PEVARYL 1 pour cent crème

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PEVARYL 1 pour cent crème

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 16/12/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – CC 2470-77


    Forme : CREME

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : JANSSEN – CILAG

    Produit(s) : PEVARYL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 24/3/1975
    2. publication JO de l’AMM 11/5/1976
    3. mise sur le marché 17/5/1976
    4. validation de l’AMM 5/1/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 318522-4

    1
    tube(s)
    30
    g
    alu verni

    Evénements :

    1. agrément collectivités 2/3/1976
    2. inscription SS 2/3/1976


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 17.19 F

    Prix public TTC : 27.10 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIFONGIQUE DERMIQUE USAGE LOCAL (IMIDAZOL. ET TRIAZOL.) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : D01A-C03.
      Dérivé imidazole doué d’une activité antifongique et antibactérienne.
      Activité fongicide démontrée in vitro, s’exercant sur les agents responsables des mycoses cutanéo-muqueuses :
      – dermatophytes (trichophyton, épidermophyton, microsporum)
      – candidas et autres levures
      – pityrosporum orbiculare (agent du pityriasis versicolor)
      – pityrosporum ovale (agent du pityriasis capitis)
      – moisissures et autres champignons
      L’activité antibactérienne a été démontrée in vitro vis-à-vis des bactéries Gram +. Son mécanisme d’action, différent de celui des antibiotiques, se situe à plusieurs niveaux : membranaire (augmentation de la perméabilité), cytoplasmique (inhibition des processus oxydatifs au niveau des mitochondries), nucléaire (inhibition de la synthèse de l’ARN).
      – Activité sur corynébactérium minutissimum (érythrasma).
      – actinomycètes

    1. ***
      1- Candidoses :
      Les candidoses cutanées rencontrées en clinique humaine sont habituellement dues à Candida Albicans. Cependant, la mise en évidence d’un candida sur la peau ne peut constituer en soi une indication.
      Traitement :
      – intertrigos génito-cruraux, anaux et périanaux,
      – perlèche,
      – vulvite et balanite.
      Dans certains cas, il est recommandé de traiter simultanément le tube digestif.
      Traitement d’appoint des onyxis et périonyxis.
      2- Dermatophyties :
      Traitement :
      – dermatophyties de la peau glabre.
      – intertrigos génito et cruraux,
      – intertrigos des orteils,
      – Traitement des sycosis et kérions : un traitement systémique antifongique associé est à discuter.
      Traitement d’appoint :
      – teignes,
      – folliculites à trichophyton rubrum.
      un traitement systémique antifongique est nécessaire.
      3- Pityriasis versicolor
      4- Erythrasma.
    2. CANDIDOSE CUTANEE
    3. DERMATOPHYTIE CUTANEE
    4. ERYTHRASMA

    1. EFFETS SYSTEMIQUES
      Du fait du faible taux de résorption de l’éconazole (0.5 à 2%) sur une peau saine, on peut pratiquement exclure le risque d’apparition d’effets systémiques.
      Cependant, sur une peau lésée, une grande surface, et chez le nourrisson (en raison du rapport surface/poids et de l’effet d’occlusion des couches), il faut être attentif à cette éventualité.
    2. SENSATION DE BRULURE CUTANEE
      Manifestation locale ayant entraîné l’arrêt du traitement dans 1.7 pour cent des cas.
    3. PRURIT
      Manifestation locale ayant entraîné l’arrêt du traitement dans 1.7 pour cent des cas.
    4. RUBEFACTION
      Manifestation locale ayant entraîné l’arrêt du traitement dans 1.7 pour cent des cas.

    1. CANDIDOSE
      Il est déconseillé d’utiliser un savon à pH acide (pH favorisant la multiplication de candida).

    1. HYPERSENSIBILITE AUX IMIDAZOLES
      Notion d’intolérance ou de sensibilisation à ces produits.
    2. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS

    Voies d’administration

    – 1 – APPLICATION CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – candidoses non macérées :
    * Mycoses des plis : intertrigo génital, sous- mammaire, interdigital) : durée du traitement 1 à 2 semaines, environ 1 à 2 tubes.
    * Mycoses des ongles : onyxis, perionyxis : crème plus antifongique per os
    : 1 à 2 mois, environ 4 à 8 tubes.
    – Dermatophyties de la peau glabre : herpes circiné : 2 semaines soit 2 tubes.
    – Intertrigo génital et crural non macéré : 2 à 3 semaines, environ 2 à 3 tubes.
    – Teignes : crème plus antifongique per os : 4 à 8
    semaines environ 4 à 8 tubes.
    – Erythrasma : 1 à 2 semaines soit 1 à 2 tubes.
    .
    Mode d’emploi :
    – Application biquotidienne régulière jusqu’à disparition complète des lésions.
    – Appliquer la crème sur les lésions à traiter avec le bout des doigts, un
    peu de crème ayant été déposées dans le creux de la main ou directement sur les lésions. Masser de façon douce et régulière jusqu’à pénétration complète.


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