CELESTENE 4 mg/1 ml solution injectable
CELESTENE 4 mg/1 ml solution injectable
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 8/9/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : SOLUTION INJECTABLE
Usage : adulte et enfant
Etat : commercialis
Laboratoire : SCHERING PLOUGHProduit(s) : CELESTENE
Evénements :
- octroi d’AMM 27/4/1964
- mise sur le march 15/7/1964
- validation de l’AMM 21/11/1997
- rectificatif d’AMM 23/3/1999
Présentation et Conditionnement
Conditionnement 1
Numéro AMM : 301946-0
3
ampoule(s) bouteille(s)
1
ml
verre
autocassableEvénements :
- inscription SS 8/8/1964
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : commercialis
Conservation (dans son conditionnement) : 24
mois
A L’ABRI DE LA LUMIERE
CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste IRéglementation des prix :
rembours
65 %
Prix Pharmacien HT : 20.51 F
Prix public TTC : 31.50 F
TVA : 2.10 %Conditionnement 2
Numéro AMM : 554330-8
25
ampoule(s) bouteille(s)
1
ml
verre
autocassableEvénements :
- agrment collectivits 8/8/1964
Lieu de délivrance : hpitaux
Etat actuel : commercialis
Conservation (dans son conditionnement) : 24
mois
A L’ABRI DE LA LUMIERE
CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste I
Prix Pharmacien HT : 154.25 F
TVA : 2.10 %
Composition
Expression de la composition : par unit de prise, soit pour :
Volume : 1
ml- BETAMETHASONE PHOSPHATE SODIQUE 5.30 mg
Quantit correspondant 4 mg de btamthasone.
- PHOSPHATE DISODIQUE ANHYDRE excipient
- EDETATE DE SODIUM conservateur (excipient)
- PHOSPHORIQUE ACIDE excipient
- EAU POUR PREPARATIONS INJECTABLES excipient
- CORTICOIDE VOIE GENERALE (GLUCOCORTICOIDE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : H02A-B01.
Les glucocorticodes physiologiques (cortisone et hydrocortisone) sont des hormones mtaboliques essentielles. Les corticodes synthtiques, incluant la btamthasone sont utiliss principalement pour leur effet anti-inflammatoire. A fortes doses ils diminuent la rponse immunitaire. Leur effet mtabolique et de rtention sode est moindre que celui de l’hydrocortisone.
* Proprits Pharmacocintiques :
L’absorption parentrale de la forme injectable est trs rapide. Une partie de la btamthasone est lie aux protines plasmatiques et seule la fraction libre possde une activit pharmacologique. La btamthasone est mtabolise dans le foie et est limine par le rein. La demi-vie plasmatique de la btamthasone est de l’ordre de 5 heures; sa demi-vie biologique de 36 54 heures.
- ***
A / Usage systmique :
* Celles de la corticothrapie gnrale per os, lorsque la voie parentrale est ncessaire en cas d’impossibilit de la voie orale (vomissements, aspiration gastrique, troubles de la conscience).
* Les affections ncessitant un effet thrapeutique rapide :
– Allergiques :
Oedme de Quincke svre, en complment des antihistaminiques;
choc anaphylactique en complment de l’adrnaline.
– Infectieuses :
Fivre typhode svre, en particulier avec confusion mentale, choc, coma ;
Laryngite striduleuse (laryngite sous-glottique) chez l’enfant.
– Neurologiques :
Oedme crbral des tumeurs, de l’hmatome sous-dural et oedme crbral li un abcs toxoplasme.
– ORL :
Dyspne larynge.
– Prvention antnatale de la maladie des membranes hyalines :
Induction de la maturation foetale.
B / Usage local :
Ce sont celles de la corticothrapie locale, lorsque l’affection justifie une forte concentration locale. Toute prescription d’injection locale doit faire la part du danger infectieux, notamment du risque de favoriser une prolifration bactrienne.
Ce mdicament est indiqu dans les affections :
– Dermatologiques :
Cicatrices chlodes.
– OPH :
Injections prioculaires dans certaines atteintes inflammatoires du segment antrieur avec participation de l’uve intermdiaire.
– ORL :
Irrigations intrasinusiennes dans les sinusites subaigus ou chroniques justifiant un drainage.
– Rhumatologiques :
. Injections intra-articulaires : arthrites inflammatoires, arthrose en pousse.
. Injections priarticulaires : tendinites, bursites.
. Injections des parties molles : talalgies, syndrome du canal carpien, maladie de Dupuytren. - OEDEME ANGIONEUROTIQUE
- CHOC ANAPHYLACTIQUE
- FIEVRE TYPHOIDE
- OEDEME LARYNGE
- OEDEME CEREBRAL
- DYSPNEE
- SYNDROME DES MEMBRANES HYALINES
- CHELOIDE
- INFLAMMATION OCULAIRE
- SINUSITE AIGUE
- ARTHRITE
- ARTHROSE
- TENDINITE
- BURSITE
- SYNDROME DU CANAL CARPIEN
- MALADIE DE DUPUYTREN
- REACTION ANAPHYLACTIQUE (RARE)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALEDe rares cas de ractions anaphylactiques ont pu tre rapports chez des patients traits par des corticostrodes par voie parentrale. Une attention particulire sera porte avant toute administration chez des sujets prsentant un terrain atopique.
- ARYTHMIE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE INTRAVEINEUSELie l’administration intraveineuse.
- KALIEMIE(DIMINUTION)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - ALCALOSE METABOLIQUE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - RETENTION HYDROSODEE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - HYPERTENSION ARTERIELLE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - INSUFFISANCE CARDIAQUE CONGESTIVE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - SYNDROME DE CUSHING
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALEIatrogne.
- INSUFFISANCE HYPOPHYSOSURRENALE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - ATROPHIE CORTICOSURRENALIENNE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALEParfois dfinitive.
- TOLERANCE AU GLUCOSE(DIMINUTION)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - DIABETE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALERvlation d’un diabte latent.
- RETARD DE CROISSANCE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE
ENFANT - IRREGULARITE MENSTRUELLE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - ATROPHIE MUSCULAIRE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE
VOIE LOCALEPrcde par une faiblesse musculaire (augmentation du catabolisme protidique).
- OSTEOPOROSE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - FRACTURE PATHOLOGIQUE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - TASSEMENT VERTEBRAL
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - OSTEONECROSE ASEPTIQUE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALEDes ttes fmorales.
- HOQUET
- ULCERE GASTRODUODENAL
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - ULCERE DE L’INTESTIN GRELE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - PERFORATION DIGESTIVE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - HEMORRAGIE DIGESTIVE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - PANCREATITE AIGUE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE
ENFANT - ACNE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - PURPURA
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - ECCHYMOSE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - HYPERTRICHOSE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - RETARD DE CICATRISATION
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - EUPHORIE (FREQUENT)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - INSOMNIE (FREQUENT)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - EXCITATION PSYCHOMOTRICE (FREQUENT)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - ACCES MANIAQUE (RARE)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - CONFUSION ONIRIQUE (RARE)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - CONFUSION MENTALE (RARE)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - CRISE CONVULSIVE (RARE)
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - DEPRESSION
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE
ARRET DU TRAITEMENT - GLAUCOME
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - CATARACTE
Condition(s) Exclusive(s) :
VOIE PARENTERALE - HYPERCORTICISME
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALE
INJECTIONS FREQUENTES
FORTES DOSESLes effets indsirables systmiques des glucocorticodes ont un faible risque de survenue aprs administration locale, compte tenu des faibles taux sanguins, mais le risque d’hypercorticisme (rtention hydrosode, dsquilibre d’un diabte et d’une hypertension artrielle…) augmente avec la dose et la frquence des injections.
- INFECTION LOCALE
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALERisque d’infection locale (selon le site d’injection) : arthrites…
- ATROPHIE SOUS-CUTANEE AU POINT D’INJECTION
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALEAtrophie localise des tissus musculaires, sous-cutans et cutans.
- RUPTURE DE TENDON
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALERisque de rupture tendineuse en cas d’injection dans les tendons.
- ARTHRITE MICROCRISTALLINE
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALEDe survenue prcoce.
- CALCIFICATION LIGAMENTAIRE
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALE - REACTION ALLERGIQUE LOCALE
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALE - REACTION ALLERGIQUE GENERALE
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALE - CEPHALEE
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALEElle disparat habituellement en un jour ou deux.
- BOUFFEE VASOMOTRICE
Condition(s) Exclusive(s) :
INJECTION LOCALEElle disparat habituellement en un jour ou deux.
- MISE EN GARDE
A / Lie l’usage systmique :
– Terrain allergique :
De rares cas de ractions pseudo-anaphylactiques tant survenus chez des patients traits par une corticothrapie parentrale, une attention particulire sera porte avant toute administration chez des sujets prsentant un terrain atopique.
– Ulcre gastroduodnal :
En cas d’ulcre gastroduodnal, la corticothrapie n’est pas contre-indique si un traitement antiulcreux est associ. En cas d’antcdents ulcreux, la corticothrapie peut tre prescrite, avec une surveillance clinique et, au besoin, aprs fibroscopie.
– Infections :
La corticothrapie peut favoriser la survenue de diverses complications infectieuses dues notamment des bactries, des levures, des parasites. La survenue d’une anguillulose maligne est un risque important. Tous les sujets venant d’une zone d’endmie (rgions tropicales, subtropicales, sud de l’Europe) doivent avoir un examen parasitologique des selles et un traitement radicateur systmatique avant la corticothrapie.
Les signes volutifs d’une infection peuvent tre masqus par la corticothrapie. Il importe, avant la mise en route du traitement, d’carter toute possibilit de foyer viscral, notamment tuberculeux, et de surveiller, en cours de traitement, l’apparition de pathologies infectieuses. En cas de tuberculose ancienne, un traitement prophylactique antituberculeux est ncessaire s’il existe des squelles radiologiques importantes et si l’on ne peut s’assurer qu’un traitement bien conduit de 6 mois par la rifampicine a t donn.
– Surveillance particulire :
L’emploi des corticodes ncessite une surveillance particulirement adapte, notamment chez le sujet g et en cas de colites ulcreuses (risque de perforation), diverticulites, anastomoses intestinales rcentes, insuffisance rnale, insuffisance hpatique, ostoporose, myasthnie grave.
B / Lie l’usage local :
– Effets systmiques :
Du fait d’une diffusion systmique potentielle, il faut prendre en compte certaines contre-indications des corticodes par voie gnrale, en particulier si les injections sont multiples (plusieurs localisations) ou rptes court terme :
. certaines viroses en volution (notamment hpatites, herps, varicelle, zona) ;
. tats psychotiques encore non contrls par un traitement ;
. vaccins vivants.
– Injections multiples et rptes :
Des injections multiples (plusieurs localisations) ou rptes court terme peuvent entraner des symptmes cliniques et biologiques d’hypercorticisme.
C / Lie aux deux voies :
– Sportifs :
L’attention des sportifs sera attire sur le fait que cette spcialit contient un principe actif pouvant induire une raction positive des tests pratiqus lors des contrles antidopage. - RELAIS THERAPEUTIQUE
– Usage systmique :
Un traitement par voie orale sera institu en relais ds que possible. - RETENTION HYDROSODEE
– Usage systmique :
Une rtention hydrosode est habituelle, responsable en partie d’une lvation ventuelle de la pression artrielle. L’apport sod sera rduit. - APPORT POTASSIQUE
Condition(s) Exclusive(s) :
FORTES DOSES
TRAITEMENT PROLONGE
TROUBLES CARDIOVASCULAIRES– Usage systmique :
La supplmentation potassique n’est justifie que pour des traitements fortes doses, prescrits pendant une longue dure, ou en cas de risque de troubles du rythme ou d’associations un traitement hypokalimiant. - DIABETE
– Toutes voies :
Lorsque la corticothrapie est indispensable, le diabte n’est pas une contre-indication mais le traitement peut entraner son dsquilibre. Il convient de rvaluer sa prise en charge. - HYPERTENSION ARTERIELLE
– Toutes voies :
Lorsque la corticothrapie est indispensable, l’hypertension arterielle n’est pas une contre-indication mais le traitement peut entraner son dsquilibre. Il convient de rvaluer sa prise en charge. - CONTACT A EVITER
– Usage systmique :
Les patients doivent viter le contact avec des sujets atteints de varicelle ou de rougeole. - ASEPSIE RIGOUREUSE
Usage local. - ETAT PSYCHOTIQUE
Usage local :
L’injection locale de corticodes peut dsquilibrer un tat psychotique. - HYPERTENSION ARTERIELLE SEVERE
Usage local :
L’injection locale de corticodes peut dsquilibrer une hypertension artrielle svre. - HEMODIALYSE
– Usage local :
L’administration devra tre prudente chez les patients risque lev d’infection, en particulier les hmodialyss. - PORT DE PROTHESE
– Usage local :
L’administration devra tre prudente chez les patients risque lev d’infection, en particulier les porteurs de prothse. - INJECTION INTRATENDINEUSE
Ne pas injecter. - SPORTIFS
Mise en garde :
L’attention des sportifs sera attire sur le fait que cette spcialit contient un principe actif pouvant induire une raction positive des tests pratiqus lors des contrles antidopage. - ALLAITEMENT
En cas de traitement des doses importantes et de faon chronique, l’allaitement est dconseill. - GROSSESSE
Chez l’animal, l’exprimentation met en vidence un effet tratogne variable selon les espces.
Dans l’espce humaine, il existe un passage transplacentaire. Cependant, les tudes pidmiologiques n’ont dcel aucun risque malformatif li la prise de corticodes lors du 1 er trimestre. Lors de maladies chroniques, ncessitant un traitement tout au long de la grossesse, un lger retard de croissance intra-utrin est possible. Une insuffisance surrnale nonatale a t exceptionnellement observe aprs corticothrapie doses leves. Il est justifi d’observer une priode de surveillance clinique (poids, diurse) et biologique du nouveau-n.
En consquence, les corticodes peuvent tre prescrits pendant la grossesse, si besoin.
- ETAT INFECTIEUX
Infection locale ou gnrale, ou suspicion d’infection, l’exclusion des indications spcifies. - HEPATITE
Usage systmique. - HERPES
Usage systmique. - VARICELLE
Usage systmique. - ZONA
Usage systmique. - ETAT PSYCHOTIQUE
Non contrl encore par un traitement : usage systmique. - VACCINATION
Vaccins vivants : usage systmique. - HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
- TROUBLES DE LA COAGULATION
- TRAITEMENT ANTICOAGULANT
En cours, en cas d’injection intramusculaire. - ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
Mdicaments non antiarythmiques, donnant des torsades de pointes (astmizole, bpridil, rythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sparfloxacine, sultopride, terfnadine, vincamine) : associations dconseilles.
Utiliser des substances ne prsentant pas l’inconvnient d’entraner des torsades de pointes en cas d’hypokalimie.
Voies d’administration
– 1 – INTRAVEINEUSE
– 2 – INTRAMUSCULAIRE
– 3 – INTRAARTICULAIRE
– 4 – PERIARTICULAIRE
– 5 – SOUS-CONJONCTIVALE
– 6 – ENDOSINUSALE
– 7 – INTRALESIONNELLE
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Cette spcialit n’est pas adapte l’administration par voie inhale par nbulisateur.
Equivalence anti-inflammatoire (quipotence) pour cinq milligrammes de prednisone : zro soixante quinze (0.75) milligrammes de btamthasone.
–
Usage systmique :
Injections intraveineuses ou intramusculaires.
La posologie est variable en fonction du diagnostic, de la svrit de l’affection, du pronostic, de la rponse du patient et de la tolrance au traitement.
Une quatre ampoules
rpter dans les vingt quatre heures, selon l’tat du malade.
– Usage local :
Une demi deux ampoules selon le lieu de l’injection et l’affection traiter. Il faut viter que l’injection ne soit trop superficielle en raison du risque d’atrophie
sous-cutane.
L’injection ne sera rpte qu’en cas de rapparition ou de persistance des symptmes.