FEMSEPT 100 microgrammes/24 heures dispositif transdermique

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FEMSEPT 100 microgrammes/24 heures dispositif transdermique

Introduction dans BIAM : 14/10/1998
Dernière mise à jour : 6/7/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : DISPOSITIF TRANSDERMIQUE

    unidose

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : LIPHA SANTE

    Produit(s) : FEMSEPT

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 6/3/1998
    2. mise sur le marché 17/9/1998
    3. publication JO de l’AMM 20/12/1998
    4. rectificatif d’AMM 13/4/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 346105-5

    4
    sachet(s)
    alu/surlyn
    30 cm2

    Evénements :

    1. agrément collectivités 9/9/1998
    2. inscription SS 9/9/1998


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 36.35 F

    Prix public TTC : 51.10 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ESTROGENE (NATUREL ET SEMISYNTHETIQUE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : G03C-A03.
      Femsept libère de l’estradiol, sous forme inchangée et en quantité physiologique, dans la circulation sanguine.
      Femsept élève la concentration d’estradiol à un niveau similaire à celui obtenu dans les phases folliculaires précoce et moyenne. Les rapports moyens Estradiol/Estrone sont ceux observés chez la femme avant la ménopause.
      L’utilisation de la voie transcutanée évite le premier passage hépatique. Contrairement aux estrogènes per os, il n’y a donc pas de stimulation enzymatique hépatique avec les estrogènes transdermiques : ceux-ci n’entraînent pas de modification des protéines de la coagulation (fibrinopeptide A, fibrinogène de haut poids moléculaire, anti-thrombine III), ni des taux circulants du substrat de la rénine (angiotensinogène), de la TeBG, de la TBG, de la cortisol-binding protéine.
      Le traitement par Femsept s’accompagne d’une diminution du cholestérol total et du LDL cholestérol. A forte dose, il y a augmentation potentielle de la lithogénicité biliaire.
      Ainsi, ce traitement fournit une substitution estrogénique physiologique.
      *** Propriétés Pharmacocinétiques :
      Ce dispositif transdermique libère, en moyenne, 100 microgrammes d’estradiol par jour pendant 7 jours.
      Les concentrations sériques d’estradiol sont proportionnelles à la quantité administrée. Environ 18 heures après l’application d’un dispositif 50,75,ou 100 les concentrations atteignent des pics moyens de respectivement 79,120 et 148 pg/ml. La décroissance après le pic est faible et les concentrations moyennes sont de 42, 54 et 71 pg/ml pour respectivement les dispositifs 50,75 et 100 (coefficient de variabilité 27 à 40%).
      Toutefois, il convient de noter que des variations interindividuelles d’absorption peuvent être observées comme lors de toute administration transcutanée d’estradiol. Douze heures après le retrait du dispositif, la concentration d’estradiol dans le sérum revient à la valeur de base.
      L’estradiol est principalement lié à la SHBG au niveau plasmatique.
      L’estradiol est principalement métabolisé dans le foie. Les métabolites les plus importants sont l’estrone et ses conjugués (glucuronates, sulfates) ; ils sont beaucoup moins actifs que l’estradiol.
      La plupart des métabolites sont excrétés dans l’urine sous forme de glucuronates et de sulfates. Les métabolites estrogéniques subissent également un cycle entérohépatique.

    1. ***
      Correction des carences oestrogéniques et des symptômes de déficit en oestrogènes notamment liés à la ménopause naturelle ou artificielle : troubles vasomoteurs (bouffées de chaleur, et sueurs nocturnes), troubles trophiques génito-urinaires (atrophie vulvo-vaginale, dyspareunie, incontinence urinaire) et troubles psychiques (troubles du sommeil asthénie…).
    2. CARENCE EN ESTROGENES
    3. TROUBLE DE LA MENOPAUSE

    1. ACCIDENT CARDIOVASCULAIRE (RARE)
      Cet incident sévère a été essentiellement été observé, bien que rarement, avec les estrogènes de synthèse et lors d’administration par voie orale. Cependant par mesure de prudence, il est souhaitable d’interrompre le traitement quand il apparaît.
    2. ACCIDENT THROMBOEMBOLIQUE (RARE)
      Cet incident sévère a été essentiellement été observé, bien que rarement, avec les estrogènes de synthèse et lors d’administration par voie orale. Cependant par mesure de prudence, il est souhaitable d’interrompre le traitement quand il apparaît.
    3. ICTERE CHOLESTATIQUE (RARE)
      Cet incident sévère a été essentiellement été observé, bien que rarement, avec les estrogènes de synthèse et lors d’administration par voie orale. Cependant par mesure de prudence, il est souhaitable d’interrompre le traitement quand il apparaît.
    4. MASTOPATHIE (RARE)
      Cet incident sévère a été essentiellement été observé, bien que rarement, avec les estrogènes de synthèse et lors d’administration par voie orale. Cependant par mesure de prudence, il est souhaitable d’interrompre le traitement quand il apparaît.
    5. TUMEUR DE L’UTERUS (RARE)
      Cet incident sévère a été essentiellement été observé, bien que rarement, avec les estrogènes de synthèse et lors d’administration par voie orale. Cependant par mesure de prudence, il est souhaitable d’interrompre le traitement quand il apparaît.
    6. ADENOME HEPATIQUE (RARE)
      Cet incident sévère a été essentiellement été observé, bien que rarement, avec les estrogènes de synthèse et lors d’administration par voie orale. Cependant par mesure de prudence, il est souhaitable d’interrompre le traitement quand il apparaît.
    7. BOUFFEE DE CHALEUR (FREQUENT)
      Signe d’hypoestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    8. CEPHALEE (FREQUENT)
      Signe d’hypoestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    9. MIGRAINE (FREQUENT)
      Signe d’hypoestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    10. SECHERESSE DU VAGIN (FREQUENT)
      Signe d’hypoestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    11. INTOLERANCE AUX LENTILLES DE CONTACT (FREQUENT)
      Signe d’hypoestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    12. NAUSEE (FREQUENT)
      Signe d’hyperestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    13. VOMISSEMENT (FREQUENT)
      Signe d’hyperestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    14. DOULEUR ABDOMINALE (FREQUENT)
      Signe d’hyperestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    15. FLATULENCE (FREQUENT)
      Signe d’hyperestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    16. TENSION MAMMAIRE (FREQUENT)
      Signe d’hyperestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    17. IRRITABILITE (FREQUENT)
      Signe d’hyperestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    18. JAMBE LOURDE (FREQUENT)
      Signe d’hyperestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    19. OEDEME (FREQUENT)
      Signe d’hyperestrogénie.
      Incident plus fréquent mais mineur, pouvant éventuellement entraîner l’arrêt du traitement, mais conduisant plus généralement à l’adaptation de la posologie en fonction des signes de surdosage ou de sous-dosage.
    20. METRORRAGIE
      Doit faire rechercher une pathologie sous-jacente, en particulier de l’endomètre.
    21. COMITIALITE(AGGRAVATION)
    22. DERMATITE DE CONTACT
      Allergique.
    23. PRURIT
    24. ERYTHEME CUTANE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      AU POINT D’APPLICATION

      Modéré et transitoire.

    25. CHLOASMA
      Pouvant être persistant.

    1. MISE EN GARDE
      – Symptômes persistants de carence estrogénique :
      Chez certaines patientes, l’absorption de l’estradiol étant insuffisante lors de l’administration transcutanée, il est recommandé, si les symptômes liés à la carence estrogénique persistent, d’augmenter la posologie ou de passer à une autre forme ou une autre voie d’administration.
      – Risque de cancer de l’endomètre :
      Les risques de cancer de l’endomètre augmentent lors d’administrations isolées et prolongées d’estrogènes (plus d’un an); cependant l’association appropriée d’un progestatif au traitement estrogénique diminue statistiquement ce risque.
      – Surveillance du traitement :
      Avant de débuter ou de modifier un traitement hormonal substitutif de la ménopause (THS), il est indispensable d’effectuer un examen clinique et gynécologique complets (y compris le recueil des antécédents familiaux), en tenant compte des contre-indications et des précautions d’emploi. Pendant toute la durée du traitement, des examens réguliers seront effectués, leur nature et leur fréquence étant adaptées à chaque patiente. Un examen des seins et/ou une mammographie seront également réalisés si nécessaire en fonction de chaque patiente.
      – Risque de cancer du sein :
      Les résultats d’une métaanalyse de 51 études épidémiologiques montrent que la probabilité de diagnostiquer un cancer du sein augmente de manière faible à modérée chez des femmes traitées actuellement ou ayant pris récemment un THS. Cette augmentation de risque peut être due à un diagnostic plus précoce, aux effets propres du THS ou à l’association de ces deux facteurs. Ce risque augmente avec la durée du traitement et revient à la normale de manière progressive au cours des 5 années qui suivent l’arrêt du THS.
      Chez ces femmes, le type de cancer du sein observé est souvent plus localisé et donc de meilleur pronostic que celui de femmes non traitées par THS.
      Entre 50 et 70 ans, environ 45 femmes pour 1000 ne prenant pas de THS présenteront un cancer du sein, ce pourcentage augmentant avec l’âge. Dans cette tranche d’âge, chez les femmes traitées par THS pendant 5 à 15 ans, le nombre de cas supplémentaires de cancer du sein diagnostiqués est de l’ordre de 2 à 12 cas pour 1000 femmes traitées.
      Des données récentes suggèrent une légère augmentation de l’incidence du cancer du sein localisé, mais non métastatique, chez les femmes ménopausées, recevant un traitement hormonal substitutif à long terme (plus de 5 ans). Cette augmentation peut être due à une détection plus précoce du cancer du sein chez les femmes traitées. L’influence du traitement progestatif associé sur ce risque n’est pas connue. Les femmes recevant un traitement hormonal substitutif à long terme et plus particulièrement les femmes qui ont des antécédents ou qui présentent actuellement des nodules mammaires ou une mastopathie fibrokystique, doivent bénéficier d’examens réguliers des seins.
      – Risque d’accidents thrombo-emboliques :
      Des études de cas-témoins ont montré que le traitement hormonal substitutif (THS) est associé à un risque accru d’accidents thrombo-emboliques veineux, de 1 cas par an pour 10000 femmes dans la population générale, à 2 à 3 cas par an pour 10000 femmes sous THS.
    2. SURVEILLANCE MEDICALE
      Un examen médical est nécessaire avant et périodiquement en cours de traitement oestrogénique ; les contrôles porteront essentiellement sur : sein, utérus, tension artérielle, poids.
    3. ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL
      Le traitement hormonal subtitutif ne sera instauré qu’après l’évaluation de l’accident vasculaire cérébral lié à l’athérosclérose et une surveillance régulière sera exercée dans ce cas.
    4. HEMORRAGIE CEREBRALE
      Le traitement hormonal subtitutif ne sera instauré qu’après l’évaluation de la pathologie et une surveillance régulière sera exercée dans ce cas.
    5. ACCIDENTS OCULAIRES D’ORIGINE VASCULAIRE
      Le traitement hormonal subtitutif ne sera instauré qu’après l’évaluation de la pathologie et une surveillance régulière sera exercée dans ce cas.
    6. OBESITE
      Le traitement hormonal subtitutif ne sera instauré qu’après l’évaluation de la pathologie et une surveillance régulière sera exercée dans ce cas, en raison du risque thrombotique veineux.
    7. ALITEMENT PROLONGE
      Le traitement hormonal subtitutif ne sera instauré qu’après l’évaluation de la pathologie et une surveillance régulière sera exercée dans ce cas.
    8. INTERVENTION CHIRURGICALE
      En cas d’intervention programmée, il est souhaitable d’interrompre le traitement un mois avant.
    9. DIABETE
      Le traitement hormonal subtitutif ne sera instauré qu’après l’évaluation de la pathologie et une surveillance régulière sera exercée dans ce cas, en particulier en cas de diabète compliqué par une microangiopathie.
    10. HYPERTENSION ARTERIELLE
      Le traitement hormonal subtitutif ne sera instauré qu’après l’évaluation de la pathologie et une surveillance régulière sera exercée dans ce cas.
    11. ENDOMETRIOSE
      Les risques et bénéfices du traitement devront être évalués et surveillés de près chez ces patientes.
    12. HYPERPLASIE UTERINE
      Les risques et bénéfices du traitement devront être évalués et surveillés de près chez ces patientes.
    13. FIBROME UTERIN
      Les risques et bénéfices du traitement devront être évalués et surveillés de près chez ces patientes.
    14. TUMEUR BENIGNE DU SEIN
      Les risques et bénéfices du traitement devront être évalués et surveillés de près chez ces patientes.
    15. LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE
      Les risques et bénéfices du traitement devront être évalués et surveillés de près chez ces patientes.
    16. TUMEUR HYPOPHYSAIRE
      A prolactine.
      Les risques et bénéfices du traitement devront être évalués et surveillés de près chez ces patientes.
    17. PORPHYRIE
      Les risques et bénéfices du traitement devront être évalués et surveillés de près chez ces patientes.
    18. CHOLESTASE
      Récurrente.
      Une surveillance attentive doit être exercée chez ces patientes.
    19. PRURIT GRAVIDIQUE(ANTECEDENTS)
      Une surveillance attentive doit être exercée chez ces patientes.
    20. INSUFFISANCE RENALE
      Une surveillance attentive doit être exercée chez ces patientes.
    21. EPILEPSIE
      Une surveillance attentive doit être exercée chez ces patientes.
    22. ASTHME
      Une surveillance attentive doit être exercée chez ces patientes.
    23. CANCER DU SEIN (ANTECEDENTS FAMILIAUX)
      Une surveillance attentive doit être exercée chez ces patientes.
    24. TROUBLES HEPATIQUES
      Une surveillance attentive doit être exercée chez ces patientes.
    25. OTOSPONGIOSE
      Une surveillance attentive doit être exercée chez ces patientes.
    26. GROSSESSE
      Ce médicament n’a pas d’indication au cours de la grossesse.
      En clinique, les résultats de nombreuses études épidémiologiques permettent d’écarter, à ce jour, un risque malformatif, en début de grossesse, des estrogènes administrés seuls ou en association.
      En conséquence, la découverte d’une grossesse exposée par mégarde aux estrogènes (ou aux estroprogestatifs) ne justifie pas l’interruption de celle-ci.
    27. ALLAITEMENT
      Ce médicament n’a pas d’indication au cours de l’allaitement.

    1. ACCIDENT THROMBOEMBOLIQUE
      – Accident thromboembolique veineux en évolution.
      – Accident thrombotique artériel en évolution (notamment coronarien ou cérébral).
    2. CANCER DU SEIN
      Cancer estrogéno-dépendant connu ou suspecté.
    3. CANCER DE L’UTERUS
      Cancer estrogéno-dépendant connu ou suspecté.
    4. HEMORRAGIES GENITALES NON DIAGNOSTIQUEES
    5. ATTEINTE HEPATIQUE SEVERE
    6. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    7. CARDIOPATHIE EMBOLIGENE (relative)
      Bien que sous traitement les facteurs de la coagulation ne soient pas modifiés à court terme, ce médicament est généralement déconseillé par mesure de prudence en l’absence de données épidémiologiques suffisantes.
    8. ANTECEDENTS THROMBOEMBOLIQUES (relative)
      Veineux récents et documentés.
      Bien que sous traitement les facteurs de la coagulation ne soient pas modifiés à court terme, ce médicament est généralement déconseillé par mesure de prudence en l’absence de données épidémiologiques suffisantes

    Signes de l’intoxication :

    1. TENSION MAMMAIRE
    2. OEDEME
    3. ANXIETE
    4. IRRITABILITE

    Traitement

    Les effets d’un surdosage sont généralement une sensation de tension mammaire, gonflement abdomino-pelvien, anxiété, irritabilité. Ces signes disparaissent au retrait du dispositif ou lorsque la dose est réduite.

    Voies d’administration

    – 1 – TRANSDERMIQUE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    L’application du dispositif est à renouveler tous les 7 jours.
    Le traitement commence en général avec Femsept 50.
    En fonction de l’évolution clinique, la posologie peut être adaptée aux besoins individuels : si la dose choisie n’a
    pas corrigé les symptômes de déficit estrogénique, il faut l’augmenter. L’apparition d’une sensation de tension des seins, d’une irritabilité indique en général que la dose est trop élevée et doit être abaissée.
    Femsept 100 microgrammes/ 24 heures peut
    être utilisé utilisé selon le schéma thérapeutique :
    – Discontinu (de façon cyclique), pendant 21 à 28 jours, suivis d’un intervalle libre de tout traitement de deux à sept jours. Durant cet intervalle, des hémorragies de privation peuvent apparaître.

    Continu, sans aucune période d’arrêt du traitement.
    Un traitement continu, non cyclique, peut être indiqué dans le cas ou les symptômes de déficit oestrogénique se manifestent à nouveau fortement au cours de l’intervalle libre.
    Chez les femmes non
    hystérectomisées, le progestatif doit être ajouté au moins12 jours par cycle pour s’opposer au développement d’une hyperplasie endométriale induite par l’estrogène.
    Le traitement séquentiel par des progestatifs doit se faire selon le schéma suivant :
    .
    Si Femsept 100 microgrammes/ 24 heures est administré de façon discontinue, le progestatif sera administré durant au moins les 12 derniers jours du traitement par l’estradiol. Ainsi, il n’y aura aucune administration hormonale pendant l’intervalle
    libre de chaque cycle.
    . Si Femsept 100 microgrammes/ 24 heures est administré de façon continue, il est recommandé de prendre le progestatif au moins 12 jours chaque mois.
    Dans les deux cas, des saignements peuvent apparaître après l’arrêt du
    traitement par le progestatif .
    .
    .
    Mode d’emploi :
    Une fois le feuillet de protection détaché, Femsept 100 microgrammes/ 24 heures doit immédiatement être appliqué sur la fesse ou l’abdomen à un endroit ne présentant pas de plis importants et qui ne
    soit pas le siège de frottements vestimentaires.
    La peau doit être sèche, ne doit pas être irritée ou traitée par des produits huileux ou gras.
    Femsept 100 microgrammes/ 24 heures ne doit pas être appliqué sur les seins. Il est recommandé de ne pas
    l’appliquer 2 fois de suite au même endroit.
    Maintenir une pression de 30 secondes environ sur l’ensemble du dispositif transdermique (la chaleur est essentielle pour assurer une bonne adhésion).
    Il est possible de se doucher ou de prendre un bain tout
    en gardant le dispositif transdermique.
    Dans l’éventualité d’un décollement du dispositif (eau très chaude, hypersudation, frottement anormal des vêtements) : utiliser un dispositif neuf qui sera retiré à la date initialement prévue.
    Reprendre ensuite
    le rythme de changement du dispositif conformément au schéma thérapeutique initial.


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