CLARINASE REPETABS Comprims enrobs libration rpte

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CLARINASE REPETABS Comprims enrobs libration rpte

Introduction dans BIAM : 17/9/1992
Dernière mise à jour : 18/9/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES A LIBERATION PROLONGEE

    Etat : commercialis

    Laboratoire : SCHERING PLOUGH

    Produit(s) : CLARINASE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 13/5/1992
    2. mise sur le march 1/9/1992
    3. publication JO de l’AMM 29/9/1992

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 334938-7

    1
    tui(s)
    14
    unit(s)
    blanc

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    non rembours

    Prix Pharmacien HT : 21.12 F

    Prix public TTC : 33.50 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. DECONGESTIONNANT NASAL V. GENER. (SYMPATHOMIMETIQUE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R01B-A52.
      Le sulfate de pseudophdrine (sulfate de d-isophdrine) est un sympathomimtique activit alpha-mimtique prdominante par rapport l’activit bta. Par son action vasoconstrictrice, le sulfate de pseudophdrine est un dcongestionnant nasal, actif par voie orale. Il exerce son effet sympathomimtique de manire indirecte, principalement par la libration de mdiateurs adrnergiques au niveau des terminaisons nerveuses post-ganglionnaires.
      La loratadine est un antihistaminique de structure tricyclique, d’action prolonge, bloquant slectivement les rcepteurs H1 priphriques et ne possdant pas d’effets sdatifs centraux ou anticholinergiques.
      – Lors d’tudes exprimentales chez les animaux, la loratadine a montr une trs faible affinit pour les rcepteurs menbranaires crbraux et a difficilement pntr le systme nerveux central.
      – Le profil sdatif de 10 mg de loratadine, en prise journalire unique, est comparable celui d’un placebo et, au cours de traitements long terme, on n’a observ aucune modification cliniquement significative des signes vitaux, des valeurs de laboratoire, des rsultats des examens physiques et des E.C.G.


    1. Traitement symptomatique, en particulier de l’obstruction nasale, au cours des rhinites allergiques saisonnires.

    1. INSOMNIE
      Peut tre imputable la prsence de la pseudophdrine.
    2. SECHERESSE DE LA BOUCHE
      Peut tre imputable la prsence de la pseudophdrine.
    3. NERVOSITE
      Peut tre attribue la prsence de la pseudophdrine.
    4. VERTIGE
      Peuvent tre attribus la prsence de la pseudophdrine.
    5. TACHYARYTHMIE
      Peut tre attribue la prsence de la pseudophdrine.
    6. HYPERTENSION ARTERIELLE
      Peut tre attribue la prsence de la pseudophdrine.
    7. PALPITATION
      Peut tre attribue la prsence de la pseudophdrine.
    8. RETENTION D’URINE
      Peut tre attribue la prsence de la pseudophdrine.
    9. ANOREXIE
      Peut tre attribue la prsence de la pseudophdrine.
    10. SOMNOLENCE
      Peut tre attribue la prsence de la loratadine. Incidence comparable celle d’un placebo.
    11. TROUBLE DIGESTIF (RARE)
      Peuvent tre attribus la prsence de l’un ou l’autre des constituants.
    12. NAUSEE
      Peuvent tre attribues la prsence de l’un ou l’autre des constituants.
    13. GASTRITE
      Peut tre attribue la prsence de l’un ou l’autre des constituants.
    14. RASH
      de type allergiques, peuvent tre attribus la prsence de l’un ou l’autre des constituants.
    15. IRRITABILITE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT

      Peut tre attribue la prsence de pseudophdrine.

    16. AGRESSIVITE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ENFANT

      Peut tre attribue la prsence de pseudophdrine.

    17. HALLUCINATION
      Peut tre attribues la prsence de pseudophdrine.
    18. CRISE CONVULSIVE
      Peuvent tre attribues la prsence de pseudophdrine.
    19. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE
      Peut tre attribue la prsence de pseudophdrine.

    1. TRAITEMENT DIGITALIQUE
    2. TROUBLES DU RYTHME
    3. HYPERTENSION
    4. INFARCTUS DU MYOCARDE(ANTECEDENT)
    5. DIABETE SUCRE
    6. ULCERE PEPTIQUE
    7. OBSTRUCTION INTESTINALE
      Pyloroduodnale.
    8. HYPERTROPHIE DE LA PROSTATE
    9. OBSTACLE SUR LES VOIES URINAIRES
    10. BRONCHOSPASME
    11. SUJET AGE
      Une prudence particulire s’impose chez les patients ags de 60 ans ou plus, cette tranche d’ge tant plus sensibles aux effets secondaires des mdicaments sympathomimtiques. Dans ces cas, il est conseill de rduire la posologie.
    12. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      Dans ce cas la dose devra tre rduite.
    13. TRAITEMENTS ASSOCIES
      La prudence est de mise chez les patients traits par sympathomimtiques tels que les dcongestionnants, les anorexignes ou psychostimulants du type amphtamine, les antihypertenseurs, les antidpresseurs tricycliques et d’autres antihistaminiques.
    14. TRAITEMENT PROLONGE
      Comme pour d’autres stimulants du S.N.C., on a constat un potentiel d’abus de sulfate de pseudophdrine. L’usage continu peut entraner le dveloppement d’une tolrance, et donc d’un risque accru de surdosage.
    15. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
      L’utilisation de Clarinase Repetabs n’a pas t valu chez des patients atteints d’insuffisance hpatique svre et par consquent n’est pas recommande chez ces patients.
    16. GROSSESSE
      L’innocuit de l’utilisation de Clarinase Repetabs durant la grossesse n’a pas t tablie. Par consquent, l’usage du produit est dconseill pendant la grossesse.
    17. ALLAITEMENT
      L’innocuit de l’utilisation de Clarinase Repetabs durant l’allaitement n’a pas t tablie. Par consquent, l’usage du produit est dconseill pendant l’allaitement.
    18. SPORTIFS
      A l’attention des sportifs : Cette spcialit contient un principe actif pouvant induire une raction positive des tests pratiqus lors des contrles anti-dopages.

    1. IDIOSYNCRASIE AUX SYMPATHOMIMETIQUES
    2. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    3. TRAITEMENT PAR IMAO
      ou durant les 15 jours qui suivent l’arrt du traitement.
    4. GLAUCOME A ANGLE FERME
    5. RETENTION URINAIRE
    6. TROUBLES CARDIOVASCULAIRES
      Tel que ischmie coronarienne.
    7. TACHYARYTHMIE
    8. HYPERTENSION SEVERE
    9. HYPERTHYROIDIE
    10. ENFANTS DE MOINS DE 12 ANS

    1. INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
      Les traitements par antihistaminiques doivent tre interrompus environ 4 jours avant de pratiquer des tests de sensibilisation cutane, tant donn que ces produits peuvent supprimer ou diminuer les ractions dermiques positives.

    Traitement

    A ce jour, on n’a pas rapport de surdosage avec Clarinase Repetabs. Dans l’ventualit d’un surdosage, un traitement symptomatique et conservateur sera instaur immdiatement et maintenu aussi longtemps que ncessaire.
    – Les symptmes d’une intoxication
    sont essentiellement ceux d’un sympathomimtique, mise part une lgre sdation que pourrait causer la loratadine des doses plusieurs fois suprieures la dose recommande. Il peut s’agir de dpression centrale (sdation, apne, altration de la
    vigilance, cyanose, coma, collapsus cardiovasculaire) ou de stimulation centrale (insomnie, hallucinations, tremblements, convulsions) avec possibilit d’issue fatale.
    – D’autres symptmes peuvent tre observs : cphales, anxit, difficult de
    miction, faiblesse et tension musculaire, euphorie, excitation, tachycardie, palpitations, soif, transpiration, nauses, vomissements, douleurs prcordiales, vertiges, acouphnes, ataxie, vision trouble et hypertension ou hypotension. Une stimulation
    centrale est probable en particulier chez l’enfant, de mme que des symptmes de type atropinique (scheresse de la bouche, fixit et dilatation de pupilles, rougeur, hyperthermie et symptmes gastro-intestinaux).
    – Traitement :
    – Le vomissement sera
    induit mme s’il s’est dj produit spontanment. Le sirop d’ipca peut tre utilis a cette fin. Cependant, le vomissement ne sera pas provoqu chez le patient inconscient. Il est ncessaire de veiller l’absence de fausses routes lors des efforts de
    vomissements. Aprs le vomissement, l’administration de charbon permettra l’absorption de la quantit rsiduelle de mdicament. Si le vomissement n’est pas suffisant ou est contre-indiqu, on procdera un lavage d’estomac avec du srum physiologique,
    et ce, en particulier chez l’enfant. Des solutions salines purgatives provoquent, par osmose, un afflux d’eau dans l’intestin et peuvent, par consquent tre indiques pour une dilution rapide du contenu de l’intestin.
    – La dialysance du produit n’est
    pas prcise.
    – Dans le traitement d’urgence, le patient restera sous surveillance mdicale. Le traitement des symptmes de surdosage est symptomatique et conservateur. Les stimulants (analeptiques) ne doivent pas tre utiliss. L’hypertension peut tre
    contrle au moyen d’un alpha-bloquant et la tachycardie au moyen d’un bta-bloquant. Les convulsions peuvent tre contrles par l’administration de barbituriques courte dure d’action de diazpam 10 mg par injection IV ou IM chez l’adulte et
    l’administration par voie intra-rectale de 0,5mg/kg chez l’enfant. l’hyperpyrexie, spcialement chez l’enfant, peut tre traite par des bains tides ou sous couverture hypothermique. L’apne est traite par assistance respiratoire.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Adultes et enfants de plus de douze ans : un comprim deux fois par jour.
    – La dure du traitement sera aussi brve que possible et ne dpassera pas la priode symptomatique. Il est recommand de ne pas dpasser une dizaine de jours
    de traitement tant donn que la pseudophdrine perd de son efficacit de semaine en semaine en administration chronique. Aprs amlioration de l’tat congestif des muqueuses respiratoires suprieures, un traitement base d’antihistaminique seul sera
    poursuivi, si ncessaire.
    .
    Mode d’emploi :
    – A prendre de prfrence avant les repas, avaler avec un peu d’eau sans le croquer.


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