PROZAC 20 mg comprimés dispersibles

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PROZAC 20 mg comprimés dispersibles

Introduction dans BIAM : 12/1/2001
Dernière mise à jour : 8/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES DISPERSIBLES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : LILLY FRANCE

    Produit(s) : PROZAC

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 1/4/1998
    2. publication JO de l’AMM 22/12/1998
    3. rectificatif d’AMM 3/5/2000
    4. mise sur le marché 28/12/2000

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 345053-1

    2
    plaquette(s) thermoformée(s)
    14
    unité(s)
    PVC/PE/PVDC/alu

    Evénements :

    1. agrément collectivités 20/10/2000
    2. inscription SS 20/10/2000


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 128.35 F

    Prix public TTC : 165.50 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 345054-8

    7
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/PE/PVDC/alu

    Evénements :

    1. agrément collectivités 20/10/2000


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIDEPRESSEUR (INHIB. SEL. DU RECAPTAGE DE SEROTONINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N06A-B03.
      La fluoxétine est un inhibiteur de la recapture de la sérotonine (5-HT). La fluoxétine est pratiquement dépourvue d’effet direct sur la recapture de la noradrénaline (NA), de la dopamine (DA) et de l’acide gamma – aminobutyrique (GABA).
      Contrairement à la plupart des antidépresseurs tricycliques, la fluoxétine n’a pratiquement pas d’affinité pour les récepteurs alpha-adrénergiques, histaminergiques H, cholinergiques (muscariniques). Par ailleurs, la fluoxétine n’a également pratiquement pas d’affinité pour les récepteurs dopaminergiques D et D, alpha- et beta-adrénergiques, benzodiazépiniques et opioïdes. Cette sélectivité de la fluoxétine pourrait expliquer la faible incidence de certains effets indésirables, notamment anticholinergiques, sédatifs ou à type d’hypotension orthostatique.
      Tout comme les antidépresseurs tricycliques, les antidépresseurs sérotoninergiques et les IMAO, la fluoxétine diminue la quantité de sommeil paradoxal.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Absorption :
      La biodisponibilité est élevée. Le pic de concentrations plasmatiques est atteint environ 6 heures après la première administration. La prise alimentaire ralentit la vitesse d’absorption mais ne retentit pas sur la quantité biodisponible : le médicament peut donc être administré pendant ou en dehors des repas.
      Distribution :
      La liaison aux protéines plasmatiques est de 94%. Le volume de distribution est important : il est compris entre 20 et 40 l/kg, aussi bien pour la fluoxétine que pour la norfluoxétine.
      Biotransformation :
      L’un des métabolites actifs connus de la fluoxétine est la norfluoxétine (déméthylfluoxétine).
      C’est également un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine.
      Elimination :
      Après administrations répétées, la valeur moyenne de la demi-vie d’élimination de la fluoxétine atteint 4 jours (elle varie de 2 à 7 jours). La demi-vie moyenne de la norfluoxétine est de 7 jours (elle varie entre 4 et 15 jours).
      Ces longues demi-vies d’élimination entraînent une persistance du produit dans l’organisme pendant 5 à 6 semaines en moyenne après l’arrêt du traitement. Ceci peut avoir d’éventuelles conséquences lorsque l’arrêt du traitement s’impose, ou encore en cas de prescription, après l’arrêt de la fluoxétine, de médicaments pour lesquels l’association est contre-indiquée ou déconseillée.
      L’élimination de la fluoxétine et de la norfluoxétine se fait aux 2/3 environ par le rein.
      Populations à risque :
      – Sujet âgé : les paramètres pharmacocinétiques ne sont pas modifiés chez le sujet âgé en bonne santé comparativement au sujet jeune.
      – Insuffisant hépatique : en cas d’insuffisance hépatique, secondaire à une cirrhose alcoolique, les demi-vies de la fluoxétine et de la norfluoxétine sont augmentées : elles peuvent atteindre respectivement 7 à 12 jours. En conséquence, une réduction de la posologie doit être envisagée.
      – Insuffisant rénal : après administration unique de fluoxétine chez les patients ayant une insuffisance rénale légère, modérée ou totale (avec anurie), les paramètres pharmacocinétiques ne sont pas modifiés comparativement au sujet sain. Toutefois, après administrations répétées, une augmentation du plateau des concentrations plasmatiques à l’équilibre peut être observée.
      * Données de sécurité précliniques :
      Les études de toxicologie chronique ont montré l’induction d’une phospholipidose réversible. Il en est de même pour les produits cationiques amphophiles (fenfluramine, amiodarone, imipramine…). Bien que l’existence d’un tel effet en clinique ne soit pas établie, il conviendrait d’en tenir compte devant la persistance de troubles respiratoires éventuels.

    1. ***
      – Episodes dépressifs majeurs (c’est-à-dire caractérisés).
      – Troubles obsessionnels compulsifs.
    2. DEPRESSION
    3. TROUBLE OBSESSIONNEL COMPULSIF

    1. COMMENTAIRE GENERAL
      Les effets indésirables les plus fréquents sont surtout notés durant la première, voire les deux premières semaines du traitement. La plupart s’estompent par la suite, parallèlement à l’amélioration de l’épisode dépressif.
      Ils ont été retrouvés, en monothérapie ou lors d’associations avec d’autres psychotropes.
    2. NERVOSITE
    3. SOMNOLENCE
    4. CEPHALEE
    5. INSOMNIE
    6. TREMBLEMENT
    7. CONFUSION MENTALE
      Depuis la mise sur le marché de Prozac, il a été rapporté spontanément ce type d’effet indésirable survenu de façon concomitante à la prise de fluoxétine.
    8. SYNDROME SEROTONINERGIQUE (TRES RARE)
      en association avec :
      1 – Les IMAO non sélectifs :
      risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique [1] . Respecter un délai de deux semaines entre l’arrêt de l’IMAO et le début du traitement par la fluoxétine, et de cinq semaines entre l’arrêt de la fluoxétine et le début du traitement par l’IMAO.
      [1] Syndrome sérotoninergique : certains surdosages ou certains médicaments (lithium) peuvent donner lieu à un syndrome sérotoninergique justifiant l’arrêt immédiat du traitement. Le syndrome sérotoninergique se manifeste par l’apparition (éventuellement brutale), simultanée ou séquentielle, d’un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l’hospitalisation, voire entraîner le décès.
      Ces symptômes peuvent être d’ordre :
      – psychique (agitation, confusion, hypomanie, éventuellement coma),
      – moteur (myoclonie, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
      – végétatif (hypo ou hypertension, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs),
      – digestif (diarrhée).
      Le strict respect des doses préconisées constitue un facteur essentiel dans la prévention de l’apparition de ce syndrome.
      – association aux IMAO sélectifs B (sélégiline).
      Contre-indications relatives :
      2 – Les IMAO sélectifs A :
      (moclobémide, toloxatone) : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique (cf supra). Si l’association s’avère réellement nécessaire, surveillance clinique très étroite. Débuter l’association aux posologies minimales recommandées.
    9. DYSKINESIE BUCCOFACIALE
      apparition ou aggravation (en général avec des médicaments les induisant).
    10. RISQUE SUICIDAIRE
      Comme lors de tout traitement par antidépresseur, le risque suicidaire chez les patients déprimés persiste en début de traitement, la levée de l’inhibition psychomotrice pouvant précéder l’action antidépressive proprement dite.
    11. SYNDROME EXTRAPYRAMIDAL
    12. AKATHISIE
    13. NAUSEE
    14. DIARRHEE
    15. SECHERESSE DE LA BOUCHE
    16. ERUPTION MACULOPAPULEUSE
    17. URTICAIRE
    18. OEDEME ANGIONEUROTIQUE (EXCEPTIONNEL)
      urticaires exceptionnellement accompagnés d’oedèmes de Quincke.
    19. VASCULARITE (RARE)
    20. ERYTHEME POLYMORPHE (RARE)
    21. SYNDROME DE LYELL (EXCEPTIONNEL)
    22. ERUPTION CUTANEE
      quelques cas d’éruption avec fièvre et arthralgies évoquant une maladie sérique.
    23. FIEVRE
      quelques cas d’éruption avec fièvre et arthralgies évoquant une maladie sérique.
    24. DOULEUR ARTICULAIRE
      quelques cas d’éruption avec fièvre et arthralgies évoquant une maladie sérique.
    25. NATREMIE(DIMINUTION)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJETS AGES
      TRAITEMENT DIURETIQUE
      HYPOVOLEMIE

      Des cas d’hyponatrémie, dont certains avec des concentrations inférieures à 100 mmol/l, ont été rapportés. Cette hyponatrémie est réversible à l’arrêt du traitement par la fluoxétine et peut être révélée par un syndrome confusionnel voire des convulsions.
      La plupart des cas ont été décrits chez des patients âgés ou prenant des diurétiques, ou encore, hypovolémiques.

    26. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
    27. HEPATITE CYTOLYTIQUE (EXCEPTIONNEL)
    28. HEPATITE MIXTE (EXCEPTIONNEL)
    29. TROUBLE SEXUEL
    30. ECCHYMOSE (RARE)
    31. HEMORRAGIE GENITALE (RARE)
    32. HEMORRAGIE DIGESTIVE (RARE)
    33. HEMORRAGIE (RARE)
      Cutanéo-muqueuse.
    34. TOUX
    35. DYSPNEE
    36. PNEUMONIE (EXCEPTIONNEL)
      pneumopathies d’hypersensibilité avec ou sans hyperéosinophilie.
    37. BRADYCARDIE SINUSALE
    38. PROLACTINEMIE(AUGMENTATION)
    39. GALACTORRHEE
    40. LEVEE DE L’INHIBITION PSYCHOMOTRICE
      avec risque suicidaire.
    41. ACCES MANIAQUE
      Inversion de l’humeur avec apparition d’épisodes maniaques.
    42. DELIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      SUJET PSYCHOTIQUE

      Réactivation d’un délire chez les sujets psychotiques.

    43. ANXIETE
      manifestations paroxystiques d’angoisse.

    1. MISE EN GARDE
      – risque suicidaire :

      Comme lors de tout traitement par antidépresseur, le risque suicidaire chez les patients déprimés persiste en début de traitement, la levée de l’inhibition psychomotrice pouvant précéder l’action antidépressive proprement dite.
    2. DEBUT DE TRAITEMENT
      Insomnie ou nervosité en début de traitement peuvent justifier une diminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.
    3. ACCES MANIAQUE
      En cas de virage maniaque franc, le traitement par l’opipramol sera interrompu et, le plus souvent, un neuroleptique sédatif prescrit.
    4. ASSOCIATION A L’ALCOOL
      Bien qu’aucune interaction nette n’ait été mise en évidence avec l’alcool, la consommation en est déconseillée, comme avec tout médicament psychotrope.
    5. EPILEPSIE
      Chez les patients épileptiques ou ayant des antécédents d’épilepsie, il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique. La survenue de crises convulsives impose l’arrêt du traitement.

      Par ailleurs, l’association de fluoxétine avec une sismothérapie n’est pas recommandée, en l’absence d’études établissant l’innocuité d’une telle association. Quelques cas de prolongation de crises convulsives ont été rapportés.
    6. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      En cas d’insuffisance hépatique, le métabolisme de la fluoxétine et de la norfluoxétine peut être ralenti, la posologie devra être réduite de moitié.
    7. HYPONATREMIE
      La possibilité de survenue d’une hyponatrémie, a fortiori lors de la co-prescription avec des médicaments suceptibles d’entraîner cette anomalie électrolytique, doit être connue, notamment chez le sujet âgé, surtout s’il est dénutri, et le cirrhotique.
    8. CIRRHOSE
      La possibilité de survenue d’une hyponatrémie, a fortiori lors de la co-prescription avec des médicaments suceptibles d’entraîner cette anomalie électrolytique, doit être connue, notamment chez le sujet âgé, surtout s’il est dénutri, et le cirrhotique.
    9. SUJET AGE
      La possibilité de survenue d’une hyponatrémie, a fortiori lors de la co-prescription avec des médicaments suceptibles d’entraîner cette anomalie électrolytique, doit être connue, notamment chez le sujet âgé, surtout s’il est dénutri, et le cirrhotique.
    10. DIABETE
      La fluoxétine peut modifier l’équilibre glycémique et favoriser la survenue d’hypoglycémies, en particulier chez les diabétiques, ce qui nécessite d’adapter le traitement hypoglycémiant à l’instauration ou à l’arrêt du traitement par la fluoxétine.
    11. SURVEILLANCE PARTICULIERE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TROUBLES DE L’HEMOSTASE (ANTECEDENTS)
      TRAITEMENT ANTICOAGULANT ASSOCIE
      ASSOCIATION AUX AINS

      Des cas d’hémorragies, parfois graves, ont été rapportés lors de l’utilisation d’inhibiteurs de la recapture de la sérotonine. Une attention particulière est recommandée chez les patients ayant des antécédents d’anomalies de l’hémostase et chez les patients traités simultanément par des anticoagulants oraux, par des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire tels que les AINS et l’aspirine ou par d’autres médicaments susceptibles d’augmenter le risque de saignement.

    12. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      La fluoxétine pouvant modifier l’attention et les capacités de réaction, il convient de prévenir de ce risque les conducteurs de véhicule et les utilisateurs de machines.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
    2. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
      En l’absence d’études.
    3. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Associations contre-indiquées :
      · IMAO non sélectifs :
      Risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique [1]. Respecter un délai de 2 semaines entre l’arrêt de l’IMAO et le début du traitement par la fluoxétine, et de 5 semaines entre l’arrêt de la fluoxétine et le début du traitement par l’IMAO.
      1-Syndrome sérotoninergique : certains surdosages ou certains médicaments (lithium) peuvent donner lieu à un syndrome sérotoninergique justifiant l’arrêt immédiat du traitement. Le syndrome sérotoninergique se manifeste par l’apparition (éventuellement brutale) simultanée ou séquentielle, d’un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l’hospitalisation, voire entraîner le décès. Ces symptômes peuvent être d’ordre :
      – psychique (agitation, confusion, hypomanie, éventuellement coma),
      – moteur (myoclonie, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
      – végétatif (hypo ou hypertension, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs),
      – digestif (diarrhée).
      Le strict respect des doses préconisées constitue un facteur essentiel dans la prévention de l’apparition de ce syndrome.
      · Pimozide : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
      Associations déconseillées :
      · IMAO sélectif A (moclobémide, toloxatone) : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique (cf supra). Si l’association s’avère réellement nécessaire, surveillance clinique très étroite. Débuter l’association aux posologies minimales recommandées.
    4. ALLAITEMENT (relative)
      Bien que le passage de la fluoxétine dans le lait maternel soit faible, le traitement par la fluoxétine est déconseillé pendant l’allaitement.

    Signes de l’intoxication :

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. EXCITATION PSYCHOMOTRICE

    Traitement

    Il n’existe pas d’antidote spécifique de la fluoxétine.
    Les principaux symptômes retrouvés sont : nausées, vomissements, agitation.
    Le traitement est symptomatique, avec lavage gastrique, même tardif, après ingestion orale, éventuellement complété par
    l’administration répétée de charbon activé. La surveillance portera essentiellement sur les fonctions cardio-vasculaire, respiratoire et neurologique.
    Compte tenu de l’important volume de distribution du médicament, les techniques d’épuration
    extra-rénale, de diurèse osmotique, ou d’exsanguino-transfusion sont probablement sans bénéfice pour le patient.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    A/ Episodes dépressifs majeurs :
    * La posologie recommandée est de 20 à 60 mg par jour.
    – Cette posologie sera éventuellement réévaluée après trois semaines de traitement effectif à dose efficace. Ainsi, la plupart des patients
    déprimés répondent à la dose de 20 mg par jour, mais 40 mg, voire 60 mg, peuvent être nécessaires.
    – Chez certains patients qui ne tolèrent pas 20 mg, une posologie inférieure, 10 mg, voire 5 mg, peut s’avérer efficace et mieux tolérée. Le médicament
    sera administré un jour sur deux, ou la forme solution, plus appropriée pour ces doses, sera utilisée.
    * Durée de traitement :
    – Le traitement par antidépresseur est symptomatique. Le traitement d’un épisode est de plusieurs mois (habituellement de
    l’ordre de 6 mois) afin de prévenir les risques de rechute de l’épisode dépressif.
    * Traitements psychotropes associés :
    L’adjonction d’un traitement sédatif ou anxiolytique peut être utile en début de traitement, afin de couvrir la survenue ou
    l’aggravation de manifestations d’angoisse. Toutefois, les anxiolytiques ne protègent pas forcément de la levée de l’inhibition.
    B/ Troubles obsessionnels compulsifs :
    La posologie recommandée est de 20 mg par jour.
    Si elle est insuffisante, augmenter à
    40 mg par jour après 15 jours de traitement, puis, s’il y a lieu, jusqu’à 60 mg par jour.
    .
    Posologies particulières :
    Insuffisance hépatique :
    La posologie doit être réduite de moitié, par exemple en alternant les prises un jour sur deux.
    .
    Mode
    d’emploi :
    Quelle que soit l’indication :
    Les caractéristiques pharmacocinétiques de ce médicament autorisent une seule prise journalière, pendant les repas ou à distance de ceux-ci. La prise peut avoir lieu le matin comme le soir.
    Les comprimés sont à
    avaler tels quels, de préférence avec un demi-verre d’eau ou dissous dans un demi-verre d’eau.


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