)

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MEROL sirop (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 25/5/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SIROP

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : MEDECINE VEGETALE

    Produit(s) : MEROL

    Evénements :

    1. mise sur le marché 1/1/1971
    2. octroi d’AMM 29/9/1971
    3. arrêt de commercialisation 15/7/1999

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 306657-7

    1
    flacon(s)
    150
    ml
    verre

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTITUSSIF OPIACE ASSOCIE A UN EXPECTORANT (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05F-A02.
      Association balsamique expectorante, fluidifiante des sécrétions bronchiques facilitant l’expectoration : sédative de la toux.
      Sulfogaiacol : fluidifiant des sécrétions bronchiques, expectorant.
      Codéine : antitussif d’action centrale : alcaloïde de l’opium :
      dépresseur des centres respiratoires.


    1. Utilisé dans le traitement symptomatique des toux non productives gênantes.

    1. COMMENTAIRE GENERAL
      Les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais, aux doses thérapeutiques plus rares et plus modérés.
    2. CONSTIPATION
    3. SOMNOLENCE
    4. VERTIGE
    5. NAUSEE
    6. VOMISSEMENT
    7. BRONCHOSPASME
    8. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    9. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    10. SYNDROME DE SEVRAGE
      Aux doses suprathérapeutiques : risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l’arrêt brutal qui a été observé chez l’utilisateur et le nouveau-né de mère toxicomane.
    11. DEPENDANCE
      Aux doses suprathérapeutiques : risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l’arrêt brutal qui a été observé chez l’utilisateur et le nouveau-né de mère toxicomane.
    12. CRISE CONVULSIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ENFANT
      FORTES DOSES

      En raison de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.

    13. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      SUJET AGE
      FORTES DOSES

      En raison de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.

    14. CONFUSION MENTALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      SUJET AGE
      FORTES DOSES

      En raison de la présence de dérivés terpéniques, en tant qu’excipients.

    1. MISE EN GARDE
      – Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire sont à respecter.

      – Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement étiologique propre, notamment asthme, dilatation des bronches, vérification d’obstacles intrabronchiques, cancer, affections endobronchiques, insuffisance ventriculaire gauche quelle que soit l’étiologie, embolie pulmonaire, toux cardiaque ; et si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.

      – Dérivés terpéniques :

      Cette spécialité contient des dérivés terpéniques, en tant qu’excipients, qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. A doses excessives, risque d’ accidents neurologiques à type de convulsions chez le nourrisson et chez l’enfant. Respecter les posologies et la durée de traitement préconisées.
    2. ANTECEDENTS EPILEPTIQUES
      Tenir compte de la présence, en tant qu’excipients, de dérivés terpéniques.
    3. UTILISATEUR DE MACHINE
      L’attention des conducteurs de véhicules ou d’engins est attirée sur les risques de somnolence attachés à l’emploi de ce médicament.
    4. BOISSONS ALCOOLISEES
      L’absorption d’alcool pendant le traitement est formellement déconseillée.
    5. HYPERTENSION INTRACRANIENNE
    6. DIABETE
      – 2.8 g de sucre par cuillerée à café.

      – 8.4 g de sucre par cuillerée à soupe.
    7. GROSSESSE
      Utilisation non recommandée.
    8. ALLAITEMENT
      En cas d’allaitement, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament du fait :

      – de l’absence de donnée cinétique sur le passage des dérivés terpéniques dans le lait,

      – et de leur toxicité neurologique potentielle chez le nourrisson.
    9. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Ne pas associer à un autre antitussif.

    1. ENFANT DE MOINS DE 30 MOIS
    2. TOUX DE L’ASTHMATIQUE
      Du fait de la présence de codéine.
    3. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
      Quel que soit son degré (en raison de l’effet dépresseur de la codéine sur les centres respiratoires et de la nécessité de respecter la toux).

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Enfants en moyenne trois à six cuillerées à café par jour.
    – Adultes en moyenne trois cuillerées à soupe par jour.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours).


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