CLOZAPINE PANPHARMA 25 mg comprims scables (Hp)

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CLOZAPINE PANPHARMA 25 mg comprims scables (Hp)

Introduction dans BIAM : 17/9/1999
Dernière mise à jour : 19/12/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES SECABLES

    Etat : commercialis

    Laboratoire : PANPHARMA

    Produit(s) : CLOZAPINE PANPHARMA

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 25/6/1998
    2. publication JO de l’AMM 19/12/1998
    3. mise sur le march 15/1/1999

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 561007-4

    3
    plaquette(s) thermoforme(s)
    10
    unit(s)
    PVC/PVDC/alu
    blanc

    Evénements :

    1. agrment collectivits 4/11/1998


    Lieu de délivrance : hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    A TEMPERATURE AMBIANTE

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ***
      Schizophrnies chroniques svres (voluant depuis au moins deux ans) en cas de rsistance ou d’intolrance majeures aux neuroleptiques classiques.
      – la rsistance aux neuroleptiques est dfinie comme l’absence d’amlioration clinique ou sociale malgr la prescription d’au moins deux neuroleptiques succcessifs prescrits posologie leve pendant au moins six semaines.
      Ces malades restent troitement dpendants du milieu hospitalier.
      – Sont considrs comme intolrants les patients pour lesquels les traitements classiques produisent des effets secondaires neurologiques svres et invalidants impossibles corriger par un meilleur ajustement posologique ou l’aide des mdications correctives habituelles.
    2. SCHIZOPHRENIE

    1. NEUTROPENIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT

      La survenue d’une neutropnie est un risque inhrent au traitement par la clozapine. La majorit des cas survient dans les 18 premires semaines de traitement.

    2. AGRANULOCYTOSE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT

      La survenue d’une agranulocytose est un risque inhrent au traitement par la clozapine. La majorit des cas survient dans les 18 premires semaines de traitement. Bien que gnralement rversible, aprs interruption du traitement, l’agranulocytose peut tre fatale.

    3. LEUCOCYTOSE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT

      Hyperleucocytose, parfois associe une fivre, osinophilie, plus particulirement en dbut de traitement.

    4. THROMBOPENIE
    5. THROMBOCYTOSE
    6. ASTHENIE (FREQUENT)
    7. SOMNOLENCE (FREQUENT)
    8. SEDATION (FREQUENT)
    9. VERTIGE
    10. CEPHALEE
    11. MYOCLONIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSE-DEPENDANTE

      La clozapine peut diminuer le seuil pileptogne, de faon dose-dpendante.

    12. CRISE CONVULSIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSE-DEPENDANTE

      La clozapine peut diminuer le seuil pileptogne, de faon dose-dpendante, et peut entraner des myoclonies et des convulsions gnralises. Dans ce dernier cas, il convient de rduire la posologie en la ramenant au palier prcdent, voire en dessous de 600 mg/jour si cette dose a t dpasse. Si une nouvelle progression posologique de la clozapine est ncessaire, instaurer un traitement anticonvulsivant, de prfrence avec l’acide valproque

    13. CONFUSION MENTALE
    14. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    15. DELIRE
    16. TREMBLEMENT (RARE)
      Signe extrapyramidal d’intensit modre.
    17. AKATHISIE (RARE)
      Signe extrapyramidal d’intensit modre.
    18. RIGIDITE MUSCULAIRE (RARE)
      Signe extrapyramidal d’intensit modre.
    19. SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ASSOCIATION AUX NEUROLEPTIQUES

      Des cas de syndrome malin des neuroleptiques ont t rapports chez des patients traits par la clozapine seule ou associe au lithium ou d’autres neuroleptiques.

    20. SECHERESSE DE LA BOUCHE
    21. TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
    22. FIEVRE
    23. HYPERSUDATION
    24. SIALORRHEE
    25. HYPERTENSION ARTERIELLE
      Occasionnelle.
    26. TACHYCARDIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT

      Effet pouvant survenir essentiellement l’introduction de la clozapine en cas de progression posologique trop rapide.

    27. HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT

      Effet pouvant survenir essentiellement l’introduction de la clozapine en cas de progression posologique trop rapide.

    28. SYNCOPE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT

      Effet pouvant survenir essentiellement l’introduction de la clozapine en cas de progression posologique trop rapide.

    29. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE (RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT

      Effet pouvant survenir essentiellement l’introduction de la clozapine en cas de progression posologique trop rapide.

    30. PERICARDITE (RARE)
    31. ARYTHMIE (RARE)
    32. ELECTROCARDIOGRAMME(ANOMALIE) (RARE)
    33. MYOCARDITE (RARE)
      Quelques cas de myocardite (avec ou sans osinophilie), parfois d’volution fatale, ont t rapports. En consquence, l’apparition de troubles cardiaques doit faire voquer le diagnostic de myocardite; s’il est confirm, la clozapine doit tre arrte.
    34. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    35. ARRET CARDIAQUE
    36. FAUSSE ROUTE (RARE)
      Une fausse route peut survenir, de faon rare, chez les patients prsentant une dysphagie ou au dcours d’une intoxication aigu.
    37. NAUSEE
    38. VOMISSEMENT
    39. DYSPHAGIE (TRES RARE)
    40. CONSTIPATION
      Ncessitant un traitement car elle peut voluer trs rarement vers une occlusion intestinale fonctionnelle.
    41. OCCLUSION INTESTINALE (TRES RARE)
    42. TOXICITE HEPATIQUE
      Quelques cas d’atteintes hpatiques, biologiques et ou cliniques ont t rapports.
    43. INCONTINENCE URINAIRE
    44. RETENTION D’URINE
    45. PRIAPISME
    46. REACTION CUTANEE
    47. POIDS(AUGMENTATION) (RARE)
      Prises de poids importantes.
    48. GLYCEMIE(AUGMENTATION)
    49. CPK(AUGMENTATION)
    50. MORT SUBITE
      Des morts subites sont une ventualit connue chez les patients psychiatriques traits ou non par neuroleptiques : des cas identiques ont t rapports sous clozapine.

    1. MISE EN GARDE
      La clozapine peut provoquer une neutropnie pouvant voluer vers une agranulocytose. La frquence de l’agranulocytose est estime environ 0.46%.

      Son utilisation doit tre limite aux patients chez lesquels :

      – une numration/formule leucocytaire est normale avant le dbut du traitement (nombre absolu de leucocytes suprieur ou gal 3500/mm3 et de polynuclaires neutrophiles suprieur ou gal 2000/mm3).

      – et chez qui une numration/formule leucocytaire peut tre ralise rgulirement (toutes les semaines pendant les 18 premires semaines, et au moins une fois par mois par la suite, aussi longtemps que le traitement sera poursuivi).

      La dure de prescription ne doit pas excder l’intervalle entre deux numration-formule leucocytaire. Il appartient chaque prescripteur de contrler la normalit de la numration-formule leucocytaire avant toute prescription ou renouvellement.

      Les mdecins prescripteurs devront se conformer l’ensemble des mesures de scurit exiges (carnet de surveillance). A chaque consultation, il sera rappel un patient recevant du Leponex qu’il doit contacter immdiatement son mdecin ds les premiers symptmes d’une infection ou d’une fivre. Tout patient ou son entourage doit tre inform que l’apparition de fivre, d’angine ou d’une infection pouvant tmoigner d’une agranulocytose impose d’avertir tout de suite le mdecin traitant et de contrler immdiatement l’hmogramme. En cas de modification franche de ce dernier, l’administration du neuroleptique sera interrompue.
    2. NEUTROPENIE
      En cas d’arrt de traitement pour une neutropnie, selon les critres dfinis ci-dessous (nombre de leucocytes infrieur 3000/mm3 et nombre absolu de neutrophiles infrieur 1500/mm3), la clozapine ne doit pas tre rintroduite.
    3. ASSOCIATION A DES MEDICAMENTS A FORT POTENTIEL LEUCOPENIANT
      La clozapine ne doit pas tre utilise de faon concomitante avec des thrapeutiques potentiellement leucopniantes (notamment les neuroleptiques classiques ou les antidpresseurs). D’autre part, l’utilisation concomitante de neuroleptiques retard doit tre proscrite (impossibilit d’limination rapide de l’organisme en cas de neutropnie).
    4. INFECTION
      En cas d’infection, ou si le nombre absolu de leucocytes est infrieur 3500/mm3, ou si le nombre de polynuclaires neutrophiles est infrieur 2000/mm3, ou si ces chiffres diminuent de manire significative par rapport aux chiffres antrieurs tout en restant suprieurs ces valeurs (leucocytes : 3500/mm3 , neutrophiles : 2000/mm3 ), la numration formule leucocytaire doit tre immdiatement vrifie.

      Si ces rsultats sont confirms, il convient ds lors d’effectuer une numration des leucocytes et des polynuclaires neutrophiles au rythme de deux fois par semaine au moins.

      Si le nombre absolu de leucocytes s’abaisse au-dessous de 3000/mm3, et/ou si le nombre absolu de neutrophiles est infrieur 1500/mm3, le traitement par la clozapine doit tre immdiatement interrompu. Une numration-formule leucocytaire sera effectue ds lors quotidiennement et les patients suivis attentivement pour dceler d’ventuels symptmes pseudo-grippaux ou autres signes voquant une infection.

      Si, malgr l’arrt de la clozapine, le chiffre absolu de leucocytes s’abaisse au-dessous de 1000/mm3 et/ou si le nombre absolu de neutrophiles est infrieur 500/mm3, le malade sera immdiatement transfr dans un service d’hmatologie.

      De rares cas de leucmie ont t rapports chez des patients sous clozapine sans qu’aucune relation causale n’ait t tablie.
    5. AFFECTIONS HEPATIQUES
      En cas d’affection hpatique, une surveillance rgulire de la fonction hpatique est ncessaire.
    6. FIEVRE
      Une fivre transitoire, gnralement bnigne, peut survenir, notamment pendant les trois premires semaines de traitement, parfois associe une augmentation ou une diminution du nombre des leucocytes. La constatation d’une fivre ncessite d’exclure une infection sous-jacente ou le dveloppement d’une agranulocytose. Si la fivre est leve, l’ventualit d’un syndrome malin des neuroleptiques (caractris galement par une pleur et des troubles vgtatifs) doit tre envisage.
    7. GROSSESSE
      Les tudes effectues chez l’animal n’ont pas mis en vidence d’effet tratogne de la clozapine.

      Dans l’espce humaine :

      – aucune donne n’est disponible concernant la clozapine ;

      – il n’existe aucune donne sur le retentissement crbral foetal des traitements neuroleptiques prescrits tout au long de la grossesse ;

      – chez les nouveau-ns de mres traites au long cours par de fortes posologies de neuroleptiques, ont t rarement dcrits : des signes digestifs lis aux proprits atropiniques de certains produits (distension abdominale…) ; des syndromes extrapyramidaux.

      En consquence :

      – le risque malformatif n’est pas valu pour la clozapine ; son utilisation, notamment au cours du 1er trimestre, ne doit tre envisage que si ncessaire

      – il semble raisonnable d’essayer de limiter les dures de prescription pendant la grossesse ;

      – il est souhaitable de diminuer les posologies en fin de grossesse ;

      – il semble justifi de surveiller les fonctions neurologiques et digestives du nouveau-n.
    8. ALLAITEMENT
      Les tudes chez l’animal suggrent que la clozapine est limine dans le lait maternel ; en consquence, l’allaitement est dconseill chez les mres recevant de la clozapine.
    9. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention des conducteurs de vhicules et utilisateurs de machines doit tre attire sur la possibilit de somnolence, particulirement en dbut de traitement.

    1. ANTECEDENTS D’AGRANULOCYTOSE (absolue)
    2. NEUTROPENIE (absolue)
      Antcdents.
    3. HEMOPATHIE (absolue)
      Antcdents d’hmopathies susceptibles de donner une neutropnie ou une agranulocytose.
    4. AFFECTIONS HEPATIQUES SEVERES (absolue)
    5. AFFECTIONS RENALES SEVERES (absolue)
    6. AFFECTIONS CARDIAQUES GRAVES (absolue)
    7. ANGLE IRIDOCORNEEN ETROIT (absolue)
      Risque de glaucome par fermeture de l’angle.
    8. TROUBLES URETRO-PROSTATIQUES (absolue)
      Risque de rtention urinaire.
    9. EPILEPSIE (absolue)
      Non contrle.
    10. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT (absolue)
    11. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
      Associations dconseilles :
      – Alcool : majoration par l’alcool de l’effet sdatif des neuroleptiques. L’altration de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de vhicules ou l’utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolises et de mdicaments contenant de l’alcool.
      – Carbamazpine : risque de majoration des effets hmatologiques graves.

    Traitement

    Dans les cas d’intoxication aigu, une issue fatale est constate dans 10% des cas environ, lie le plus souvent une pneumopathie d’inhalation. Cependant, chez des malades n’ayant jamais reu de la clozapine, une dose de 400 mg peut conduire un coma
    menaant le pronostic vital. Chez les jeunes enfants, l’ingestion de 50 200 mg entrane une sdation profonde ou un coma.
    Les symptmes prsents sont les suivants : somnolence, lthargie, coma, confusion, hallucinations, agitation, dlire, symptmes
    extrapyramidaux, hyperflexie, convulsions, hypersalivation, mydriase, troubles de la vue, variations de la temprature, hypotension, collapsus, tachycardie, arythmie, pneumopathie d’inhalation, dpression respiratoire ou dfaillance respiratoire,
    dyspne.
    Traitement : lavage gastrique et/ou charbon activ dans les six premires heures suivant l’ingestion.
    Traitement symptomatique en milieu spcialis pendant au moins cinq jours (possibilit de ractions retardes). Surveillance des signes
    vitaux, contrle lectrolytique et de l’quilibre acido-basique.
    L’utilisation de l’adrnaline et de ses drivs doit tre vite dans le traitement de l’hypotension (possibilit d’effet inverse de l’adrnaline).

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    La posologie doit tre adapte individuellement. Pour chaque patient, la plus petite dose efficace devra tre utilise.
    – Posologie initiale :
    Un demi comprim vingt cinq mg (douze mg cinq), le premier jour ; la posologie peut
    tre augmente par paliers quotidiens de vingt cinq cinquante mg, pour atteindre trois cents mg par jour, en quatorze vingt et un jours. La dose sera, si une action sdative rapide est recherche, augmente ultrieurement par paliers de cinquante mg
    raison d’un ou deux paliers par semaine ;
    Chez les sujets gs et les patients ayant des antcdents pileptiques, cardiovasculaires, rnaux ou hpatiques, la progression posologique sera effectue par paliers de vingt cinq mg.
    – Posologie moyenne :

    Trois cents quatre cent cinquante mg par jour, en plusieurs prises. La dose totale quotidienne peut tre rpartie de facon ingale, la prise la plus importante se situant au coucher.
    – Posologie maximale recommande :
    Six cents mg par jour, en
    sachant qu’il existe un risque accru de crises convulsives au-del de quatre cents cinquante mg par jour ; chez quelques patients, des doses encore plus leves peuvent tre ncessaires : la progression des doses respectera des paliers n’excdant pas
    cent mg et la dose de neuf cents mg par jour ne doit jamais tre dpasse ;
    – Posologie d’entretien :
    Aprs obtention d’un bnfice thrapeutique maximum, celui-ci peut tre maintenu en diminuant par paliers la posologie jusqu’ un niveau de cent
    cinquante trois cents mg par jour, en doses fractionnes. Lorsque la dose quotidienne n’excde pas deux cents mg, une prise unique vesprale est possible.
    – Arrt de traitement :
    Une rduction progressive de la posologie est recommande, sur une
    priode d’une deux semaines. En cas d’vnement indsirable grave, l’arrt sera beaucoup plus rapide.
    En cas d’arrt brutal, il est impratif de surveiller attentivement le patient (risque de rebond des symptmes psychotiques).
    – Reprise du traitement
    :
    Chez les patients dont la dernire prise de clozapine remonte plus de deux jours, le traitement sera rinstaur la dose de douze mg cinq (un demi-comprim vingt cinq mg) une deux fois le premier jour. Si cette dose est bien tolre, la
    progression posologique peut tre plus rapide que lors de la premire instauration de la clozapine.
    Si l’arrt a dur plus d’une semaine, la surveillance hmatologique doit tre reprise comme lors de l’instauration du traitement.
    – Passage d’un
    neuroleptique classique la clozapine :
    Il est recommand de ne pas associer la clozapine aux neuroleptiques classiques. Avant de dbuter un traitement par la clozapine chez un patient trait par un autre neuroleptique, il convient d’interrompre
    celui-ci en rduisant progressivement la dose sur une priode d’environ une semaine. La clozapine pourra ensuite tre introduite aprs un intervalle d’au moins vingt quatre heures suivant l’arrt du neuroleptique, selon les modalits prcdemment
    dcrites.


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