NAXY 250 mg comprim enrob

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NAXY 250 mg comprim enrob

Introduction dans BIAM : 21/2/1994
Dernière mise à jour : 22/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES ENROBES

    Usage : adulte

    Etat : commercialis

    Laboratoire : SANOFI PHARMA

    Produit(s) : NAXY

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 11/9/1991
    2. publication JO de l’AMM 28/1/1992
    3. mise sur le march 7/2/1994
    4. rectificatif d’AMM 18/5/2000

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 334172-4

    1
    plaquette(s) thermoforme(s)
    10
    unit(s)
    PVC/PVDC/alu
    jaune

    Evénements :

    1. inscription SS 2/2/1994
    2. agrment collectivits 2/3/1994


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 60.80 F

    Prix public TTC : 78.90 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 337224-5

    6
    plaquette(s) thermoforme(s)
    10
    unit(s)
    PVC/PVDC/alu
    jaune

    Evénements :

    1. inscription SS 2/2/1994
    2. agrment collectivits 2/3/1994
    3. radiation SS 7/1/1998


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : arrt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    non rembours

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (MACROLIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01F-A09.
      La clarithromycine est un antibiotique bactrien, driv semi-synthtique de l’rythromycine A, de la famille des macrolides (en C14).
      – Activit antibactrienne :
      La Clarithromycine possde la caractristique d’tre transforme chez l’homme en mtabolite 14 hydroxyl actif. L’activit anti-bactrienne de ce mtabolite est variable selon les espces avec les CMI gales ou infrieures d’une dilution celles de la Clarithromycine. La concentration srique de ce mtabolite est significative puisqu’elle est de l’ordre de 30 50% de celle de la molcule mre. Son activit est prendre en compte dans l’valuation globale de l’activit antibactrienne de la Clarithromycine.
      – Le spectre d’activit antibactrienne :
      1/ Espces habituellement sensibles (CMI infrieure ou gale 1 mg/l) :
      Plus de 90 % des souches sont sensibles (S).
      Streptocoques, staphylocoques mticilline-sensibles, Rhodococcus equi,
      M. catarrhalis, Bordetella pertussis, Campylobacter jejuni,
      Corynebacterium diphteriae, moraxella,
      Mycoplasma pneumoniae, coxiella, chlamydiae, legionella,
      Treponema pallidum, Borrelia burgdorferi, leptospires,
      Propionibacterium acnes, actinomyces, eubacterium, porphyromonas, mobiluncus
      Corynebacterium, Propionibacterium, Bifidobacterium, Bacillus, Lactobacillus, Peptococcus, Leptotrichia, Prevotella, Bacteroides l’exception du Bacteroides fragilis, Neisseiria.
      2/ Espces modrment sensibles :
      L’antibiotique est modrment actif in vitro. Des rsultats cliniques satisfaisants peuvent tre observs lorsque les concentrations de l’antibiotique au site de l’infection sont suprieures la CMI.
      Haemophilus influenzae* et parainfluenzae, Neisseria gonorrhoeae, Vibrio, Ureaplasma urealyticum
      Mycobacterium avium.
      * Haemophilus influenzae : l’activit de la 14-hydroxy-clarithromycine est suprieure celle de la clarithromycine. Des travaux raliss in vitro ont suggr une activit additive de la 14-hydroxy-clarithromycine et de la molcule mre vis–vis d’Haemophilus influenzae.
      3 / Espces rsistantes (CMI suprieure 4 mg/l) :
      Au moins 50 % des souches de l’espce sont rsistantes (R)
      Staphylocoques mticilline-rsistants, entrobactries, Pseudomonas, Acinetobacter,
      Mycoplasma hominis, Nocardia,
      Fusobacterium, Bacteroides fragilis.
      4/ Espces inconstamment sensibles :
      Le pourcentage de rsistance acquise est variable. La sensibilit est donc imprvisible en l’absence d’antibiogramme.
      Streptococcus pneumoniae, Entrocoques, Campylobacter coli, Peptosptreptococcus, Clostridium perfringens,
      H. pylori*
      * L’radication de Helicobacter pylori s’accompagne d’une cicatrisation et d’une rmission prolonge de la maladie ulcreuse gastro-duodnale.
      L’radication bactriologique n’est obtenue des taux satisfaisants que par l’association de deux antibiotiques un anti-scrtoire.
      La Clarithromycine possde une activit in vitro et in vivo sur T.gondii.
      NB : certaines espces bactriennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.
      En France, en 1995, 30 40% des Pneumocoques sont rsistants l’ensemble des macrolides, voire plus de 50% pour les pneumocoques de sensibilit diminue la pnicilline.
      * Proprits pharmacocintiques :
      Absorption :
      L’antibiotique est retrouv dans le srum ds la 60me minute. Aprs prise unique de 250 mg, le pic srique se situe vers 1.7 heure pour la clarithromycine et 2.2 heures pour son mtabolite 14-hydroxyl. La biodisponibilit absolue est de 55%. L’absorption du comprim n’est pas influence par la prise d’aliments.
      Distribution :
      Les concentrations sriques de la molcule mre et du mtabolite, ainsi que l’activit antibactrienne totale (dosage microbiologique), chez le sujet normal l’tat d’quilibre (vers J4) aprs prises rptes, sont les suivantes (coefficient d’accumulation : 1.5 2).
      Pour une dose de 250 mg deux fois par jour :
      -Cmax* de la clarithromycine = 0.9 microg/ml,
      -Cmax* de la 14-OH clarithromycine = 0,6 microg/ml
      -Cmax** Activit biologique = 1,5 microg/ml
      Pour une dose de 500 mg deux fois par jour :
      -Cmax* de la clarithromycine = 2,4 microg/ml,
      -Cmax* de la 14-OH clarithromycine = 0,66 microg/ml
      -Cmax** Activit biologique = 2,8 microg/ml
      *: dosage par HPLC
      **: dosage par mthode microbiologique
      En administration rpte, la 12me heure, les concentrations rsiduelles sont d’environ 0.2 microg/ml aprs 250 mg et 0.7 microg/ml aprs 500 mg. A la dose de 250 mg, la demi-vie d’limination de la clarithromycine est de 3.8 heures, et celle de la 14-hydroxy-clarithromycine, de 5.8 heures. Aprs prises rptes, l’tat d’quilibre est atteint le 4me jour.
      Liaison aux protines :
      Le pourcentage de liaison aux protines sriques de la clarithromycine varie de 72 67%, et celui du mtabolite actif est de 57 48%, en fonction des concentrations plasmatiques.
      Diffusion tissulaire :
      Le volume de distribution est d’environ 2 4 l/kg. Aprs 5 doses de 250 mg, des concentrations de 8.8 microg/ml sont atteintes dans le poumon, 1.11 microg/ml dans les amygdales et environ 0.9 microg/ml dans les liquides interstitiels.
      La clarithromycine et son mtabolite actif se concentrent dans la salive, le tissu gingival et l’os alvolaire. Les concentrations en clarithromycine ont t mesures chez l’homme dans le srum et ces diffrents milieux, 2 heures aprs administration de 250 mg de clarithromycine 2 fois par jour pendant 3 jours.
      Les rsultats obtenus, exprims en microg/ml ou microg/g sont les suivants :
      Concentrations de clarithromycine :
      -Srum = 1,68+/-0,40
      -Salive = 2,22+/-0,93
      -Gencive saine = 2,90+/-0,91
      -Gencive inflammatoire = 3,65+/-1,10
      -Os alvolaire = 2,00+/-0,37
      Les macrolides pntrent et s’accumulent dans les phagocytes (polynuclaires neutrophiles, monocytes, macrophages pritonaux et alvolaires). Les concentrations intraphagocytaires sont leves chez l’homme. Ces proprits expliquent l’activit de la clarithromycine sur les bactries intracellulaires.
      La clarithromycine et la 14-hydroxy-clarithromycine passent dans le lait maternel. Le rapport des concentrations aux taux plasmatiques est respectivement de 24 et de 63%.
      Biotransformation :
      La clarithromycine est biotransforme en 3 mtabolites : la descladinosyl-clarithromycine, la N-dmthyl-clarithromycine et le driv 14-hydroxyl. Ce dernier mtabolite est prdominant tant au plan quantitatif que qualitatif puisqu’il possde une activit antibactrienne propre. Le mtabolisme de la clarithromycine est saturable aux posologies leves. L’augmentation des posologies et la multiplication des prises entranent une augmentation des concentrations plasmatiques de la clarithromycine proportionnellement plus importante que celle des doses et une diminution de la fraction de 14-hydroxy-clarithromycine ( l’tat d’quilibre, les concentrations plasmatiques de la 14-hydroxy-clarithromycine sont d’environ 2/3 de celles de la molcule mre aprs 250 mg x 2, et d’environ 27% aprs 500 mg x 2).
      Excrtion :
      La clarithromycine est excrte par le foie et le rein ;
      – chez l’homme, aprs une dose unique de 250 mg per os, 37.9% de la dose sont excrts dans les urines, dont 18.4% sous forme de clarithromycine et 13.7% sous forme de driv 14-hydroxyl. Quelle que soit la dose, la clarithromycine libre et le driv 14-hydroxyl reprsentent l’essentiel de l’excrtion urinaire de la clarithromycine,
      – l’limination fcale d’une dose unique de 250 mg est de 40.2%, la molcule mre reprsentant 4.4% de la dose. L’essentiel de la clarithromycine est limin sous forme de mtabolites,
      – l’augmentation des doses accrot l’limination urinaire ainsi que la fraction de clarithromycine inchange.
      En cas d’insuffisance rnale, l’excrtion de la clarithromycine et surtout de la 14-hydroxy-clarithromycine est diminue, avec une lvation des concentrations maximales, des concentrations rsiduelles, des surfaces sous courbes et de la quantit de la 14-hydroxy-clarithromycine forme. Lorsque la clairance est infrieure 30 ml/minute, la demi-vie d’limination est multiplie par 3 pour la clarithromycine, et multiplie par 4 pour la 14-hydroxy-clarithromycine, avec un risque d’accumulation important.
      En cas d’insuffisance hpatique, la formation de 14-hydroxy-clarithromycine est diminue, ses concentrations sriques et ses surfaces sous courbes rduites. Cependant, il existe une augmentation de l’limination rnale de la clarithromycine et il n’y a pas d’accumulation.
      Chez le sujet g ( suprieur 65 ans), il existe une augmentation des Cmax et des concentrations rsiduelles, lie un allongement de la demi-vie de la clarithromycine ( suprieur 7.7 h) et surtout du mtabolite 14-hydroxyl (14 h). Les surfaces sous courbes des concentrations plasmatiques de clarithromycine sont double de celles observes chez le sujet adulte jeune.

    1. ***
      Elles procdent de l’activit antibactrienne et des caractristiques pharmacocintiques de la clarithromycine. Elles tiennent compte la fois des tudes cliniques auxquelles a donn lieu ce mdicament et de sa place dans l’ventail des produits antibactriens actuellement disponibles.
      Elles sont limites aux infections dues aux germes dfinis comme sensibles :
      – Angines en alternative au traitement de rfrence, particulirement lorsque celui-ci ne peut tre utilis.
      La pnicilline prescrite pendant 10 jours reste le traitement de rfrence des angines aigus streptococciques.
      – Sinusites aigus. Compte tenu du profil microbiologique de ces infections, les macrolides sont indiqus lorsqu’un traitement par une bta-lactamine est impossible.
      – Surinfections des bronchites aigus.
      – Exacerbations des bronchites chroniques.
      – Pneumopathies communautaires chez des sujets :
      . sans facteurs de risques,
      . sans signes de gravit clinique,
      . en l’absence d’lments cliniques vocateurs d’une tiologie pneumococcique.
      En cas de suspicion de pneumopathie atypique, les macrolides sont indiqus quels que soient la gravit et le terrain.
      – infections cutanes bnignes : imptigo, imptignisation des dermatoses, ecthyma, dermohypodermite infectieuse (en particulier rysiple), erythrasma, acn en alternative au traitement par cyclines, lorsque celles-ci ne peuvent pas tre utilises.
      – au traitement curatif des infections Mycobacterium avium chez les patients infects par le VIH.
      – infections stomatologiques.
      Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation approprie des antibactriens.
    2. ANGINE
    3. SINUSITE AIGUE
    4. BRONCHITE AIGUE
    5. BRONCHITE CHRONIQUE
    6. PNEUMONIE BACTERIENNE
    7. ACNE
    8. IMPETIGO
    9. ERYSIPELE
    10. ERYTHRASMA
    11. INFECTION A MYCOBACTERIES ATYPIQUES

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    4. DIARRHEE
    5. CANDIDOSE BUCCALE
    6. GLOSSITE
    7. STOMATITE
    8. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    9. REACTION CUTANEE BULLEUSE
      Des racions cutanes bulleuses, dont d’exceptionnels rythmes polymorphes, syndromes de Stevens-Johnson et syndromes de Lyell, ont t rapportes.
    10. ERYTHEME POLYMORPHE (EXCEPTIONNEL)
    11. SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON
    12. SYNDROME DE LYELL
    13. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      augmentation transitoire possible des transaminases ASAT-ALAT pouvant aboutir exceptionnellement une hpatite cholestatique.
    14. HEPATITE CHOLESTATIQUE (EXCEPTIONNEL)
    15. ACOUPHENE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Des cas d’acouphnes et d’hypoacousie, en rgle gnrale rversibles l’arrt du traitement, ont t rapports une posologie de 1 g par jour, ou suprieure 1 g par jour sur des priodes de traitement prolonges.

    16. ACUITE AUDITIVE(DIMINUTION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Des cas d’acouphnes et d’hypoacousie, en rgle gnrale rversibles l’arrt du traitement, ont t rapports une posologie de 1 g par jour, ou suprieure 1 g par jour sur des priodes de traitement prolonges.

    17. DYSGUEUSIE (RARE)
    18. COLORATION DES DENTS
      – Bien qu’aucun lien n’ait pu tre formellement tabli, des cas de colorations dentaires, habituellement rversibles avec des soins dentaires, ont t rapports.

    1. MISE EN GARDE
      Des colites pseudo-membraneuses ont t observes avec pratiquement tous les agents anti-infectieux dont les macrolides. Elles peuvent tre de gravit modre ou engager le pronostic vitale.
      Dans le traitement des infections Mycobacterium Avium chez les patients VIH (+), et afin de limiter l’mergence de souches rsistantes, la clarithromycine doit tre utilise :

      – en association d’autres antibiotiques et non pas en monothrapie.

      – uniquement en curatif du fait galement de l’absence d’tude en prophylaxie.
      Ne pas associer d’autres mdicaments ototoxiques, et en particulier les aminosides.
    2. ATTEINTE AUDITIVE
      Un audiogramme devra tre ralis et une modification posologique envisage en cas de survenue d’acouphnes ou de baisse de l’acuit auditive.
    3. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
      L’administration de la clarithromycine n’est pas recommande. Si elle est ncessaire, elle justifie alors une surveillance rgulire des tests hpatiques.
    4. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      L’allongement de la demi-vie impose soit un espacement des prises, soit une rduction de la posologie. (clairance de la cratinine infrieure 30 ml/minute).
    5. SUJET AGE
      – Chez le sujet g, l’allongement de la demi-vie et l’augmentation des surfaces sous courbes des concentrations plasmatiques n’impliquent thoriquement pas de surveillance particulire, compte tenu de la dure courte du traitement.
    6. ALLAITEMENT
      Bien qu’il n’y ait pas de donnes concernant le passage de la clarithromycine dans le lait maternel, le fait que les macrolides qui ont t tudis passent dans le lait indique que le passage de la clarithromycine dans le lait maternel ne peut tre exclu.
      L’allaitement est possible en cas de prise de clarithromycine, toutefois, interrompre l’allaitement (ou la prise du mdicament) en cas de survenue de troubles digestifs chez le nouveau-n.
      En cas de prise de cisapride par le nouveau-n ou le nourrisson allait, l’administration de clarithromycine la mre est contre-indique par mesure de prudence, en raison du risque potentiel d’interaction chez l’enfant (torsades de pointes).

    1. HYPERSENSIBILITE AUX MACROLIDES
      Allergie aux macrolides.
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Associations contre-indiques :
      – Vasoconstricteurs de l’ergot de seigle (dihydroergotamine, ergotamine), voies orale et nasale ; par extrapolation partir de l’rythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine : ergotisme avec possibilit de ncrose des extrmits (diminution de l’limination hpatique des alcalodes de l’ergot de seigle).
      – Astmizole, bastine : risque major de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (diminution du mtabolisme hpatique de l’bastine par la clarithromycine).
      – Cisapride, par extrapolation partir de l’rythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine : risque major de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (diminution du mtabolisme hpatique du cisapride).
      – Pimozide : risque major de trouble du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    3. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
      Associations dconseilles :
      – Bromocriptine, cabergoline, par extrapolation partir de l’rythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine : augmentation des concentrations plasmatiques de la bromocriptine ou de la cabergoline avec accroissement possible de l’activit antiparkinsonienne ou apparition de signes de surdosage.
      – Tacrolimus : risque d’augmentation des concentrations plasmatiques de l’immunodpresseur et de la cratininmie par inhibition du mtabolisme hpatique de l’immunodpresseur.
      – Toltrodine : augmentation des concentrations de toltrodine chez les mtaboliseurs lents, avec risque de surdosage.
    4. GROSSESSE (relative)
      Grossesse :
      Les tudes effectues chez l’animal ont mis en vidence un effet malformatif dans une espce et dose leve.
      En clinique, il n’existe pas actuellement de donnes suffisamment pertinentes pour valuer un ventuel effet malformatif ou foetotoxique de la clarithromycine lorsqu’elle est administre pendant la grossesse.
      En consquence, l’utilisation de la clarithromycine est dconseille pendant la grossesse. Cet lment ne constitue pas l’argument pour conseiller une interruption systmatique de grossesse, mais conduit une attitude de prudence et une surveillance prnatale soigneuse.

    Traitement

    En cas de surdosage : lavage gastrique et traitement symtomatique.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Adulte :
    – Angines, pharyngites et infections cutanes bnignes :
    500 mg/j, soit 1 comprim matin et soir.
    – Sinusites aigus et pneumopathies :
    1000 mg/j, soit 2 comprims matin et soir.
    – Infections bronchiques :
    500 mg 1000 mg/j selon la svrit.

    Infections stomatologiques : 500 mg/j, soit 1 comprim matin et soir.
    – Infections Mycobacterium avium chez les patients VIH(+) :
    2000 mg/j chez le sujet de plus de 50 kg,
    1500 mg/j chez le sujet d’un poids gal ou infrieur 50 kg.
    Insuffisance
    rnale :
    Pour des valeurs de la clairance de la cratinine < 30 ml/min, il peut tre recommand de rduire la posologie de moiti (de 250 mg 500 mg/j selon le type d'infection) avec une seule administration quotidienne.
    Dans l’infection
    Mycobacterium avium, il est recommand d’utiliser une posologie de 1000 mg/jour.
    Insuffisance hpatique :
    En dehors du traitement des infections Mycobacterium avium chez les patients VIH(+) pour lequel il est ncessaire de rduire la posologie 1000
    mg/jour, l’emploi de la clarithromycine n’est pas recommand. Dans les autres cas, et si l’emploi de la clarithromycine est ncessaire, il ne semble pas utile de modifier les posologies.
    Sujet g : lorsque la fonction rnale est nettement diminue, il
    peut tre prudent de rduire la posologie.


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