SYNALAR GAMMA crme (arrt de commercialisation)

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SYNALAR GAMMA crme (arrt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 11/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code exprimentation – CS 1505


    Forme : CREME

    Etat : arrt de commercialisation

    Laboratoire : CASSENNE MARION

    Produit(s) : SYNALAR

    Evénements :

    1. mise sur le march 15/9/1964
    2. octroi d’AMM 21/11/1974
    3. publication JO de l’AMM 16/4/1976
    4. arrt de commercialisation 1/11/1990
    5. retrait d’AMM 13/8/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 310261-7

    1
    tube(s)
    30
    g
    alu

    Evénements :

    1. agrment collectivits 30/7/1964
    2. inscription SS 13/8/1964
    3. arrt de commercialisation 1/11/1990
    4. radiation collectivits 9/2/1995
    5. radiation SS 22/2/1995


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. DERMOCORTICOIDE D’ACTIVITE ASSEZ FORTE (CLASSE III) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : D07A-B20.
      Corticode de synthse usage exclusivement topique caractris par:
      – son activit sur certains processus inflammatoires (par exemple l’hypersensibilit de contact) et l’effet prurigineux qui leur est li;
      – son effet vasoconstricteur (antiexsudatif);
      – son action inhibitrice de la multiplication cellulaire et des processus de synthse dans le derme et l’piderme.
      Synalar Gamma (classe III activit assez forte) est une prparation conue pour la ralisation de la `mthode du pansement occlusif` permettant le maintien prolong de quantits importantes de crme faiblement concentre, au niveau des lsions soumises une hyper-hydratation.
      Les effets thrapeutiques et les effets indsirables sont de mme nature pour tous les corticostrodes. Les diffrences entre substances correspondent en fait des diffrences d’absorption et de de pntration cutanes ainsi qu’ des differences de niveau d’activit.


    1. Les indications sont celles des corticodes locaux des classes II et III (activit forte et assez forte).
      1. Indications privilgies o la corticothrapie locale est tenue pour le meilleur traitement :
      – eczma de contact
      – dermatite atopique
      – lichnification
      2.Indications o la corticothrapie locale est l’un des traitements habituels
      – dermite de stase (‘eczma variqueux’),
      – psoriasis
      – lichen
      – prurigo non parasitaire
      – dyshidrose
      – lichen sclro-atrophique gnital
      – granulome annulaire
      – lupus rythmateux discode
      – pustuloses amicrobiennes palmo-plantaires
      – dermite sborrhique l’exception du visage
      – traitement symptomatique du prurit du mycosis fongode.
      3. Indications de circonstance pour une dure brve :
      – piqres d’insectes et prurigo parasitaire aprs traitement tiologique.
      Chaque dermatose doit tre traite par un corticode de niveau le mieux appropi en sachant qu’en fonction des rsultats on peut tre conduit lui substituer un produit d’une activit plus forte ou moins forte sur tout ou partie des lsions.
      Le choix de la prparation sera fait en fonction de la localisation et de la nature des lsions.

    1. FRAGILITE CUTANEE
    2. RETARD DE CICATRISATION
      Des plaies atones, des escarres, des ulcres de jambe.
    3. ERUPTION ACNEIFORME
      Ou pustuleuse.
    4. HYPERTRICHOSE
    5. DEPIGMENTATION DE LA PEAU
    6. ACNE ROSACEE
      Apparition ou aggravation.
    7. DERMATITE PERIORALE
    8. ATROPHIE CUTANEE
    9. PURPURA ECCHYMOTIQUE
      Secondaire l’atrophie.
    10. TELANGIECTASIE
      A redouter particulirement sur le visage.
    11. VERGETURE
      A la racine des membres notamment et survenant plus volontiers chez les adolescents.
    12. INTOLERANCE LOCALE
      Si une intolerance locale apparat, le traitement doit tre interrompu et la cause doit tre recherche.
    13. EFFETS SYSTEMIQUES
      En raison du passage du corticode dans la circulation gnrale, un traitement sur de grandes surfaces ou sous occlusion peut entraner les effets systmiques d’une corticothrapie gnrale particulirement chez le nourrisson et l’enfant en bas ge. Ils consistent en syndrome cushingode et ralentissement de la croissance:
      ces accidents disparaissent l’arrt du traitement mais un arrt brutal peut tre suivi d’une insuffisance surrnale aige.

    1. MISE EN GARDE
      En raison du passage du corticode dans la circulation gnrale, un traitement sur de grandes surfaces ou sous occlusion peut entraner les effets systmiques d’une corticothrapie gnrale particulirement chez le nourrisson et l’enfant en bas ge. Ils consistent en syndrome cushingode et ralentissement de la croissance:

      ces accidents disparaissent l’arrt du traitement mais un arrt brutal peut tre suivi d’une insuffisance surrnale aige.
    2. APPLICATION SUR LE VISAGE
      L’utilisation prolonge sur le visage des corticodes activit forte expose la survenue d’une dermite cortico-induite et paradoxalement cortico-sensible, avec rebond aprs chaque arrt. Un sevrage progressif, particulirement difficile, est alors ncessaire.
    3. NOURRISSON
      Chez les nourrissons il est prfrable d’viter les corticodes forts (I et II). Il faut se mfier particulirement des phnomnes d’occlusions spontans pouvant survenir dans les plis ou dans les culottes impermables.
    4. APPLICATION PALPEBRALE
      En cas d’application palpbrale, la dure du traitement doit tre limite. Une application prolonge expose en effet des risques de ptosis par atteinte musculaire du relveur de la paupire, de glaucome, d’effet rebond.
    5. INFECTION BACTERIENNE
      En cas d’infection bactrienne ou mycosique d’une dermatose corticosensible, soit faire prcder l’utilisation du corticode d’un traitement spcifique, soit ventuellement et dans certains cas seulement, utiliser une association corticode plus traitement spcifique.
    6. INFECTION MYCOSIQUE
      En cas d’infection bactrienne ou mycosique d’une dermatose corticosensible, soit faire prcder l’utilisation du corticode d’un traitement spcifique, soit ventuellement et dans certains cas seulement, utiliser une association corticode plus traitement spcifique.

    1. ACNE
    2. ACNE ROSACEE
    3. LESIONS ULCEREES
    4. INFECTION VIRALE PRIMITIVE
      Mme si elles comportent une composante inflammatoire.
    5. INFECTION BACTERIENNE PRIMITIVE
      Mme si elles comportent une composante inflammatoire.
    6. INFECTION PARASITAIRE PRIMITIVE
      Mme si elles comportent une composante inflammatoire.
    7. INFECTION FONGIQUE PRIMITIVE
      Mme si elles comportent une composante inflammatoire.
    8. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    9. PANSEMENT OCCLUSIF
      En cas d’eczma en phase aige.

    Voies d’administration

    – 1 – APPLICATION CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Une application par vingt quatre heures.
    .
    Mode d’Emploi:
    Application en couche mince suivie d’un lger massage.
    Une augmentation du nombre d’applications quotidiennes risquerait d’aggraver les effets indsirables sans amliorer les
    effets thrapeutiques.
    Le traitement des grandes surfaces ncessite une surveillance du nombre de tubes utiliss.
    Certaines dermatoses (psoriasis, dermatite atopique…) rendent souhaitable un arrt progressif. Il peut tre obtenu par la diminution de
    frquence des applications et/ou par l’utilisation d’un corticode moins fort ou moins dos.


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