ZOLOFT 50 mg gélules

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ZOLOFT 50 mg gélules

Introduction dans BIAM : 16/1/1997
Dernière mise à jour : 23/5/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES

    Usage : adulte

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : PFIZER

    Produit(s) : ZOLOFT

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 16/1/1996
    2. publication JO de l’AMM 25/7/1996
    3. mise sur le marché 13/1/1997
    4. rectificatif d’AMM 14/1/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 340341-9

    2
    plaquette(s) thermoformée(s)
    14
    unité(s)
    PVC/alu
    jaune/blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 9/1/1997
    2. inscription SS 9/1/1997


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES
    EVITER L’HUMIDITE

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 125.70 F

    Prix public TTC : 151.50 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIDEPRESSEUR (INHIB. SEL. DU RECAPTAGE DE SEROTONINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N06A-B06
      La sertraline est un inhibiteur de la recapture de la sérotonine (5HT).
      La sertraline est pratiquement dépourvue d’effet direct sur la recapture de la noradrénaline (NA), de la dopamine (DA) et de l’acide gamma aminobutyrique (GABA).
      Contrairement à la plupart des antidépresseurs tricycliques, la sertraline n’a pratiquement pas d’affinité pour les récepteurs alpha1-adrénergiques, cholinergiques (muscariniques), histaminergiques H1. Par ailleurs, la sertraline n’a également pratiquement pas d’affinité pour les récepteurs dopaminergiques D1 et D2, alpha 2 et bêta-adrénergiques, benzodiazépiniques et opioïdes.
      Cette sélectivité de la sertraline pourrait expliquer la faibles incidence de certains effets indésirables, notamment anticholinergiques, sédatifs ou à type d’hypotension orthostatique.
      Tout comme les antidépresseurs tricycliques, les antidépresseurs sérotoninergiques et les IMAO, la sertraline diminue la quantité de sommeil paradoxal.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      A – Absorption :
      Après administration orale de sertraline, une fois par jour, d’une dose comprise entre 50 et 200 mg pendant 14 jours, le pic de concentration plasmatique de sertraline est obtenue entre 5.4 et 8.4 heures environ après l’administration.
      La prise de sertraline au cours du repas augmente l’absorption d’environ 30%. Par contre, l’absorption n’est pas modifiée, que le médicament soit administré le matin ou le soir.
      B – Distribution :
      La liaison aux protéines plasmatiques est de 98%.
      C – Biotransformation :
      La sertraline est fortement métabolisée par le foie et subit un important effet de premier passage.
      Le métabolite le plus important de la sertraline est la desméthylsertraline.
      La desméthylsertraline est 8 à 10 fois moins active in vitro que la sertraline et pratiquement inactive in vivo chez l’animal.
      D – Elimination :
      La demie vie d’élimination est d’environ 26 heures.
      La sertraline et la desméthylsertraline sont fortement métabolisées chez l’homme et les métabolites qui en résultent sont excrétés en quantités égales dans les selles et les urines. Seule une fraction négligeable (inférieure à 0.2%) de sertraline inchangée est excrétée par le rein.
      Populations à risques :
      – Patients âgés de plus de 65 ans :
      La pharmacocinétique de la sertraline n’est pas modifiée par l’âge.
      – Insuffisants hépatiques :
      La clairance de la sertraline est diminuée chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
      Une étude pharmacocinétique en dose multiple chez des patients présentant une insuffisance hépatique de niveau A et B (essentiellement de niveau A) selon la classification de Child et Pugh a montré un allongement de la demi-vie d’élimination d’un facteur 2 et un triplement des Cmax et des aires sous les courbes. La posologie sera diminuée ou l’intervalle entre les dose espacé.
      – Insuffisants rénaux :
      L’excrétion urinaire sous forme inchangée constitue une voie d’élimination négligeable. Chez les patients atteints d’insuffisance rénale légère, modérée ou même grave (clairance inférieure à 20 ml/min), les paramètres pharmacocinétiques observés après administration répétée n’ont pas différé significativement de ceux observés chez les sujets sains.
      La posologie de la sertraline n’a pas à être ajustée en cas d’insuffisance rénale.
      * Sécurité préclinique
      Au cours des études de toxicité chronique, le foie apparaît comme étant l’organe cible principal chez les 2 espèces étudiées : augmentation des enzymes hépatiques chez le rat et le chien, et hypertrophie hépatocellulaire centrolobulaire à toutes les doses chez le rat.
      Au cours des études des fonctions de reproduction, une mortalité périnatale et une diminution du poids des foetus à la naissance sont observées à des doses suprathérapeutiques.
      La génotoxicité de la sertraline a été étudiée par le test d’Ames et sur cellules eucaryotes ainsi que par des tests de clastogenèse in vitro sur culture de lymphocytes humains et in vivo par une analyse de métaphase de la moelle osseuse chez la souris. Ces essais n’ont pas mis en évidence d’effet génotoxique de la sertraline.
      Des études de cancérogenèse ont mis en évidence une augmentation de l’incidence des adénomes folliculaires thyroïdiens chez le rat femelle, des adénomes pulmonaires chez la souris femelle et des adénomes hépatiques chez la souris mâle.

    1. ***
      Episodes dépressifs majeurs (c’est à dire caractérisés).
      Troubles obsessionnels compulsifs chez l’adulte.
    2. DEPRESSION
    3. TROUBLE OBSESSIONNEL COMPULSIF

    1. COMMENTAIRE GENERAL
      Les effets indésirables observés durant le traitement par la sertraline sont surtout notés durant la première, voire les deux premières semaines du traitement.
      L’incidence des effets indésirables augmente avec la dose de sertraline et la vitesse de progression des posologies lors de l’adaptation posologique.
      La plupart s’estompent par la suite, parallèlement à l’amélioration de l’épisode dépressif.
      Par ailleurs certains effets indésirables sont liés à la nature même de la maladie dépressive :
      – levée de l’inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire ;
      – inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques ;
      – réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques.
      – manifestations paroxystiques d’angoisse.
    2. TROUBLE NEUROPSYCHIQUE
    3. SOMNOLENCE
    4. INSOMNIE
    5. SENSATION DE VERTIGE
    6. NERVOSITE
    7. ASTHENIE
    8. CEPHALEE
    9. CRISE CONVULSIVE
    10. CAUCHEMAR
    11. CONFUSION MENTALE
    12. HALLUCINATION
    13. SYNDROME EXTRAPYRAMIDAL
    14. TREMBLEMENT
    15. DYSKINESIE
    16. HYPERCINESIE
    17. HYPERTONIE EXTRAPYRAMIDALE
    18. HYPOTONIE MUSCULAIRE
    19. TROUBLE DIGESTIF
    20. NAUSEE
    21. VOMISSEMENT
    22. DIARRHEE
    23. CONSTIPATION
    24. SECHERESSE DE LA BOUCHE
    25. ERUPTION MACULOPAPULEUSE
    26. URTICAIRE
    27. OEDEME ANGIONEUROTIQUE (EXCEPTIONNEL)
    28. PRURIT
    29. POIDS(AUGMENTATION)
      -parfois importante;
    30. POIDS(DIMINUTION)
    31. TACHYCARDIE
    32. TROUBLE TENSIONNEL
      de rares cas d’élevation ou de diminution de la tension artérielle.
    33. TROUBLE DE LA VISION
    34. TROUBLE DE LA LIBIDO
    35. TROUBLE DE LA MICTION
    36. HYPERSUDATION
    37. SYNDROME SEROTONINERGIQUE (TRES RARE)
      très rarement : syndrome sérotoninergique, en association ou nonavec les IMAO, (sélectifs ou non), et le lithium (cf Interactions) ;
    38. TROUBLE SEXUEL
    39. SYNDROME DE SEVRAGE (RARE)
      Un syndrome de sevrage comportant tout ou partie des symptômes tels que sensation vertigineuse, trouble du sommeil, agitation et anxiété, asthénie, troubles digestifs et hypersudation peut survenir. Une telle éventualiténécessite une diminution progressive de la posologie.
    40. ECCHYMOSE (RARE)
      .
    41. HEMORRAGIE GENITALE
    42. HEMORRAGIE GASTRO-INTESTINALE
    43. HEMORRAGIE (RARE)
      -saignements cutanéo-muqueux
    44. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (RARE)
    45. TOXICITE HEPATIQUE
      des cas isolés d’atteintes hépatiques aigues (parfois sévères ont été rapportés)
    46. NATREMIE(DIMINUTION)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJET AGE

      Des cas d’hyponatrémie dont certains sévères ont été rapportés. Cette hyponatrémie est réversible à l’arrêt du traitement et peut être révélée par divers symptomes dont des troubles de la conscience voire des convulsions. La plupart des cas ont été décrits chez des patients âgés.

    47. REACTION ALLERGIQUE
      -en raison de la présence de jaune orangé S.

    1. MISE EN GARDE
      Comme lors de tout traitement par antidépresseur, le risque suicidaire chez les patients déprimés persiste en début de traitement, la levée de l’inhibition psychomotrice pouvant précéder l’action antidépressive proprement dite.
    2. DEBUT DE TRAITEMENT
      Insomnie ou nervosité en début de traitement peuvent justifier une diminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.
    3. ARRET DU TRAITEMENT
      En cas de virage maniaque franc, le traitement par la sertraline sera interrompu et, le plus souvent, un neuroleptique sédatif prescrit.

      La survenue de crise convulsives impose l’arrêt du traitement.
    4. BOISSONS ALCOOLISEES
      Bien qu’aucune interaction nette n’ait été mise en évidence avec l’alcool, la consommation en est déconseillée, comme avec tout médicament psychotrope.
    5. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      En cas d’insuffisance hépatique, le métabolisme est ralenti, la posologie devra être réduite ou l’intervalle entre les doses espacé.
    6. EPILEPSIE
      Chez les patients épileptiques ou ayant des antécédents d’épilepsie, Il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique, en raison de la possibilité d’abaissement du seuil épileptogène. La survenue de crise convulsives impose l’arrêt du traitement.
    7. ANTECEDENTS EPILEPTIQUES
      Il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique, en raison de la possibilité d’abaissement du seuil épileptogène. La survenue de crise convulsives impose l’arrêt du traitement.
    8. HYPONATREMIE
      La possibilité de survenue d’une hyponatrémie, a fortiori lors de la co-prescription avec des médicaments suceptibles d’entraîner cette anomalie électrolytique, doit être connu notamment chez le sujet âgé, surtout s’il est dénutri, et chez le cirrhotique.
    9. HEMORRAGIE
      Des cas d’hémorragies, parfois graves, ont été rapportés lors de l’utilisation d’inhibiteurs de la recapture de la sérotonine. Une attention particulière est recommandée chez les patients ayant des antécédents d’anomalies de l’hémostase et chez les patients traités simultanément par des anticoagulants oraux, par des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire tels que les AINS et l’aspirine ou par d’autres médicaments susceptibles d’augmenter le risque de saignement.
    10. GROSSESSE
      Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogène chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.

      En clinique, Il n’existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la sertraline lorsqu’elle est administrée pendant la grossesse.

      En conséquence, l’utilisation de la sertraline ne doit pas être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
    11. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Bien qu’il n’ait été observé chez le volontaire sain d’altération des fonctions cognitives ou psychomotrices, ce médicament peut affaiblir les facultés mentales et physiques nécessaires à l’exécution de certaines tâches dangereuses, telles que la manipulation d’appareils ou la conduite de véhicules à moteur.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
      – à la sertraline.
    2. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
      En l’absence d’étude.
    3. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (absolue)
      Ce médicament ne doit jamais être utilisé en association avec les IMAO non sélectifs du fait du risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique
      [1] Syndrome sérotoninergique :
      Certains surdosages ou certains médicaments (lithium) peuvent donner lieu à un syndrome sérotoninergique justifiant l’arrêt immédiat du traitement. Le syndrome sérotoninergique se manifeste par l’apparition (éventuellement brutale) simultanée ou séquentielle d’un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l’hospitalisation, voire entraîner le décès. Ces symptômes peuvent être d’ordre :
      – psychique (agitation, confusion, hypomanie, éventuellement coma),
      – végétatif (hypo- ou hypertension, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs),
      – moteur (myoclonies, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
      – digestif (diarrhée).

      – Respecter un délai de deux semaines entre l’arrêt de l’IMAO et le début du traitement par la sertraline, et d’au moins une semaine entre l’arrêt de la sertraline et le début du traitement par l’IMAO.

      Ce médicament ne doit jamais être utilisé en association avec les IMAO sélectifs B du fait du risque d’hypertension paroxystique et de symptômes de vasoconstriction périphérique( par extrapolation à partir de la fluoxétine ):

      – Respecter un délai de deux semaines entre l’arrêt de l’IMAO-B et le début du traitement par la sertraline, et d’au moins une semaine entre l’arrêt de la sertraline et le début du traitement par l’IMAO-B.

    4. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
      Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé en association aux IMAO sélectifs A du fait du risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique.
      _ Syndrome sérotoninergique :
      Certains surdosages ou certains médicaments (lithium) peuvent donner lieu à un syndrome sérotoninergique justifiant l’arrêt immédiat du traitement. Le syndrome sérotoninergique se manifeste par l’apparition (éventuellement brutale) simultanée ou séquentielle d’un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l’hospitalisation, voire entraîner le décès. Ces symptômes peuvent être d’ordre :
      – psychique (agitation, confusion, hypomanie, éventuellement coma),
      – végétatif (hypo- ou hypertension, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs),
      – moteur (myoclonies, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
      – digestif (diarrhée).

      _Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique très étroite. Débuter l’association aux posologies minimales recommandées.

    5. ALLAITEMENT
      En l’absence de données suffisantes sur le passage dans le lait maternel, l’allaitement est déconseillé en cas de traitement par ce médicament.
    6. INTOLERANCE AU LACTOSE
      En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.

    Signes de l’intoxication :

    1. ASTHENIE
    2. VERTIGE
    3. TREMBLEMENT
    4. NAUSEE
    5. SOMNOLENCE

    Traitement

    Les principaux symptômes retrouvés sont : une fatigue, des vertiges, des tremblements des mains, des nausées, une somnolence.
    Il n’existe pas d’antidote spécifique de la sertraline.
    Le traitement est symptomatique, avec lavage gastrique dès que possible
    après ingestion orale. La surveillance médicale, devra être maintenue pendant au moins 24 heures.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    Réservé à l’adulte.
    1/ Episodes dépressifs majeurs (c’est-à-dire caractérisés) :
    * Posologie :
    La dose initiale recommandée est de cinquante mg par jour. Cette posologie sera réévaluée après trois semaines de traitement effectif et
    éventuellement augmentée, par palier de cinquante mg, jusqu’à deux cents mg par jour, en fonction de la réponse clinique.
    * Durée du traitement :
    Le traitement par antidépresseur est symptomatique. Le traitement d’un épisode est de plusieurs mois
    (habituellement de l’ordre de 6 mois) afin de prévenir les risques de rechutes de l’épisode dépressif.
    * Traitement psychotropes associées :
    L’adjonction d’un traitement sédatif ou anxiolytique peut être utile en début de traitement, afin de couvrir la
    survenue ou l’aggravation de manifestations d’angoisse. Toutefois, les anxiolytiques ne protègent pas forcément de la levée de l’inhibition.
    2/ Troubles obsessionnels compulsifs chez l’adulte :
    * Posologie :
    La dose initiale recommandée est de cinquante
    mg par jour. Cette posologie sera réévaluée après trois semaines de traitement effectif et éventuellement augmentée, par palier de cinquante mg, jusqu’à deux cents mg par jour, en fonction de la réponse clinique.

    Dans le traitement des troubles
    obsessionnels compulsifs, l’effet thérapeutique peut se manifester seulement après deux à quatre semaines de traitement, voire plus et continuer à augmenter sur plusieurs semaines.

    Posologies particulières :
    * Chez le sujet âgé :
    La posologie sera la
    même que chez l’adulte, mais une surveillance particulière sera nécessaire en début de traitement et pendant la phase d’adpatation posologique.
    * Chez les insuffisants hépatiques :
    La phase d’adaptation posologique sera progressive, sous surveillance
    particulière. La posologie finale atteinte devra être réduite environ de moitié, voire du tiers, en fonction du degré d’insuffisance hépatique ou l’intervalle entre les doses espacé.
    Les patients inclus dans l’étude souffraient pour la plupart,
    d’insuffisance hépatique très modérée.
    * Chez les insuffisants rénaux : la posologie de la sertraline n’a pas à être ajustée en cas d’insuffisance rénale.
    .
    Mode d’emploi :
    Les caractéristiques pharmacocinétiques de ce médicament autorisent une seule
    prise journalière, le matin ou le soir, au cours du repas.
    Les gélules sont à prendre avec une quantité d’eau suffisante.


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