MAXIDROL collyre

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MAXIDROL collyre

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/8/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COLLYRE EN SOLUTION

    Usage : adulte, enfant + de 30 mois

    Etat : commercialis

    Laboratoire : ALCON

    Produit(s) : MAXIDROL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 30/4/1966
    2. publication JO de l’AMM 29/8/1966
    3. mise sur le march 15/1/1967
    4. validation de l’AMM 30/12/1991

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 306525-3

    1
    flacon(s)
    3
    ml
    plastique

    Evénements :

    1. agrment collectivits
    2. inscription SS 7/10/1966


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialis

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 15
    jour(s)

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    rembours
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 9.83 F

    Prix public TTC : 15.80 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE CORTICOIDE ET ANTIINFECTIEUX (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : S01C-A01.
      La Dexamthasone est un antiinflammatoire stroidien puissant.
      La Nomycine est un antibiotique bactricide de la famille des aminosides.
      – Espces habituellement sensibles :
      Staphylocoques, Gonocoques. Acinetobacter, Brucella, E. coli, Haemophilus, Klebsiella, Salmonella, Serratia, Shigella, Yersinia.
      – Espces habituellement rsistantes :
      Streptocoques dont les pneumocoques, Pseudomonas, Germes anarobies.
      La Polymyxine B est un antibiotique bactricide de la famille des polypeptides. Son activit antibactrienne est limite aux bacilles Gram – :
      Klebsiella, Enterobacter, E. coli, Haemophilus, Pasteurella, Salmonella, Pseudomonas aeruginosa.
      Lorsque pour une espce donne, la notion de sensibilit constante des souches n’a pas t tablie, seul un antibiogramme de la souche en cause permet de confirmer si elle est sensible, rsistante ou intermdiaire.
      * Proprits pharmacocintiques :
      En usage topique, la nomycine et la polymyxine B pntrent mal la corne.

    1. ***
      – Uvite, sclrite, pisclrite, conjonctivite allergique, kratite interstitielle.
      – Inflammations et infections germes sensibles des annexes telles que : conjonctivite, tarsite, blpharite, orgelet, chalazion.
    2. INFECTION OCULAIRE
      Uvite, sclrite, pisclrite, conjonctivite, kratite interstitielle
    3. BLEPHARITE
    4. CHALAZION
    5. CONJONCTIVITE ALLERGIQUE

    1. GENE OCULAIRE
      Transitoire.
    2. LARMOIEMENT
      Transitoire.
    3. SENSATION DE BRULURE OCULAIRE
      Transitoire.
    4. HYPERHEMIE CONJONCTIVALE
      Transitoire.
    5. REACTION D’HYPERSENSIBILITE
      Cutano – conjonctivale.
    6. HYPERTENSION OCULAIRE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      UTILISATION PROLONGEE

      Cortico – induite.

    7. CATARACTE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      UTILISATION PROLONGEE
    8. KERATITE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      UTILISATION PROLONGEE

      Superficielle due la prsence du corticoide.

    9. RETARD DE CICATRISATION
      En cas d’ulcration cornenne ou sclrale, les corticoides peuvent retarder la cicatrisation et favoriser la surinfection.

    1. MISE EN GARDE
      – En cas d’hypersensibilit, arrt du traitement.

      – Des instillations rptes et /ou prolonges du collyre peuvent entraner un passage systmique non ngligeable du corticoide.

      – Des instillations rptes et/ou prolonges du collyre peuvent entraner une hypertonie oculaire chez certains patients.

      – L’attention des sportifs est attire sur le fait que cette spcialit contient un principe actif ( Dexamthasone ) pouvant induire une raction positive des tests pratiqus lors de contrles antidopage.
    2. TRAITEMENT PROLONGE
      – Ou en l’absence d’amlioration rapide, une surveillance mdicale rgulire, comportant des contrles bactriologiques avec tude de la sensibili du germe, permet de dpister une rsistance au produit et d’adapter ventuellement le traitement.

      – Comme pour toutes les prparations ophtalmologiques contenant un corticoide, l’usage prolong ncessite une surveillance ophtalmologique particulirement attentive de la corne, de la tension oculaire et du cristallin.
    3. CONDITIONS D’UTILISATION DU PRODUIT
      Le collyre ne doit pas tre employ en injection pri ou intra – oculaire.
    4. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      En cas de traitement concomitant par un collyre contenant un principe actif diffrent, instiller les collyres 15 minutes d’intervalle.
    5. NOURRISSON
      L’usage du produit doit tre vit.
    6. PORT DE LENTILLES DE CONTACT
      Le port de lentilles de contact doit tre vit durant le traitement en raison du risque d’adsorption du corticode (la dexamthasone) et du conservateur (le chlorure de benzalkonium).
    7. GROSSESSE
      Les tudes concernant la prise de corticodes per os n’ont pas mis en vidence un risque malformatif suprieur celui observ dans la population gnrale.

      Aucune tude de tratognicit n’a t effectue avec des corticodes locaux.
    8. ALLAITEMENT
      L’allaitement est dconseill chez les patientes recevant un traitement par les corticodes per os car ils sont excrts dans le lait maternel.

      Administr par voie locale, il existe un passage oculaire du corticode et donc une possibilit de retentissement mtabolique chez le nouveau-n.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. KERATITE HERPETIQUE
      Epithliale dendritique.
    3. KERATITE MYCOSIQUE
    4. KERATOCONJONCTIVITE
      Virale pidmique au stade prcoce.

    Voies d’administration

    – 1 – OCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Une goutte dans le cul de sac conjonctival infrieur, toutes les heures en dbut de traitement dans les affections aigus svres, trois six fois par jour dans les autres cas pendant sept jours en moyenne.
    Un traitement plus long
    peut tre prescrit sous surveillance ophtalmique stricte.


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