CEFTRIAXONE MERCK 2 g poudre pour solution injectable IV (Hp)

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CEFTRIAXONE MERCK 2 g poudre pour solution injectable IV (Hp)

Introduction dans BIAM : 17/4/2001
Dernière mise à jour : 17/4/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    No de Dossier d’AMM – NL 25365


    Forme : POUDRE POUR SOLUTION INJECTABLE

    Usage : enfant et nourrisson

    Etat : commercialis

    Laboratoire : MERCK GENERIQUES

    Produit(s) : CEFTRIAXONE MERCK

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 7/9/2000
    2. publication JO de l’AMM 4/2/2001
    3. rectificatif d’AMM 20/2/2001
    4. mise sur le march 15/4/2001

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 356162-1

    5
    flacon(s) de poudre
    15
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrment collectivits 23/2/2001


    Lieu de délivrance : hpitaux

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 8
    heure(s)

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    • CEFTRIAXONE 2 g
      Quantit correspondant 2386 mg de sel sodique de ceftriaxone.

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (CEPHALOSPORINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01D-A13.
      La ceftriaxone est une cphalosporine semi-synthtique trs large spectre d’action et rsistante aux bta-lactamases.
      Spectre d’activit antibactrienne :
      Les concentrations critiques sparent les souches sensibles des souches de sensibilit intermdiaire et ces dernires, des rsistantes :
      S< ou gale 4 mg/1 et R> 32mg/l
      CMI pneumocoque : S< ou gale 0.5 mg/1 et R> 2 mg/l (voie parentrale)
      La prvalence de la rsistance acquise peut varier en fonction de la gographie et du temps pour certaines espces. Il est donc utile de disposer dinformations sur la prvalence de la rsistance locale, surtout pour le traitement dinfections svres.
      Ces donnes ne peuvent apporter quune orientation sur les probabilits de la sensibilit dune souche bactrienne cet antibiotique.
      Lorsque la variabilit de la prvalence de la rsistance en France est connue pour une espce bactrienne, elle est indique dans le tableau ci- dessous.
      Frquence de rsistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrmes)
      Espces sensibles :
      Arobies Gram positif :
      Staphylococcus mti-S
      Streptococcus
      Streptococcus pneumoniae ( 15-35%)
      Arobies Gram ngatif :
      Borrelia burdorferi
      Branhamella catarrhalis
      Citrobacter freundii (20-30%)
      Citrobacter koseri
      Enterobacter (20-40%)
      Escherichia coli
      Haemophilus influenzae
      Klebsiella (0-20%)
      Morganella morganii
      Neisseria y compris Neisseria meningitidis
      et Neisseria gonorrhoeae
      Proteus mirabilis
      Proteus multocida
      Proteus vulgaris
      Providencia
      Salmonella
      Serratia (20-30%)
      Shigella
      Yersinia
      Anarobies :
      Clostridium perfiingens
      Fusobacterium (15-20%)
      Peptostreptococcus
      Prevotella (15-20%)
      Espces rsistantes :
      Arobies Gram positif :
      Entrocoques
      Listeria
      Staphylococcus mti-R *
      Arobies Gram ngatif :
      Acinetobacter baumannii
      Burkholderia cepacia
      Pseudomonas aeruginosa
      Stenotrophomonas maltophilia
      Anarobies :
      Bacterodes fragilis
      Clostridium difficile
      * La frquence de rsistance la mticilline est environ de 30 50 % de lensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
      * Proprits pharmacocintiques :
      Distribution :
      Aprs perfusion intraveineuse de 30 minutes d’une dose unique de 1 g, la concentration plasmatique maximale est en moyenne de 168 mg/l. Aprs administration IM de la mme dose, la concentration maximale est atteinte en 2 3 h et est approximativement de 80 mg/l.
      Les voies IM, IV sont bioquivalentes (aires sous la courbe similaires). La ceftriaxone administre par voie intramusculaire a donc une biodisponibilit absolue voisine de 100%.
      Le volume de distribution de la ceftriaxone est compris entre 7 et 12 litres. La diffusion de la ceftriaxone est bonne dans le liquide interstitiel, les tissus et les liquides organiques (notamment le LCR, la bile, l’os, les scrtions bronchiques, les foyers infectieux de la sphre ORL).
      Liaison aux protines :
      La liaison de la ceftriaxone aux protines plasmatiques (albumine) est rversible et saturable. Elle varie de 80 95% dans la gamme des concentrations thrapeutiques. Du fait d’un plus faible taux d’albumine, la proportion de ceftriaxone libre dans le liquide interstitiel est donc plus leve que dans le plasma.
      Biotransformation :
      La ceftriaxone est trs faiblement mtabolise. Seule la flore intestinale la transforme en mtabolites inactifs.
      Elimination :
      – L’limination de la ceftriaxone se fait par voie urinaire et biliaire.
      – La clairance plasmatique totale est comprise entre 10 et 22 ml/min.
      – La clairance rnale est comprise entre 5 et 12 ml/min.
      – 50 60% de la ceftriaxone sont excrts sous forme inchange dans l’urine alors que 40 50% sont limins dans la bile.
      – La demi-vie d’limination chez l’adulte est d’environ 8 heures.
      Pharmacocintiques dans les conditions cliniques particulires :
      – Chez le nouveau-n, la quantit de ceftriaxone retrouve dans l’urine correspond environ 70% de la dose administre.
      – Chez les nouveau-ns de moins de 8 jours, la demi-vie d’limination moyenne est gnralement 2 3 fois suprieure celle trouve chez le jeune adulte ; chez le nourrisson de 3 12 mois, elle est raccourcie.
      – Chez l’enfant et le nourrisson, aprs injection IM unique de 50 mg/kg, la concentration plasmatique totale en ceftriaxone est maximale aprs 5.4 heures (192 mg/l +/- 135).
      – Chez l’enfant et le nourrisson, aprs injection IM, la diffusion dans l’oreille moyenne est bonne avec des taux suprieurs la CMI des principales bactries responsables d’otite moyenne aigu, pendant au moins 48 heures. Aprs une injection unique de 50 mg/kg, la concentration totale en ceftriaxone dans le liquide d’oreille moyenne est d’environ 5 mg/l 1.5 heure, de 33 mg/l +/- 20 la 15 me heure ; elle se maintient en plateau la 24 me heure (35 mg/l +/- 12) et est encore de 19 mg/l +/- 7 aprs 48 heures.
      – Chez les patients prsentant une insuffisance rnale ou hpatique, la pharmacocintique de la ceftriaxone n’est que peu modifie et la demi-vie d’limination n’est que lgrement augmente. Si seule la fonction rnale est touche, l’limination biliaire de la ceftriaxone est augmente, si seule la fonction hpatique est touche, l’limination rnale est augmente.

    1. ***
      * En pratique hospitalire :
      – Infections svres dues aux germes sensibles la ceftriaxone, y compris les mningites, l’exclusion de celles Listeria monocytogenes,
      – Maladie de Lyme dissmine lors de :
      . la phase prcoce avec mningite (stade secondaire),
      . la phase tardive avec manifestations systmiques neurologiques et articulaires (stade tertiaire).
      * En pratique de ville :
      Les indications sont limites :
      – la poursuite de traitements dbuts l’hpital,
      – aux infections respiratoires basses, dans les formes svres, en particulier chez les sujets risques (veillard, alcoolique, immunodprim, tabagique et insuffisant respiratoire…) notamment :
      . pour les pneumopathies bactriennes (pneumocoque, prsumes bacilles Gram ngatif),
      . pour les pousses aigus de bronchite chronique, gnralement en deuxime intention.
      – aux infections urinaires svres et/ou germes rsistants :
      . pylonphrites aigus,
      . infections urinaires basses associes un syndrome septique,
      . pousses aigus de prostatites chroniques.
      Il est ncessaire que le diagnostic soit port avec certitude et de s’assurer de l’absence de ncessit d’un traitement chirurgical.
      – l’antibiothrapie d’urgence avant hospitalisation en cas de suspicion clinique de purpura fulminans, c’est dire devant un tat fbrile associ un purpura comportant au moins un lmnt ncrotique ou ecchymotique, et ce quelque soit l’tat hmodynamique du patient.
      Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation approprie des antibactriens.
    2. INFECTION SEVERE A GERMES SENSIBLES
    3. MALADIE DE LYME
    4. PNEUMONIE BACTERIENNE
    5. INFECTION BRONCHOPULMONAIRE
    6. PYELONEPHRITE
    7. INFECTION URINAIRE
    8. PROSTATITE
    9. PURPURA FULMINANS

    1. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    2. URTICAIRE
    3. ERYTHEME POLYMORPHE
    4. SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON
    5. SYNDROME DE LYELL
    6. FIEVRE
      Manifestation gnrale d’hypersensibilit.
    7. REACTION ANAPHYLACTIQUE
    8. STOMATITE
    9. DIARRHEE
    10. NAUSEE
    11. VOMISSEMENT
    12. COLITE PSEUDOMEMBRANEUSE (RARE)
    13. LITHIASE BILIAIRE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ENFANT

      Manifestations hpatobiliaires : des cas d’images chographiques de sdimentations vsiculaires (prcipitations de sels de calcium de ceftriaxone dans la vsicule biliaire) ont t signals, particulirement chez l’enfant. Elles s’associent ou non une symptomatologie clinique. Le traitement doit tre interrompu afin de permettre la rgression des signes.

    14. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (RARE)
    15. PANCREATITE (EXCEPTIONNEL)
      Exceptionnellement des cas de pancratites ont t rapports ; l’arrt du traitement entrane la rgression des signes.
    16. EOSINOPHILIE
      Modre.
    17. LEUCOPENIE
    18. NEUTROPENIE
    19. THROMBOPENIE
    20. ANEMIE HEMOLYTIQUE (RARE)
    21. AGRANULOCYTOSE
      Cas isols.
    22. TROUBLE DE LA COAGULATION (TRES RARE)
    23. TROUBLE RENAL
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ASSOCIATION AUX AMINOSIDES
      ASSOCIATION AUX DIURETIQUES

      Des altrations de la fonction rnale ont t observes avec des antibiotiques du mme groupe, surtout en cas de traitement associ avec les aminosides et les diurtiques.

    24. OLIGURIE (RARE)
    25. CREATININEMIE(AUGMENTATION)
    26. LITHIASE URINAIRE (EXCEPTIONNEL)
      D’exceptionnels cas de prcipitations rnales ont t rapports, principalement chez les enfants de plus de 3 ans, traits par de fortes doses journalires (par exemple > ou = 80 mg/kg/jour), ou recevant des doses totales suprieures 10 g et prsentant d’autres facteurs de risque (par exemple, restriction hydrique, alitement…). Cet effet peut tre symptomatique ou asymptomatique, peut entraner une insuffisance rnale, et est rversible l’arrt du traitement.
    27. CEPHALEE (TRES RARE)
    28. VERTIGE (TRES RARE)
    29. ENCEPHALOPATHIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTES DOSES
      INSUFFISANCE RENALE

      L’administration de fortes posologies de bta-lactamines, en particulier chez l’insuffisant rnal, peut entraner des encphalopathies (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).

    30. VEINITE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTION INTRAMUSCULAIRE

      Quelques cas de veinites ont t observs aprs injection intraveineuse.

    1. REACTION ALLERGIQUE
      La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrt du traitement.
      La prescription de cphalosporines ncessite un interrogatoire pralable.
      L’allergie aux pnicillines tant croise avec celle aux cphalosporines dans 5 10 % des cas :
      – l’utilisation des cphalosporines doit tre extrmement prudente chez les patients pnicillino-sensibles ; une surveillance mdicale stricte est ncessaire ds la premire administration ;
      – l’emploi des cphalosporines est proscrire formellement chez les sujets ayant des antcdents d’allergie de type immdiat aux cphalosporines. En cas de doute, la prsence du mdecin auprs du patient est indispensable la premire administration afin de traiter l’accident anaphylactique possible ;
      – les ractions d’hypersensibilit (anaphylaxie) observes avec ces deux types de substances peuvent tre graves et parfois fatales.
    2. DOULEUR ABDOMINALE
      En cas de douleur de l’hypochondre droit, il est souhaitable de pratiquer une chographie la recherche d’un prcipit biliaire.
    3. HYPERBILIRUBINEMIE
      Des tudes ont montr que la ceftriaxone, comme les autres cphalosporines, pouvait dplacer la bilirubine de l’albumine srique.
      Ainsi, la prudence est de rigueur lorsqu’il s’agit de traiter par ceftriaxone des nouveau-ns prsentant une hyperbilirubinmie.
    4. NOUVEAU-NE
      La ceftriaxone ne doit pas tre utilise chez le nouveau-n (en particulier prmatur) ayant un risque de dvelopper une encphalopathie la bilirubine.
    5. SURVEILLANCE DE LA FORMULE SANGUINE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      En cas de traitement prolong, des contrles rguliers de la formule sanguine s’imposent.

    6. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      En cas d’insuffisance rnale svre ou d’insuffisances associes rnale et hpatique, la posologie devra tre adapte en fonction de la clairance de la cratinine.
    7. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      La ceftriaxone ne doit pas tre mlange des solutions contenant du calcium. Lorsque des solutions de calcium sont administres, il est recommand de perfuser la ceftriaxone sur une voie spare et dans une priode de temps pendant laquelle n’est pas perfus le calcium mme si les voies d’abord sont diffrentes.
    8. REGIME HYPOSODE
      Ce mdicament contient 166 mg de sodium par flacon de 2 g : en tenir compte chez les personnes suivant un rgime hyposod strict.
    9. GROSSESSE
      Les tudes effectues chez l’animal n’ont pas mis en vidence d’effet tratogne. En l’absence d’effet tratogne chez l’animal, un effet malformatif dans l’espce humaine n’est pas attendu. En effet, ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espce humaine se sont rvles tratognes chez l’animal au cours d’tudes bien conduites sur deux espces.
      En clinique, l’utilisation de la ceftriaxone au cours d’un nombre limit de grossesses n’a apparemment rvl aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier ce jour.
      Toutefois, des tudes complmentaires sont ncessaires pour valuer les consquences d’une exposition en cours de grossesse.
      En consquence, l’utilisation de la ceftriaxone ne doit tre envisage au cours de la grossesse que si ncessaire.
    10. ALLAITEMENT
      Le passage dans le lait maternel est faible (<5 %), et les quantits ingres trs infrieures aux doses thrapeutiques.
      En consquence, l’allaitement est possible en cas de prise de ce mdicament.
      Toutefois, interrompre l’allaitement (ou le mdicament) en cas de survenue de diarrhe, de candidose ou d’ruption cutane.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX CEPHALOSPORINES

    1. TEST DE COOMBS
      Une positivation du test de Coombs a t obtenue en cours de traitement par des cphalosporines.
    2. GALACTOSEMIE
      Des rsultats faussement positifs de la galactosmie peuvent tre obtenus avec la ceftriaxone.
    3. GLUCOSE URINAIRE
      Les mthodes non enzymatiques de dosage du glucose dans l’urine peuvent aussi donner des rsultats faussement positifs.
      C’est pourquoi, il est ncessaire d’utiliser des mthodes enzymatiques pour le dosage du glucose dans l’urine au cours du traitement par la ceftriaxone.

    Traitement

    La ceftriaxone est faiblement dialysable. Le traitement d’un surdosage doit tre symptomatique.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    – 2 – INTRAMUSCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Adultes :
    1 g par jour en une seule injection pouvant tre port 2 g par jour en une seule injection, selon la svrit de l’infection et le poids du patient.
    . Maladie de Lyme : 2 g par jour en une seule injection.
    La dure de
    traitement est habituellement de 14 jours, pouvant tre porte 21 dans les formes svres ou tardives.
    . Prophylaxie des infections post-opratoires en chirurgie :
    L’antibioprophylaxie doit tre de courte dure, le plus souvent limite la priode
    peropratoire, 24 heures parfois, mais jamais plus de 48 heures.
    Injection intraveineuse ou intramusculaire d’1 g en dose unique l’induction anesthsique.
    . Suspicion clinique de purpura fulminans :
    Premire dose administrer si possible par voie
    intraveineuse, sinon par voie intramusculaire : 1 2 g.

    – Enfants :
    50 mg/kg/jour en une seule injection.
    . Maladie de Lyme : 50 100 mg/kg/j en une seule injection.
    La dure du traitement est habituellement de 14 jours, pouvant tre porte 21
    jours dans les formes svres ou tardives.
    . Dans les cas de mningites, la posologie peut varier de 50 100 mg/kg/jour en une seule injection ; la posologie de 100 mg/kg n’tant justifie que comme traitement d’attaque.
    Toutefois, chez le tout jeune
    nourrisson g de 3 12 mois, un rythme d’une injection toutes les 12 heures peut tre retenu, en raison d’une demi-vie plasmatique plus brve.
    . Suspicion clinique de purpura fulminans :
    Premire dose administrer si possible par voie intraveineuse,
    sinon par voie intramusculaire : 50 100 mg/kg sans dpasser 1 g.
    – Patients gs :
    Il n’y a pas lieu de modifier les posologies recommandes pour l’adulte lorsqu’il s’agit de patients gs.
    .
    Mode d’emploi :
    – Perfusion : la dure de la perfusion est
    d’environ 30 minutes.
    Dissoudre 2 grammes de ceftriaxone dans 40 ml d’eau ppi ou dans 40 ml de l’une des solutions de perfusion suivantes : chlorure de sodium 0,9%, 0,45% + glucose 2,5%, glucose 5%, glucose 10%, dextran 6% dans du glucose
    5%, hydroxy- thyl amidon 6-10%.
    La ceftriaxone ne doit pas tre mlange des solutions contenant d’autres agents antimicrobiens ( l’exception de l’ornidazole) ni des solutions de diluants autres que celle numres ci-dessus, en gard au risque
    d’incompatibilit.
    La ceftriaxone sodique ne doit pas tre mlange des solutions contenant du calcium.
    Lorsque des solutions de calcium sont administres, il est recommand de perfuser la ceftriaxone sur une voie spare, particulirement lorsque des
    concentrations de calcium leves sont utilises pour le traitement d’hypocalcmie.
    La ceftriaxone sodique est incompatible avec l’amsacrine, la vancomycine, le fluconazle et les aminosides.
    – Voie IM : cette forme IV peut ventuellemnt tre utilise en
    IM.
    * Prcautions particulires de conservation :
    A conserver une temprature infrieure 25 degrs C.
    La solution doit tre utilise ds sa reconstitution. Toutefois, elle peut tre conserve pendant 8 heures temprature ne dpassant pas 25 degrs
    C, et 24 heures temprature comprise entre 4 et 8 degrs C.
    La couleur de la solution reconstitue peut varier du jaune ple au jaune ambr dans les conditions de conservation ci-dessus prcises.
    .
    Incompatibilits physico-chimiques :
    Des
    prcipitations ont t observes avec des solutions contenant du calcium tout particulirement chez les nouveaux-ns
    La ceftriaxone sodique ne doit pas tre mlange des solutions contenant du calcium notamment la solution de Hartmann ou la solution
    de Ringer.
    D’exceptionnels accidents graves, dont certains ayant entran le dcs, ont t signals chez les prmaturs ou nouveau-ns ayant reu simultanment par voie IV de la ceftriaxone et un sel de calcium (gluconate de calcium).
    La ceftriaxone
    sodique est incompatible avec l’amsacrine, la vancomycine, le fluconazole et les aminosides.


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