ZECLAR 25 mg/ml granuls pour suspension buvable

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ZECLAR 25 mg/ml granuls pour suspension buvable

Introduction dans BIAM : 1/10/1998
Dernière mise à jour : 16/2/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GRANULE POUR SOLUTION BUVABLE

    Usage : enfant

    Etat : commercialis

    Laboratoire : ABBOTT FRANCE

    Produit(s) : ZECLAR

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 30/12/1997
    2. publication JO de l’AMM 30/7/1998
    3. mise sur le march 14/9/1998
    4. rectificatif d’AMM 23/5/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 345654-5

    1
    flacon(s)
    100
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrment collectivits 18/8/1998
    2. inscription SS 18/8/1998


    Lieu de délivrance : officine et hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Matériel de dosage : seringue

    Matériel complémentaire : seringue pour administration orale gadue en kg

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 14
    jour(s)

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 63.85 F

    Prix public TTC : 82.30 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : par unit de prise, soit pour :

    Volume : 1
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (MACROLIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01F-A09.
      La Clarithromycine est un antibiotique bactrien, driv semi-synthtique de l’rythromycine A, de la famille des macrolides (en C14).
      Activit antibactrienne :
      La Clarithromycine possde la caractristique d’tre transforme chez l’homme en mtabolite 14-hydroxyl actif. L’activit anti-bactrienne de ce mtabolite est variable selon les espces avec des CMI gales ou infrieures d’une dilution celles de la clarithromycine. La concentration srique de ce mtabolite est significative puisqu’elle est de l’ordre de 30 50% de celle de la molcule mre. Son activit est prendre en compte dans l’valuation globale de l’activit antibactrienne de la clarithromycine.

      Le spectre antibactrien de la Clarithromycine est le suivant :
      1 / Espces habituellement sensibles (CMI infrieure ou gale 1 mg/l) :
      Plus de 90 % des souches sont sensibles (S).
      Streptocoques, Staphylocoques mticilline-sensibles, R. equi,
      B. catarrhalis, B. pertussis, C. jejuni,
      C. diphteriae, Moraxella,
      M. pneumoniae, Coxiella, Chlamydiae, Legionella,
      T. pallidum, B. burgdorferi, Leptospires,
      P. acnes, Actinomyces, Eubacterium, Porphyromonas, Mobiluncus.
      2 / Espces modrment sensibles :
      L’antibiotique est modrment actif in vitro. Des rsultats cliniques satisfaisants peuvent tre observs lorsque les concentrations de l’antibiotique au site de l’infection sont suprieures la CMI.
      H. influenzae* et parainfluenzae, N. gonorrhoeae, Vibrio, U. urealyticum
      M. avium.
      * Haemophilus influenzae : l’activit de la 14-hydroxy-clarithromycine est suprieure celle de la clarithromycine. Des travaux raliss in vitro ont suggr une activit additive de la 14-hydroxy-clarithromycine et de la molcule mre vis–vis d’Haemophilus influenzae.
      3 / Espces rsistantes (CMI suprieures 4 mg/l) :
      Au moins 50 % des souches de l’espce sont rsistantes (R)
      Staphylocoques mticilline-rsistants, Entrobactries, Pseudomonas, Acinetobacter,
      M. hominis, Nocardia,
      Fusobacterium, B. fragilis.
      4 / Espces inconstamment sensibles :
      Le pourcentage de rsistance acquise est variable. La sensibilit est donc imprvisible en l’absence d’antibiogramme.
      S. pneumoniae, Entrocoques, C. coli,
      Peptosptreptococcus, C. perfringens.
      H. pylori*
      * L’radication de Helicobacter pylori s’accompagne d’une cicatrisation et d’une rmission prolonge de la maladie ulcreuse gastro-duodnale.
      L’radication bactriologique n’est obtenue des taux satisfaisants que par l’association de deux antibiotiques un anti-scrtoire.
      La Clarithromycine possde une activit in vitro et in vivo sur T.gondii.
      NB : certaines espces bactriennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.
      En France en 1995, 30 40% des Pneumocoques sont rsistants l’ensemble des macrolides , voire plus de 50% pour les pneumocoques de sensibilit diminue la pnicilline.
      * Proprits pharmacocintiques :
      Absorption :
      La forme suspension de la clarithromycine a une biodisponibilit identique ou lgrement suprieure celle des comprims.
      Chez l’enfant , l’tat d’quilibre est obtenue aprs la 9me dose de la mme suspension (pour les paramtres pharmacocintiques : cf VIDAL).
      Distribution :
      Les concentrations sriques de la molcule mre et du mtabolite, ainsi que l’activit antibactrienne totale (dosage microbiologique) chez le sujet normal l’tat d’quilibre (vers J4) aprs prises rptes (coefficient d’accumulation :1,5 2) : cf VIDAL.
      En administration rpte, la 12me heure, les concentrations rsiduelles sont d’environ 0.2 microg/ml aprs 250 mg et 0.7 microg/ml aprs 500 mg. A la dose de 250 mg, la demi-vie d’limination de la clarithromycine est de 3.8 heures et celle de la 14-hydroxy-clarithromycine de 5.8 heures. Aprs prises rptes, l’tat d’quilibre est atteint le 4me jour.
      Liaison aux protines :
      Le pourcentage de liaison aux protines sriques de la clarithromycine varie de 72 67 % et celui du mtabolite actif est de 57 48 % en fonction des concentrations plasmatiques.
      Diffusion tissulaire :
      Le volume de distribution est d’environ de 2 4 l/kg. Aprs 5 doses de 250 mg, des concentrations de 8.8 microg/ml sont atteintes dans le poumon, 1.11 microg/ml dans les amygdales et environ 0.9 microg/ml dans les liquides interstitiels.
      Les macrolides pntrent et s’accumulent dans les phagocytes (polynuclaires neutrophiles, monocytes, macrophages pritonaux et alvolaires).
      Les concentrations intraphagocytaires sont leves chez l’homme. Ces proprits expliquent l’activit de la clarithromycine sur les bactries intracellulaires.
      La clarithromycine et la 14-OH clarithromycine passent dans le lait maternel. Le rapport des concentrations aux taux plasmatiques est respectivement de 24 et 63 %.
      Biotransformation :
      La clarithromycine est biotransforme en 3 mtabolites : la descladinosyl-clarithromycine, la N-dmthyl-clarithromycine et le driv 14-hydroxyl. Ce dernier mtabolite est prdominant tant au plan quantitatif que qualitatif puisqu’il possde une activit anti-bactrienne propre. Le mtabolisme de la clarithromycine est saturable aux posologies leves. L’augmentation des posologies et la multiplication des prises entranent une augmentation des concentrations plasmatiques de clarithromycine proportionnellement plus importante que celle des doses et une diminution de la fraction de 14-OH clarithromycine ( l’tat d’quilibre, les concentrations plasmatiques de la 14-OH clarithromycine sont d’environ 2/3 de celles de la molcule mre aprs 250 mgx2 et d’environ 27 % aprs 500 mgx2).
      Excrtion :
      La clarithromycine est excrte par le foie et le rein.
      -Chez l’homme, aprs une dose unique de 250 mg per os, 37.9 % de la dose sont excrts dans les urines dont 18.4 % sous forme de clarithromycine et 13.7 % sous forme de driv 14-hydroxyl. Quelle que soit la dose, la clarithromycine libre et le driv 14-hydroxyl reprsentent l’essentiel de l’excrtion urinaire de la clarithromycine.
      -L’limination fcale d’une dose unique de 250 mg est de 40.2 %, la molcule mre reprsentant 4.4 % de la dose. L’essentiel de la clarithromycine est limin sous forme de mtabolites.
      L’augmentation des doses accrot l’limination urinaire ainsi que la fraction de clarithromycine inchange.
      En cas d’insuffisance rnale, l’excrtion de la clarithromycine, et surtout de la 14-OH clarithromycine, est diminue avec une lvation des concentrations maximales, concentrations rsiduelles, des surfaces sous courbes et de la quantit de 14-OH clarithromycine forme. Lorsque la clairance est infrieure 30 ml/min, la demi-vie d’limination est multiplie par 3 pour la clarithromycine et multiplie par 4 pour la 14-OH clarithromycine avec un risque d’accumulation important.
      En cas d’insuffisance hpatique, la formation de 14-OH clarithromycine est diminue et ses concentrations sriques et ses surfaces sous courbes rduites. Cependant, il existe une augmentation de l’limination rnale de la clarithromycine et il n’y a pas d’accumulation.

    1. ***
      La suspension de clarithromycine est indique chez l’enfant pour le traitement des infections dues aux germes dfinis comme sensibles notamment :
      – angines en alternative au traitement de rfrence, particulirement lorsque celui-ci ne peut tre utilis.
      La pnicilline prescrite pendant 10 jours reste le traitement de rfrence des angines aigus streptococciques.
      – Pneumopathies communautaires atypiques chez l’enfant g de plus de trois ans :
      . sans facteurs de risques,
      . sans signes de gravit clinique,
      . en l’absence d’lments cliniques vocateurs d’une tiologie pneumococcique.
      – Surinfections des bronchites aigus chez l’enfant g de plus de trois ans.
      Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation approprie des antibactriens.
    2. ANGINE
    3. PNEUMONIE BACTERIENNE
    4. BRONCHITE AIGUE

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    4. DIARRHEE
      Notamment en raison de la prsence d’huile de ricin.
    5. CANDIDOSE BUCCALE
    6. GLOSSITE
    7. STOMATITE
    8. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    9. REACTION CUTANEE BULLEUSE
      Dont d’exceptionnels rythmes polymorphes, syndromes de Stevens-Johnson et syndromes de Lyell.
    10. ERYTHEME POLYMORPHE (EXCEPTIONNEL)
    11. SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON (EXCEPTIONNEL)
    12. SYNDROME DE LYELL (EXCEPTIONNEL)
    13. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      augmentation transitoire des transaminases ASAT-ALAT pouvant aboutir exceptionnellement une hpatite cholestatique.
    14. HEPATITE CHOLESTATIQUE (EXCEPTIONNEL)
    15. ACOUPHENE
      Des cas d’acouphnes, en rgle gnrale rversibles l’arrt du traitement, ont t rapports une posologie de 1 g par jour, ou suprieure 1 g par jour sur des priodes de traitement prolonges.
    16. ACUITE AUDITIVE(DIMINUTION)
      Des cas d’hypoacousie, en rgle gnrale rversibles l’arrt du traitement, ont t rapports une posologie de 1 g par jour, ou suprieure 1 g par jour sur des priodes de traitement prolonges.
    17. DYSGUEUSIE (RARE)
    18. COLORATION DES DENTS
      Bien qu’aucun lien n’ait pu tre formellement tabli, des cas de colorations dentaires, habituellement rversibles avec des soins dentaires, ont t rapports.

    1. MISE EN GARDE
      – Des colites pseudo-membraneuses ont t observes avec pratiquement tous les agents anti-infectieux dont les macrolides.

      Elles peuvent tre de gravit modre ou engager le pronostic vital.

      – Dans la mesure o chez le jeune animal ont t observes avec des mdicaments de cette classe thrapeutique, des doses au moins 10 fois suprieures aux doses thrapeutiques, des anomalies du cartilage de conjugaison, il est recommand de limiter la posologie 15 mg/kg/jour (avec un maximum de 1 g/jour) pendant une priode maximale de 10 jours chez l’enfant.

      – Ne pas associer d’autres mdicaments ototoxiques, en particulier les aminosides.
      – En raison de la prsence d’huile ricin, risque de sensibilisation, notamment chez l’enfant.
      – Il convient de penser la possible rsistance croise entre la clarithromycine et les autres macrolides, et d’autres antibiotiques tels que la lincomycine et la clindamycine.
    2. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
      L’administration de la clarithromycine n’est pas recommande. Si elle est ncessaire, elle justifie alors une surveillance rgulire des tests hpatiques.
    3. INSUFFISANCE RENALE MODEREE
      En cas d’insuffisance rnale modre ou svre (clairance de la cratinine infrieure 30 ml/minute) l’allongement de la demi-vie impose soit un espacement des doses, soit une rduction de la posologie.
    4. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      En cas d’insuffisance rnale modre ou svre (clairance de la cratinine infrieure 30 ml/minute) l’allongement de la demi-vie impose soit un espacement des doses, soit une rduction de la posologie.
    5. SURVEILLANCE PARTICULIERE
      Un audiogramme devra tre ralis et une modification posologique envisage en cas de survenue d’acouphnes ou de baisse de l’acuit auditive.
    6. DIABETE
      Une graduation de la seringue pour administration contient 164,9 mg de saccharose : en tenir compte dans la ration journalire.
    7. REGIME HYPOGLUCIDIQUE
      Une graduation de la seringue pour administration contient 164,9 mg de saccharose : en tenir compte dans la ration journalire.
    8. ALLAITEMENT
      Allaitement
      Bien qu’il n’y ait pas de donnes concernant le passage de la clarithromycine dans le lait maternel, le fait que les macrolides qui ont t tudis passent dans le lait, indique que le passage de la clarithromycine dans le lait maternel ne peut tre exclu.
      L’allaitement est possible en cas de prise de clarithromycine, toutefois, interrompre l’allaitement (ou le mdicament) en cas de survenue de troubles digestifs chez le nouveau-n.
      En cas de prise de cisapride par le nouveau-n ou le nourrisson allait, l’administration de clarithromycine la mre est contre-indique par mesure de prudence, en raison du risque potentiel d’intraction chez l’enfant (torsades de pointes).

    1. HYPERSENSIBILITE AUX MACROLIDES
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (absolue)
      Associations contre-indiques
      – Vasoconstricteurs de l’ergot de seigle (dihydroergotamine, ergotamine) (voie orale et nasale) par extrapolation partir de l’rythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine :
      Ergotisme avec possibilit de ncrose des extrmits (diminution de l’limination hpatique des alcalodes de l’ergot de seigle).
      – Cisapride : par extrapolation partir de l’rythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine.
      Risque major de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes : diminution du mtabolisme hpatique du cisapride.
      Allaitement
      Bien qu’il n’y ait pas de donnes concernant le passage de la clarithromycine dans le lait maternel, le fait que les macrolides qui ont t tudis passent dans le lait, indique que le passage de la clarithromycine dans le lait maternel ne peut tre exclu.
      En cas de prise de cisapride par le nouveau-n ou le nourrisson allait, l’administration de clarithromycine la mre est contre-indique par mesure de prudence, en raison du risque potentiel d’intraction chez l’enfant (torsades de pointes).
      – Pimozide : risque major de troubles de rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointe.
      -Astmizole, bastine : risque major des troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes : diminution du mtabolisme hpatique de l’antihistaminique par la clarithromycine.
    3. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
      Associations dconseilles :
      – Bromocriptine, cabergoline : par extrapolation partir de l’rythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine.
      Augmentation des concentrations plasmatiques de bromocriptine ou de cabergoline avec accroissement possible de l’activit antiparkinsonnienne ou apparition de signes de surdosage.
      – Tacrolimus : risque d’augmentation des concentrations plasmatiques de l’immunosuppresseur et de la cratininmie par inhibition du mtabolisme hpatique de l’immunodpresseur.
      Toltrodine : augmentation des concentrations de toltrodine chez les mtaboliseurs lents, avec risque de surdosage.
    4. GROSSESSE (relative)
      Ce mdicament ne doit gnralement pas tre utilis pendant la grossesse.
      Les tudes effectues chez l’animal ont mis en vidence un effet malformatif dans une espce et dose leve.
      En clinique, il n’existe pas actuellement de donnes suffisammment pertinentes pour valuer un ventuel effet malformatif ou foetotoxique de la clarithromycine lorsqu’elle est administre pendant la grossesse.
      En consquence, l’utilisation de la clarithromycine est dconseille pendant la grossesse. Cet lment ne constitue pas l’argument pour conseiller une interruption systmatique de grossesse mais conduit une attitude de prudence et une surveillance prnatale soigneuse.
    5. OCCLUSION INTESTINALE
      Ce mdicament est contre-indiqu en cas d’occlusion intestinale, en raison de la prsence d’huile de ricin.
    6. INTOLERANCE AU SACCHAROSE
      En raison de la prsence de saccharose, ce mdicament est contre-indiqu en cas d’intolrance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de dficit en sucrase-isomaltase.
    7. INTOLERANCE AU FRUCTOSE
      En raison de la prsence de saccharose, ce mdicament est contre-indiqu en cas d’intolrance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de dficit en sucrase-isomaltase.

    Traitement

    En cas de surdosage : lavage gastrique et traitement symtomatique.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie :
    – La posologie recommande est de 15 mg/kg par jour, rpartir en deux prises, jusqu’ un maximum de 500 mg deux fois par jour, pour les infections non mycobactriennes.
    La dure habituelle de traitement est de cinq dix jours, en fonction
    de l’infection traite et de sa svrit.
    .
    Mode d’emploi :
    – Il est prfrable de prendre la suspension reconstitue au cours des repas. Elle peut tre prise avec du lait.
    – Ajouter aux granuls une quantit suffisante d’eau dans le flacon puis agiter.
    Mettre en place le bouchon adaptateur.
    – L’administration se fait avec une seringue pour administration orale qui s’introduit dans le bouchon adaptateur.
    – La dose par prise est indique, en fonction du poids de l’enfant, sur le corps de la seringue
    pour administration orale en kg.
    – Elle se lit donc directement sur les graduations de la seringue pour administration orale.
    – Ainsi le poids indiqu correspondant la dose pour une prise.
    – Deux prises par jour sont ncessaires.
    – par exemple, la
    graduation 8 correspond la dose administrer par prise pour un enfant de 8 kg et ce, 2 fois par jour.


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