PROPECIA 1 mg comprimés pelliculés

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PROPECIA 1 mg comprimés pelliculés

Introduction dans BIAM : 11/2/1999
Dernière mise à jour : 7/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES PELLICULES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : MERCK SHARP & DOHME-CHIBRET

    Produit(s) : PROPECIA

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 23/12/1998
    2. mise sur le marché 1/2/1999
    3. publication JO de l’AMM 13/7/1999
    4. rectificatif d’AMM 1/2/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 349066-0

    4
    plaquette(s) thermoformée(s)
    7
    unité(s)
    PVC/alu

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 18
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 249.29 F

    Prix public TTC : 395.10 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT DERMATOLOGIQUE AUTRE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : D11A-X10.
      Le finastéride est un 4-azastéroïde qui inhibe la 5 a-réductase humaine de type 2 (présente dans les follicules pileux du cuir chevelu) avec une sélectivité 100 fois supérieure à son activité sur la 5 a-réductase humaine de type 1. Il bloque ainsi la transformation périphérique de la testostérone en un autre androgène, la dihydrotestostérone (DHT). Chez les hommes présentant une alopécie de type masculin, le cuir chevelu des zones alopéciées contient des follicules pileux miniaturisés et des taux élevés de DHT. Le finastéride inhibe un des processus responsables de la miniaturisation des follicules pileux du cuir chevelu, ce qui peut inverser ainsi le processus de calvitie.
      Ð Etudes chez l’homme :
      L’efficacité de Propecia a été démontrée dans trois études réalisées chez 1 879 hommes âgés de 18 à 41 ans, présentant une alopécie légère à modérée, mais non complète, du vertex et de la région frontale/médiane. Il a été demandé à tous les hommes traités avec Propecia ou un placebo d’utiliser un shampooing à base de goudron.
      Dans les deux études chez les hommes présentant une alopécie du vertex, le traitement par Propecia a entraîné une augmentation du nombre de cheveux d’approximativement 10% à 12 et 24 mois par rapport au nombre initial dans une zone représentative de 5,1 cm 2 (nombre initial : 876 cheveux). Ces résultats correspondent à une augmentation de 107 cheveux (14%) après 12 mois et 138 cheveux (16%) après 24 mois, par rapport au placebo. Au 12e mois, seuls 14% des hommes traités par Propecia avaient une perte de cheveux (définie comme toute diminution du nombre de cheveux par rapport au nombre initial) contre 58% dans le groupe placebo. Chez les hommes traités jusqu’à 24 mois, la perte de cheveux a été de 17% dans le groupe traité par Propecia contre 72% dans le groupe placebo.
      Après un traitement de 24 mois, l’auto-évaluation des patients a montré une augmentation significative de la densité des cheveux, une diminution de la chute des cheveux et une amélioration de l’aspect des cheveux.
      L’évaluation de l’investigateur était basée sur une échelle de 7 points (de 3 [diminution importante] à +3 [augmentation importante]), appréciant les augmentations ou les diminutions des cheveux à chaque visite du patient. Après 12 mois de traitement, les investigateurs ont évalué à 65% le nombre d’hommes traités par Propecia présentant une augmentation de la densité des cheveux (notes de +1 à +3) par rapport à 37% dans le groupe placebo (notes de +1 à +3). Après 24 mois de traitement, une augmentation de la densité des cheveux (notes de +1 à +3) a été notée chez 80% des hommes traités par Propecia par rapport à 47% d’hommes dans le groupe placebo (notes de +1à +3).
      Le groupe d’experts dermatologues a évalué des photographies standardisées du cuir chevelu sur la même échelle de 7 points. Au bout de 12 mois, une augmentation de la densité des cheveux a été démontrée chez 48% des hommes traités par Propecia (notes de +1 à +3) contre 7% des hommes sous placebo (notes de +1 à +2). Au bout de 24 mois, 66% des hommes sous Propecia présentaient une augmentation de la densité des cheveux (notes de +1 à +3) contre 7% sous placebo (notes de +1).
      Dans une étude sur 12 mois conduite chez des hommes présentant une alopécie de la région frontale/médiane, le nombre de cheveux a été obtenu dans une zone représentative de 1 cm2 (approximativement 1/5 de la zone étudiée dans les études du vertex). Le nombre de cheveux, ajusté à une zone de 5,1 cm2 , a augmenté de 49 cheveux (5%) par rapport au nombre initial, et de 59 cheveux (6%) par rapport au placebo. Cette étude a également démontré une amélioration significative de l’auto-évaluation des patients, de l’évaluation des investigateurs et des cotations des photographies du cuir chevelu réalisées par le groupe d’experts dermatologues.
      Dans chacune de ces études, une amélioration clinique a été constatée après 3 à 6 mois, avec une efficacité maintenue par la suite. Une réversibilité de l’effet du traitement a été observée dans les 9 à 12 mois après l’arrêt de celui-ci. Lors des phases d’extension des études contrôlées et ouvertes allant jusqu’à trois ans, il a été démontré que cette efficacité clinique se maintenait.
      En résumé, ces études ont démontré que le traitement par Propecia augmente la densité des cheveux et prévient la chute ultérieure des cheveux chez les hommes atteints d’alopécie androgénétique.
      Deux études d’une durée de 12 et 24 semaines ont montré qu’une dose égale à 5 fois la dose recommandée (5 mg de finastéride par jour) a causé une diminution médiane du volume de l’éjaculat d’environ 0,5 ml ( – 25%) par rapport au placebo. Cette diminution a été réversible à l’arrêt du traitement. Dans une étude d’une durée de 48 semaines, le finastéride à la dose de 1 mg/jour a entraîné une diminution moyenne du volume de l’éjaculat de 0,3 ml (11%) comparé à une diminution de 0,2 ml (8%) dans le groupe placebo. Aucun effet sur le nombre des spermatozoïdes, leur motilité ou morphologie n’a été observé. Les données à plus long terme ne sont pas disponibles. Il n’a pas été possible d’entreprendre des études cliniques qui évalueraient directement les effets négatifs potentiels sur la fertilité. Cependant, il est considéré que de tels effets sont très improbables (cf également données de sécurité précliniques).
      Ð Etudes chez la femme :
      Chez les femmes ménopausées atteintes d’une alopécie androgénétique et traitées par le finastéride à 1 mg par jour pendant 12 mois, aucune efficacité de ce traitement n’a été démontrée (cf Précautions d’emploi).
      * Propriétes pharmacocinétiques :
      – Biodisponibilité :
      La biodisponibilité orale du finastéride est d’environ 80% et n’est pas modifiée par une prise alimentaire. Les concentrations plasmatiques maximales du finastéride sont atteintes environ 2 heures après l’administration, et l’absorption est complète après 6 à 8 heures.
      – Distribution :
      La liaison aux protéines plasmatiques est d’environ 93%. Le volume de distribution est d’environ 76 litres (44 à 96 l). A l’état d’équilibre, après une administration de 1 mg/jour, les concentrations plasmatiques maximales de finastéride sont en moyenne de 9,2 ng/ml et sont atteintes 1 à 2 heures après l’administration. L’aire sous la courbe (0-24 h) est de 53 ng x h/ml. Le finastéride a été retrouvé dans le LCR (liquide céphalorachidien), mais il ne semble pas s’y concentrer de façon préférentielle. Une toute petite quantité de finastéride a également été retrouvée dans le liquide séminal des sujets traités. Des études conduites chez le singe rhésus ont montré que cette quantité n’est pas considérée comme un risque pour le f tus de sexe masculin en cours de développement (cf Grossesse et Allaitement, Sécurité préclinique).
      – Biotransformation :
      Le finastéride est métabolisé principalement par l’intermédiaire du système du cytochrome P450 3A4 sans l’affecter. Après administration d’une dose orale de C14-finastéride chez l’homme, deux métabolites du finastéride ont été identifiés. Ces deux métabolites ne possèdent qu’une faible fraction de l’activité inhibitrice du finastéride sur la 5 a-réductase.
      – Elimination :
      Après administration d’une dose orale de C14 -finastéride chez l’homme, approximativement 39% (32 à 46%) de la dose sont excrétés dans les urines sous forme de métabolites. Il n’y a pratiquement pas d’excrétion de produit non métabolisé dans les urines et 57% (51 à 64%) de la dose totale sont excrétés dans les fèces.
      La clairance plasmatique est d’environ 165 ml/min (70 à 279 ml/min).
      Le pourcentage d’élimination du finastéride diminue quelque peu avec l’âge. La demi-vie moyenne d’élimination plasmatique terminale est d’environ 5 à 6 heures (3 à 14 heures) ; chez les hommes âgés de plus de 70 ans, elle est de 8 heures (6-15 heures). Ces données n’ont pas de conséquence clinique et, de ce fait, une réduction de la posologie ne se justifie pas chez le sujet âgé.
      – Insuffisance hépatique :
      L’effet d’une insuffisance hépatique sur la pharmacocinétique du finastéride n’a pas été étudié.
      – Insuffisance rénale :
      Lors de l’administration d’une dose unique de finastéride marqué au C14 chez des patients ayant une insuffisance rénale chronique, avec des clairances de la créatinine allant de 9 à 55 ml/min, l’aire sous la courbe, les concentrations plasmatiques maximales, la demi-vie et la liaison aux protéines du finastéride inchangé étaient similaires aux valeurs obtenues chez des volontaires sains.
      Données de sécurité précliniques :
      – Mutagénicité, carcinogénicité :
      Les études sur la génotoxicité et la carcinogénicité n’ont révélé aucun risque chez l’homme.
      – Effets sur la reproduction et la fertilité :
      Les effets sur le développement embryonnaire et foetal ont été étudiés chez le rat, le lapin, et le singe rhésus. Chez le rat traité à des doses de 5 à 5 000 fois la dose recommandée chez l’homme, la survenue d’hypospadias a été observée chez les foetus mâles et a été dose-dépendante. Chez les singes rhésus, le traitement à des doses orales de 2 mg/kg/jour a également entraîné des malformations génitales externes. Des doses intraveineuses allant jusqu’à 800 ng/jour chez le singe rhésus n’ont entraîné aucun effet chez le foetus mâle.
      Cela équivaut à au moins 750 fois la plus forte exposition estimée des femmes enceintes au finastéride contenu dans le sperme de partenaires traités par 1 mg/jour (cf Propriétés pharmacocinétiques). Dans l’étude chez le lapin, les foetus n’ont pas été exposés au finastéride pendant la période critique du développement génital.
      Ni le volume de l’éjaculat, ni la numération des spermatozoïdes, ni la fertilité n’ont été affectés chez le lapin après un traitement avec 80 mg/kg/jour, une dose qui, dans d’autres études, a entraîné une diminution marquée du poids des glandes sexuelles annexes.
      Chez le rat traité pendant 6 et 12 semaines par 80 mg/kg/jour (approximativement 500 fois l’exposition clinique), aucun effet sur la fertilité n’a été observé. Après 24 à 30 semaines de traitement, une certaine réduction de la fertilité et une réduction marquée du poids de la prostate et des vésicules séminales ont été observées. Toutes les modifications ont été réversibles dans une période de 6 semaines. Il a été montré que la réduction de la fertilité était due à une altération de la formation du bouchon séminal, un effet qui ne concerne pas l’homme. Le développement des nouveau-nés et leur capacité de reproduction à l’âge de la maturité sexuelle n’ont pas été influencés. Après insémination à des rats femelles de sperme issu de l’épididyme provenant de rats traités pendant 36 semaines à 80 mg/kg/jour, aucun effet n’a été observé sur plusieurs paramètres de fertilité.

    1. ***
      Stades peu évolués de l’alopécie androgénétique chez l’homme.
      Propecia stabilise le processus de l’alopécie androgénétique chez l’homme âgé de 18 à 41 ans. L’efficacité sur le recul des golfes bitemporaux et sur un stade avancé de la chute des cheveux n’a pas été établie.
    2. ALOPECIE
    3. ALOPECIE(PREVENTION)

    1. TROUBLE GENITAL
      Ð Les effets indésirables ont généralement été transitoires pendant le traitement ou réversibles à l’arrêt du traitement.
      Ð Effets indésirables peu fréquents (1/100 – 1/1 000 [1] ) rapportés au cours des études cliniques : troubles de l’érection, troubles de l’éjaculation (y compris diminution du volume de l’éjaculat). Les effets indésirables sexuels ont été plus fréquents chez les hommes traités avec le finastéride que chez les hommes recevant le placebo, avec des fréquences respectives de 3,8 % vs 2,1 %.
      Ð Effets indésirables rares (1/1 000) rapportés depuis la mise sur le marché de Propecia :
      – Effets généraux : sensibilité et augmentation du volume mammaire.
      – Effets génito-urinaires : douleurs des testicules.
    2. TROUBLE DE L’ERECTION (PEU FREQUENT)
      Généralement transitoire pendant le traitement ou réversible à l’arrêt du traitement.
    3. LIBIDO(DIMINUTION) (PEU FREQUENT)
      Généralement transitoire pendant le traitement ou réversible à l’arrêt du traitement.
    4. TROUBLE DE L’EJACULATION (PEU FREQUENT)
      Y compris diminution du volume de l’éjaculat.
      Généralement transitoire pendant le traitement ou réversible à l’arrêt du traitement.
    5. GYNECOMASTIE (RARE)
      Effets indésirables rapportés depuis la mise sur le marché de Propecia, comprenant sensibilité et augmentation du volume mammaire.
    6. REACTION D’HYPERSENSIBILITE (RARE)
      Effets indésirables rapportés depuis la mise sur le marché de Propecia, comprenant éruption cutanée, prurit, urticaire et gonflement des lèvres et du visage, et sensibilité et augmentation du volume mammaire.
    7. ERUPTION CUTANEE
      Effets indésirables rapportés depuis la mise sur le marché de Propecia,
    8. URTICAIRE
      Effets indésirables rapportés depuis la mise sur le marché de Propecia,
    9. OEDEME LABIAL
      Effets indésirables rapportés depuis la mise sur le marché de Propecia,
    10. OEDEME DE LA FACE
      Effets indésirables rapportés depuis la mise sur le marché de Propecia,
    11. DOULEUR TESTICULAIRE (RARE)
      Ð Les effets indésirables ont généralement été transitoires pendant le traitement ou réversibles à l’arrêt du traitement.
      Ð Effet indésirable rare (1/1 000) rapporté depuis la mise sur le marché de Propecia.

    1. FEMME
      Propecia ne doit pas être utilisé chez la femme.
    2. EFFET SUR LA REPRODUCTION
      Lors des études cliniques conduites avec Propecia chez des hommes âgés de 18 à 41 ans, la valeur moyenne de l’antigène spécifique de la prostate (PSA) a diminué de 0,7 ng/ml avant le traitement à 0,5 ng/ml après 12 mois de traitement. Une multiplication par 2 du taux de PSA est nécessaire avant de considérer le résultat de ce test chez les hommes prenant Propecia.
      Il n’y a pas de données à long terme sur la fertilité chez l’homme, et des études spécifiques n’ont pas été effectuées chez des hommes hypofertiles. Cependant, dans les études chez l’animal effectuées sur trois espèces avec des doses élevées de finastéride, aucun effet négatif notable n’a été observé sur la fertilité. De plus, il a été constaté que les hommes ayant un déficit génétique en 5 alpha-réductase de type 2 et une inhibition définitive de la production de dihydrotestostérone avaient une spermatogenèse normale et des enfants en bonne santé (cf Propriété thérapeutique).
    3. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      L’effet d’une insuffisance hépatique sur la pharmacocinétique du finastéride n’a pas été étudié.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
      Hypersensibilité au finastéride ou à l’un des composants.
    2. FEMME
      Propecia est contre-indiqué chez la femme en raison du risque pendant la grossesse.
      Du fait de la capacité du finastéride à inhiber la transformation de la testostérone en dihydrotestostérone (DHT), Propécia peut provoquer des anomalies des organes génitaux externes d’un foetus de sexe masculin, s’il est administré à une femme enceinte.
    3. GROSSESSE
      Propecia est contre-indiqué chez la femme en raison du risque pendant la grossesse.
      Du fait de la capacité du finastéride à inhiber la transformation de la testostérone en dihydrotestostérone (DHT), Propécia peut provoquer des anomalies des organes génitaux externes d’un foetus de sexe masculin, s’il est administré à une femme enceinte.
    4. ALLAITEMENT
      Le passage du finastéride dans le lait maternel n’est pas connu.

    1. INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
      Lors des études cliniques conduites avec Propecia chez les hommes âgés de 18 à 41 ans, la valeur moyenne de l’antigène spécifique de la prostate (PSA) a diminuée de 0.7 ng/ml avant le traitement à 0.5 ng/ml après 12 mois de traitement. Un multiplication par deux du taux de PSA est nécessaire avant de considérer le résultat de ce test chez les hommes prenant Propecia.

    Traitement

    Au cours d’études cliniques, des doses uniques de finastéride allant jusqu’à 400 mg et des doses répétées allant jusqu’à 80 mg/jour pendant trois mois (nb = 71) n’ont pas entraîné d’effet indésirable dose-dépendant.
    En cas de surdosage par Propecia,
    aucun traitement spécifique n’est recommandé.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie :
    – Un comprimé (un mg) par jour pendant ou en dehors des repas.
    – Il n’existe aucune preuve qu’une augmentation de la posologie augmente l’efficacité du produit.
    – L’efficacité et la durée du traitement doivent être régulièrement évaluées par
    le médecin traitant. Trois à six mois de traitement en une prise par jour sont généralement nécessaires avant de pouvoir constater une stabilisation manifeste de la chute des cheveux. Une utilisation continue est recommandée pour maintenir le bénéfice
    thérapeutique. Si le traitement est arrêté, les effets bénéfiques commencent à régresser au sixième mois et disparaissent après 9 à 12 mois.
    – Aucun ajustement de la posololgie n’est nécessaire chez les patients ayant une insuffisance rénale.

    Modalités
    de manipulation :
    Des comprimés cassés ou écrasés ne doivent pas être manipulés par des femmes enceintes ou susceptibles de l’être en raison de la possibilité d’absorption du finastéride et, par conséquent, du risque potentiel pour un f tus de sexe
    masculin. Les comprimés sont pelliculés, ce qui empêche le contact avec le principe actif lors d’une manipulation normale, à condition que les comprimés ne soient ni cassés, ni écrasés.


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