QUAM suspension buvable (arrêt de commercialisation)

Donnez-nous votre avis

QUAM suspension buvable (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 16/1/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SUSPENSION BUVABLE

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : SOLVAY PHARMA

    Produit(s) : QUAM

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 28/7/1980
    2. publication JO de l’AMM 4/12/1980
    3. mise sur le marché 18/9/1981
    4. arrêt de commercialisation 1/8/1991

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 323437-1

    1
    flacon(s)
    100
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 26/8/1981
    2. inscription SS 26/8/1981
    3. arrêt de commercialisation 1/8/1991


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 8 F

    Prix public TTC : 14.50 F

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. SULFAMIDE VOIE GENERALE ASSOCIE A LA TRIMETHOPRIME (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01E-E03.
      Association d’un sulfamide (sulfamétrole) à une diaminopyrimidine (triméthoprime) dans la proportion de 5/1.
      Agissent en synergie dans les proportions incluses entre 10/1 et 40/1.
      -espèces habituellement sensibles : e. coli, klebsiella, enterobacter, proteus, citrobacter, salmonella, shigella, haemophilus, vibrio cholerae, listeria, pneumocystis carinii.
      pneumocoques, streptocoques a, providencia, serratia, staphylocoques, sont moins fréquemment sensibles.
      -certaines espèces sont naturellement résistantes au triméthoprime :
      cependant lorsque la souche est sensible au sulfamide, l’association est synergique : méningocoques, gonocoques, brucella, acinetobacter, nocardia, actinomycetes.
      -les espèces habituellement résistantes sont :
      pseudomonas, campylobacter, anaérobies (la plupart), streptocoques d.
      -l’association n’est pas active sur le bacille de Koch, les tréponèmes, les mycoplasmes.


    1. Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques du sulfamétrole et du triméthoprime.
      Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
      -infections dues aux germes sensibles notamment dans leurs manifestations:
      . bronchopulmonaires aigües .urogénitales, en particulier prostatiques .de l’oreille moyenne .digestives, en particulier fièvre typhoïde et sigmoidite
      -infections à pneumocystis carinii
      -il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.

    1. NAUSEE (RARE)
    2. DOULEUR EPIGASTRIQUE (RARE)
    3. REACTION CUTANEE (PEU FREQUENT)
    4. RASH (EXCEPTIONNEL)
    5. URTICAIRE (EXCEPTIONNEL)
    6. INSUFFISANCE RENALE
    7. SYNDROME DE LYELL (EXCEPTIONNEL)
      Imprévisible et parfois mortel rapporté après sulfamidothérapie.
    8. NEUTROPENIE (PEU FREQUENT)
      Cet effet secondaire impose l’arrêt immédiat et définitif du traitement.
    9. THROMBOPENIE (EXCEPTIONNEL)
      Cet effet secondaire impose l’arrêt immédiat et définitif du traitement.
    10. ANEMIE HEMOLYTIQUE (EXCEPTIONNEL)
      Cet effet secondaire impose l’arrêt immédiat et définitif du traitement.
    11. APLASIE MEDULLAIRE
      Cet effet secondaire impose l’arrêt immédiat et définitif du traitement.

    1. MISE EN GARDE
      La gravité éventuelle des accidents cutanés possibles doit faire pondérer le bénéfice attendu du risque encouru.
    2. TRAITEMENT PROLONGE
      Procéder à un contrôle hématologique périodique.
    3. TRAITEMENT ITERATIF
      Procéder à un contrôle hématologique périodique.
    4. ENFANTS DE MOINS DE 2 ANS
      En l’absence de données pharmacocinétiques et cliniques, emploi déconseillé.
    5. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      Procéder à une surveillance biologique au niveau des transaminases.
    6. ANTECEDENTS HEMATOLOGIQUES
      Surveiller hémogramme, plaquettes, réticulocytes.
    7. INSUFFISANCE RENALE
      Surveiller la créatinine en cas d’insuffisance rénale sévère, (clairance de la créatinine < 30 ml/minute la posologie doit être réduite en tenant compte de la clairance de la créatinine.
    8. DIABETE
      Tenir compte d’un apport de 2 g de saccharose par cuiller-mesure de suspension buvable.

    1. PREMATURE
      En raison de l’immaturité de leurs systèmes enzymatiques.
    2. NOUVEAU-NE
      En raison de l’immaturité de leurs systèmes enzymatiques.
    3. GROSSESSE
      – Les associations, sulfamide-triméthoprime s’étant montrées tératogènes chez l’animal, leur utilisation est donc déconseillée, sauf cas particulier la justifiant pendant la grossesse.
      – En raison de l’immaturité des systèmes enzymatiques du nouveau-né, Quam est contre-indiqué en fin de grossesse.
    4. ALLAITEMENT
    5. DEFICIT EN G6PD
      Risque de déclenchement d’hémolyse.
    6. HYPERSENSIBILITE AUX SULFAMIDES

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    De six à cinq ans :
    une cuillérée à café par cinq kilogrammes de poids et par jour à répartir en deux prises égales matin et soir.
    Au dessus de cinq ans :
    quatre cuillérées à café par jour en deux prises matin et soir.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts