SOLUDECADRON 20 mg/5 ml solution injectable (Hp)

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SOLUDECADRON 20 mg/5 ml solution injectable (Hp)

Introduction dans BIAM : 7/4/2000
Dernière mise à jour : 3/4/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    No de Dossier d’AMM – VNL8181


    Forme : SOLUTION INJECTABLE

    Usage : adulte et enfant

    Etat : commercialis

    Laboratoire : MERCK SHARP & DOHME-CHIBRET

    Produit(s) : SOLUDECADRON

    Evénements :

    1. mise sur le march 15/2/1960
    2. octroi d’AMM 14/5/1962
    3. validation de l’AMM 18/11/1997
    4. rectificatif d’AMM 13/9/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 550621-8

    5
    ampoule(s)
    5
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrment collectivits


    Lieu de délivrance : hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    A L’ABRI DE LA CHALEUR
    A L’ABRI DE LA LUMIERE
    A L’ABRI DU GEL

    Régime : liste I

    Prix Pharmacien HT : 55 F

    Composition

    Expression de la composition : par unit de prise, soit pour :

    Volume : 5
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. CORTICOIDE VOIE GENERALE (GLUCOCORTICOIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : H02A-B02.
      Les glucocorticodes physiologiques (cortisone et hydrocortisone) sont des hormones mtaboliques essentielles.
      Les corticodes synthtiques, incluant la dexamthasone, sont utiliss principalement pour leur effet anti-inflammatoire ; fortes doses, ils diminuent la rponse immunitaire ; leur effet mtabolique et de rtention sode est moindre que celui de l’hydrocortisone.

    1. ***
      1 / Usage systmique :
      Les indications sont :
      * Celles de la corticothrapie gnrale per os, lorsque la voie parentrale est ncessaire en cas d’impossibilit de la voie orale (vomissements, aspiration gastrique, troubles de la conscience).
      * Les affections ncessitant un effet thrapeutique rapide :
      – Infectieuses :
      . fivre typhode svre, en particulier avec confusion mentale, choc, coma;
      . laryngite striduleuse (laryngite sous-glottique) chez l’enfant.
      – Neurologiques : oedme crbral des tumeurs, de l’hmatome sous-dural et oedme crbral li un abcs toxoplasme.
      – ORL : dyspne larynge.
      2/ Usage local :
      Ce sont celles de la corticothrapie locale, lorsque l’affection justifie une forte concentration locale. Toute prescription d’injection locale doit faire la part du danger infectieux, notamment du risque de favoriser une prolifration bactrienne.
      Ce mdicament est indiqu dans les affections :
      – Dermatologiques : cicatrices chlodes.
      – Rhumatologiques :
      . Injections intra-articulaires : arthrites inflammatoires, arthrose en pousse.
      . Injections priarticulaires : tendinites, bursites.
      . Injections des parties molles : talalgies, syndrome du canal carpien, maladie de Dupuytren.

    1. REACTION ANAPHYLACTIQUE (RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    2. ARYTHMIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE INTRAVEINEUSE
    3. KALIEMIE(DIMINUTION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    4. ALCALOSE METABOLIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    5. RETENTION HYDROSODEE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    6. HYPERTENSION ARTERIELLE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    7. INSUFFISANCE CARDIAQUE CONGESTIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    8. SYNDROME DE CUSHING
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE

      Iatrogne.

    9. INSUFFISANCE HYPOPHYSOSURRENALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    10. ATROPHIE CORTICOSURRENALIENNE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE

      Parfois dfinitive.

    11. TOLERANCE AU GLUCOSE(DIMINUTION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    12. DIABETE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE

      Rvlation d’un diabte latent.

    13. RETARD DE CROISSANCE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
      ENFANT
    14. IRREGULARITE MENSTRUELLE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    15. FAIBLESSE MUSCULAIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE

      Augmentation du catabolisme protidique.

    16. ATROPHIE MUSCULAIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
      VOIE LOCALE
    17. OSTEOPOROSE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    18. FRACTURE PATHOLOGIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    19. TASSEMENT VERTEBRAL
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    20. OSTEONECROSE ASEPTIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE

      Des ttes fmorales.

    21. ULCERE GASTRODUODENAL
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    22. ULCERE DE L’INTESTIN GRELE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    23. PERFORATION DIGESTIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    24. HEMORRAGIE DIGESTIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    25. PANCREATITE AIGUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
      ENFANT
    26. ACNE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    27. PURPURA
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    28. ECCHYMOSE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    29. HYPERTRICHOSE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    30. RETARD DE CICATRISATION
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    31. EUPHORIE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    32. INSOMNIE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    33. EXCITATION PSYCHOMOTRICE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    34. ACCES MANIAQUE (RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    35. CONFUSION ONIRIQUE (RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    36. CRISE CONVULSIVE (RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    37. DEPRESSION
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
      ARRET DU TRAITEMENT
    38. GLAUCOME
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    39. CATARACTE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
    40. HYPERCORTICISME
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE
      INJECTIONS FREQUENTES
      FORTES DOSES

      Les effets indsirables systmiques des glucocorticodes ont un faible risque de survenue aprs administration locale, compte tenu des faibles taux sanguins, mais le risque d’hypercorticisme (rtention hydrosode, dsquilibre d’un diabte et d’une hypertension artrielle…) augmente avec la dose et la frquence des injections.

    41. INFECTION LOCALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE

      Risque d’infection locale (selon le site d’injection) : arthrites…

    42. ATROPHIE SOUS-CUTANEE AU POINT D’INJECTION
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE
    43. RUPTURE DE TENDON
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE

      Risque de rupture tendineuse en cas d’injection dans les tendons.

    44. ARTHRITE MICROCRISTALLINE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE

      De survenue prcoce.

    45. CALCIFICATION LIGAMENTAIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE
    46. REACTION ALLERGIQUE LOCALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE
      VOIE PARENTERALE

      – Effet d l’usage systmique.
      – En raison de la prsence de parahydroxybenzoates, risque de ractions allergiques, y compris urticaire, eczma de contact.

    47. REACTION ALLERGIQUE GENERALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE
      VOIE PARENTERALE

      – Effet d l’usage local.
      – En raison de la prsence de sulfites, risque de ractions allergiques, y compris ractions anaphylactiques et bronchospasmes.

    48. CEPHALEE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE

      Elle disparat habituellement en un jour ou deux.

    49. BOUFFEE VASOMOTRICE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION LOCALE
    50. HOQUET
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
      INJECTION LOCALE
    51. MYOCARDIOPATHIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE PARENTERALE
      INJECTION LOCALE
      ENFANT

      Hypertrophique chez les enfants de faible poids de naissance.

    1. PRESENCE DE SULFITES
      Ce produit contient des sulfites qui peuvent ventuellement entraner ou aggraver des ractions de type anaphylactique.
    2. SPORTIFS
      L’attention est attire chez les sportifs, cette spcialit contenant un principe actif pouvant induire une raction positive des tests pratiqus lors des contrles antidopage.
    3. ANTECEDENTS ALLERGIQUES
      – Usage systmique :
      De rares cas de ractions pseudoanaphylactiques tant survenus chez des patients traits par une corticothrapie parentrale, une attention particulire sera porte avant toute administration chez les sujets prsentant un terrain atopique.
    4. ANTECEDENTS ULCEREUX
      – Usage systmique :
      En cas d’ulcre gastroduodnal, la corticothrapie n’est pas contre-indique si un traitement antiulcreux est associ.
      En cas d’antcdents ulcreux, la corticothrapie peut tre prescrite, avec une surveillance clinique et au besoin aprs fibroscopie.
    5. INFECTION
      – Toutes voies:
      La corticothrapie peut favoriser la survenue de diverses complications infectieuses dues notamment des bactries, des levures et des parasites. La survenue d’une anguillulose maligne est un risque important. Tous les sujets venant d’une zone d’endmie (rgions tropicale, subtropicale, sud de l’Europe) doivent avoir un examen parasitologique des selles et un traitement radicateur systmatique avant la corticothrapie.
      Les signes volutifs d’une infection peuvent tre masqus par la corticothrapie.
      Il importe, avant la mise en route du traitement, d’carter toute possibilit de foyer viscral, notamment tuberculeux, et de surveiller, en cours de traitement, l’apparition de pathologies infectieuses.
      En cas de tuberculose ancienne, un traitement prophylactique antituberculeux est ncessaire, s’il existe des squelles radiologiques importantes et si l’on ne peut s’assurer qu’un traitement bien conduit de 6 mois par la rifampicine a t donn.
    6. SURVEILLANCE MEDICALE
      – Usage systmique :
      L’emploi des corticodes ncessite une surveillance particulirement adapte, notamment chez les sujets gs et en cas de colites ulcreuses (risque de perforation), diverticulites, anastomoses intestinales rcentes, insuffisance rnale, insuffisance hpatique, ostoporose, myasthnie grave.
    7. RELAIS THERAPEUTIQUE
      – Usage systmique :
      Un traitement par voie orale sera institu en relais ds que possible.
    8. RETENTION HYDROSODEE
      – Usage systmique :
      Une rtention hydrosode est habituelle, responsable en partie d’une lvation ventuelle de la pression artrielle. L’apport sod sera rduit.
    9. APPORT POTASSIQUE
      – Usage systmique :
      La supplmentation potassique est justifie en cas de risque de troubles du rythme ou d’associations un traitement hypokalimiant.
    10. DIABETE
      – Toutes voies :
      Lorsque la corticothrapie est indispensable, le diabte n’est pas une contre-indication, mais le traitement peut entraner son dsquilibre. Il convient de rvaluer sa prise en charge.
    11. HYPERTENSION ARTERIELLE
      – Toutes voies :
      Lorsque la corticothrapie est indispensable, l’hypertension artrielle n’est pas une contre-indication, mais le traitement peut entraner son dsquilibre. Il convient de rvaluer sa prise en charge.
    12. CONTACT A EVITER
      – Usage systmique :
      Les patients doivent viter le contact avec des sujets atteints de varicelle ou de rougeole.
    13. ETAT PSYCHOTIQUE
      – Usage local :
      L’injection locale de corticodes peut dsquilibrer un tat psychotique.
    14. TRAITEMENTS REPETES
      – Usage local :
      Des injections multiples (plusieurs localisations) ou rptes court terme peuvent entraner des symptmes cliniques et biologiques d’hypercorticisme.
    15. HEMODIALYSE
      L’administration devra tre prudente chez les patients risque lev d’infection, en particulier les hmodialyss.
    16. PORT DE PROTHESE
      L’administration devra tre prudente chez les patients risque lev d’infection, en particulier les porteurs de prothse.
    17. ASEPSIE RIGOUREUSE
      – Usage local :
      Il est ncessaire d’observer une asepsie rigoureuse.
    18. INJECTION INTRATENDINEUSE
      Ne pas injecter.
    19. ALLAITEMENT
      En cas de traitement doses importantes et de faon chronique, l’allaitement est dconseill.

    1. ETAT INFECTIEUX
      Infection locale ou gnrale, ou suspicion d’infection.
    2. HEPATITE
      Usage systmique.
    3. HERPES
      Usage systmique.
    4. VARICELLE
      Usage systmique.
    5. ZONA
      Usage systmique.
    6. ETAT PSYCHOTIQUE
      Non contrl encore par un traitement : usage systmique.
    7. VACCINATION
      Vaccins vivants : usage systmique.
    8. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    9. TROUBLES DE LA COAGULATION
    10. TRAITEMENT ANTICOAGULANT
      En cours, en cas d’injection intramusculaire.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE

    – 2 – INTRAMUSCULAIRE

    – 3 – INTRAARTICULAIRE

    – 4 – INTRALESIONNELLE

    – 5 – INTRABURSALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    Cette spcialit n’est pas adapte l’administration par voie inhale par nbulisateur.
    Equivalence anti-inflammatoire (quipotence) pour 5 mg de prednisone : 0.75 mg de dexamthasone.
    1 / Usage systmique :
    Injections IV ou IM.
    La
    posologie est variable en fonction du diagnostic, de la svrit de l’affection, du pronostic, de la rponse du patient et de la tolrance au traitement.
    La posologie initiale peut varier de 2 20 mg/j, selon le type de maladie traiter.
    L’ventail de
    posologie par voie parentrale est habituellement 1/3 1/2 des doses orales administres toutes les 12 heures.
    Cette solution peut tre dilue dans une solution de chlorure de sodium ou de glucose.
    Lorsqu’il est associ une solution perfuser, le
    mlange doit tre utilis dans les 24 heures.
    * En cas d’oedme crbral :
    D’abord 10 mg (2.5 ml) en IV puis 4 mg (1 ml) en IM, toutes les 6 heures jusqu’ rgression de la symptomatologie de l’oedme crbral. On obtient habituellement un rsultat
    thrapeutique en 12 24 heures.
    Des doses leves sont recommandes pour dbuter un traitement intensif court terme dans le cas d’un oedme crbral aigu mettant en danger la vie du malade.
    Schma posologique recommand fortes doses dans l’oedme
    crbral, par voie IV :
    – Adultes : posologie initiale : 50 mg, J1 J3 : 8 mg/2 h, J4 : 4 mg/2 h, J5 J8 : 4 mg/4 h, ensuite diminuer de 4 mg/jour.
    – Enfants >35 kg : posologie initiale : 25 mg, J1 J3 : 4 mg/2 h, J4 : 4 mg/4 h, J5 J8 : 4 mg/6 h,
    ensuite diminuer de 2 mg/jour.
    – Enfants <35 kg : posologie initiale : 20 mg, J1 J3 : 4 mg/3 h, J4 : 4 mg/6 h, J5 J8 : 2 mg/6 h, ensuite diminuer de 1 mg/jour.
    2 / Usage local :
    A titre indicatif, exemples de doses uniques habituellement utilises
    :
    – Bourses sreuses : 0.5 0.75 ml ou 2 3 mg,
    – Gaines tendineuses : 0.1 0.25 ml ou 0.4 1 mg,
    – Infiltration des parties molles : 0.5 1.52 ml ou 2 6 mg,
    – Petites articulations (interphalangiennes) : 0.2 0.25 ml ou 0.8 1 mg.
    .
    Grossesse
    :
    Chez l’animal, l’exprimentation met en vidence un effet tratogne variable selon les espces.
    Dans l’espce humaine, il existe un passage transplacentaire. Cependant, les tudes pidmiologiques n’ont dcel aucun risque malformatif li la prise
    de corticodes lors du premier trimestre.
    Lors de maladies chroniques ncessitant un traitement tout au long de la grossesse, un lger retard de croissance intra-utrin est possible. Une insuffisance surrnale nonatale a t exceptionnellement
    observe aprs corticothrapie doses leves.
    Il est justifi d’observer une priode de surveillance clinique (poids, diurse) et biologique du nouveau-n.
    En consquence, les corticodes peuvent tre prescrits pendant la grossesse, si besoin.


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