IOMERON 150 solution injectable

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IOMERON 150 solution injectable

Introduction dans BIAM : 7/3/1996
Dernière mise à jour : 24/9/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Examens Perturbés
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SOLUTION INJECTABLE

    Etat : commercialis

    Laboratoire : BYK FRANCE

    Produit(s) : IOMERON

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 14/11/1994
    2. publication JO de l’AMM 24/3/1995
    3. mise sur le march 1/10/1995

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 337911-2

    1
    flacon(s)
    50
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrment collectivits 1/10/1995
    2. inscription SS 20/3/1996


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 66.30 F

    Prix public TTC : 85.10 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 337913-5

    1
    flacon(s)
    100
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrment collectivits 1/10/1995


    Lieu de délivrance : hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste II

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 1
    ml

    Principes actifs

    • IOMEPROL 306 mg
      Quantit correspondant 150 mg d’Iode

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT DE CONTRASTE IODE DE BASSE OSMOLARITE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : V08A-B10.
      Produit de contraste tri-iod, hydrosoluble, non ionique.
      Teneur en iode par ml : 150 mg,
      – osmolalit 37 degrs C : 301 mOsm/kg,
      – viscosit 37 degrs C : 1.4 mPa.s.

    1. ***
      Urographie intraveineuse, phlbographie priphrique, scanographie du cerveau et du corps, cavernographie, angiographie numrise par voie intra-artrielle, cholangiographie par voie endoscopique, urtro-cystographie.
    2. UROGRAPHIE INTRAVEINEUSE
    3. PHLEBOGRAPHIE
    4. TOMODENSITOMETRIE
    5. CAVERNOGRAPHIE
    6. ANGIOGRAPHIE NUMERISEE
    7. CHOLANGIOGRAPHIE RETROGRADE
    8. URETRO-CYSTOGRAPHIE

    1. SENSATION DE CHALEUR
      Incident bnin, transitoire et sans consquence.
    2. ROUGEUR (TRES RARE)
      Incident bnin, transitoire et sans consquence.
    3. NAUSEE (TRES RARE)
      Incident bnin, transitoire et sans consquence.
    4. VOMISSEMENT (TRES RARE)
      Incident bnin, transitoire et sans consquence.
    5. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE
      Des manifestations plus srieuses sont possibles. elles peuvent se traduire par la survenue de troubles isols ou associs, cutans, respiratoires, neurosensoriels, digestifs, cardiovasculaires, pouvant aller jusqu’au collapsus cardiovasculaire de svrite variable, avec, exceptionnellement tat de choc et/ou arrt circulatoire.

    1. MISE EN GARDE
      Comme tous les produits de contraste iods, les produits tri-iods hydrosolubles, non ioniques, peuvent entraner des ractions lgres, graves ou fatales d’intolrance, souvent prcoces, parfois tardives.

      Elles sont imprvisibles mais plus frquentes chez les patients prsentant des antcdents allergiques (urticaire, asthme, rhume des foins, eczma, allergies diverses alimentaires et mdicamenteuses) ou qui ont prsent une sensibilit particulire lors d’un examen antrieur, l’aide d’un produit iod.

      Elles ne peuvent tre dpistes par la pratique de tests l’iode, ni l’heure actuelle par aucun test.
    2. SURVEILLANCE MEDICALE
      Pendant la dure d’examen, il conviendra d’assurer:

      – la surveillance par un mdecin

      – le maintien de la voie d’abord veineuse, pour traiter sans dlai un ventuel accident.
    3. INSUFFISANCE RENALE ET HEPATIQUE
      La prudence est conseille.
    4. INSUFFISANCE RENALE
      La restriction hydrique est inutile : il est prudent de maintenir une diurse abondante.
    5. DIABETE
      La restriction hydrique est inutile : il est prudent de maintenir une diurse abondante.
    6. MYELOME
      La restriction hydrique est inutile : il est prudent de maintenir une diurse abondante.
    7. HYPERURICEMIE
      La restriction hydrique est inutile : il est prudent de maintenir une diurse abondante.
    8. JEUNE ENFANT
      La restriction hydrique est inutile : il est prudent de maintenir une diurse abondante.
    9. ATHEROMATEUX
      La restriction hydrique est inutile : il est prudent de maintenir une diurse abondante.
    10. HYPERSENSIBILITE A L’IODE
      – Une prmdication semble souhaitable chez les sujets prsentant le plus grand risque de raction (allergiques, intolrants aux produits iods).

      – Le risque implique la disposition des moyens ncessaires une ranimation d’urgence. Ceci plus particulirement lorsque le patient est en mme temps sous bta-bloquants : l’adrnaline et le remplissage vasculaire sont alors peu efficaces.
    11. GROSSESSE
      Les rsultats des tudes ralises chez l’animal n’ont pas mis en vidence d’effet tratogne. Cependant, toute exposition aux rayons X devant tre vite durant la grossesse, la dcision de raliser un examen devra mettre en balance le bnfice qu’on pense en tirer avec le risque encouru.
    12. ALLAITEMENT
      Aucune tude n’a t mene concernant le passage du iomeprol dans le lait.

    1. INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
      Les produits de contraste iods peuvent perturber pendant plusieurs semaines la ralisation d’une scintigraphie ou d’un traitement par l’iode radioactif.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE

    – 2 – INTRAARTERIELLE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    1- Urographie intraveineuse :
    * chez l’adulte, la dose est de deux cent cinquante millilitres.
    * chez l’enfant, la dose dpend du poids et de l’ge.
    2- Phlbographie priphrique :
    * chez l’adulte, la dose est comprise entre dix et
    cent milliltres (de dix cinquante millilitres pour les membres suprieurs et de cinquante cent milliltres pour les membres infrieurs), qui peut tre rpt si ncessaire sans toutefois dpasser la dose de deux cent cinquante millilitres.
    3-
    Scanographie du cerveau :
    * chez l’adulte, la dose est de cinquante deux cents millilitres.
    * chez l’enfant, la dose dpend du poids et de l’ge.
    4- Scanographie du corps :
    * chez l’adulte, la dose est de cent deux cents millilitres.
    * chez
    l’enfant, la dose dpend du poids et de l’ge.
    5- Cavernographie :
    * chez l’adulte, la dose peut aller jusqu’ cent millilitres.
    6- Angiographie numrise par voie intra-artrielle :
    a- crbrale :
    * chez l’adulte, la dose est de trente soixante
    millilitres pour une vue gnrale, et de cinq dix millilitres pour une injection slective.
    * chez l’enfant, la dose dpend du poids et de l’ge.
    b- Crosse aortique, Abdomen, Aortographie, Aortographie translombaire :
    * chez l’adulte, ne pas dpasser
    trois cent cinquante millilitres, sauf pour l’aortographie translombaire o il ne faut pas dpasser deux cent cinquante millilitres.
    c- Artriographie priphrique :
    * chez l’adulte, la dose est de cinq dix millilitres pour une injection slective,
    jusqu’ deux cent cinquante millilitres.
    * chez l’enfant, la dose dpend du poids et de l’ge.
    d- Interventionnelle :
    * chez l’adulte, la dose est de dix trente millilitres pour une injection slective, jusqu’ deux cent cinquante millilitres.
    * chez
    l’enfant, la dose dpend du poids et de l’ge.
    7- Cholangiographie par voie endoscopique :
    * chez l’adulte, la dose peut aller jusqu’ cent millilitres.
    8- Urtro-cystographie :
    * chez l’adulte, la dose est comprise entre cent et deux cent cinquante
    millilitres .
    * chez l’enfant, la dose est comprise entre quarante et deux cent dix millilitres.
    En angiographie, les doses moyennes employer sont variables selon le type d’examen. La dose ne doit pas tre suprieure quatre ou cinq millilitres par
    kilo en injection itrative, sans dpasser cent millilitres par injection. La vitesse d’injection est fonction du type d’examen. En urographie, les doses doivent tre adaptes au poids et la fonction rnale du malade, qui doit tre jeun sans
    restriction hydrique.
    .
    Mode d’emploi :
    – Les produits de contraste ne doivent pas tre mlangs d’autres mdicaments afin d’viter une ventuelle incompatibilit.


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