MINIPHASE comprims enrobs
MINIPHASE comprims enrobs
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 27/1/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
code exprimentation – SH B 280 AB
Forme : COMPRIMES ENROBES
Etat : commercialis
Laboratoire : SCHERINGProduit(s) : MINIPHASE
Evénements :
- octroi d’AMM 10/8/1976
- publication JO de l’AMM 9/2/1977
- mise sur le march 23/2/1977
- validation de l’AMM 18/11/1997
Présentation et Conditionnement
Conditionnement 1
Numéro AMM : 320263-2
-1- 1
plaquette(s) thermoforme(s)
11
unit(s)
PVC/alu
blanc
-2- 1
plaquette(s) thermoforme(s)
10
unit(s)
PVC/alu
vertEvénements :
- agrment collectivits 23/2/1977
- inscription SS 23/2/1977
Lieu de délivrance : officine et hpitaux
Etat actuel : commercialis
Conservation (dans son conditionnement) : 60
mois
Régime : liste IRéglementation des prix :
rembours
65 %
Prix Pharmacien HT : 6.11 F
Prix public TTC : 11.10 F
TVA : 2.10 %Conditionnement 2
Numéro AMM : 320264-9
-1- 3
plaquette(s) thermoforme(s)
11
unit(s)
PVC/alu
blanc
-2- 3
plaquette(s) thermoforme(s)
10
unit(s)
PVC/alu
vertEvénements :
- agrment collectivits 23/2/1977
- inscription SS 23/2/1977
Lieu de délivrance : officine et hpitaux
Etat actuel : commercialis
Conservation (dans son conditionnement) : 60
mois
Régime : liste IRéglementation des prix :
rembours
65 %
Prix Pharmacien HT : 13.63 F
Prix public TTC : 22.30 F
TVA : 2.10 %
Composition
Forme 1
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE- NORETHISTERONE ACETATE 1 mg
comprim blanc - ETHINYLESTRADIOL 0.03 mg
comprim blanc
- LACTOSE MONOHYDRATE excipient
- AMIDON DE MAIS excipient
- POLYVIDONE K 25 excipient
- TALC excipient et enrobage
- STEARATE DE MAGNESIUM excipient
- SACCHAROSE enrobage
- POLYVIDONE K 90 enrobage
- MACROGOL 6000 enrobage
- CARBONATE DE CALCIUM enrobage
- CIRE E enrobage
Forme 2
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE- NORETHISTERONE ACETATE 2 mg
comprim vert - ETHINYLESTRADIOL 0.04 mg
comprim vert
- LACTOSE MONOHYDRATE excipient
- AMIDON DE MAIS excipient
- POLYVIDONE K 25 excipient
- TALC excipient et enrobage
- STEARATE DE MAGNESIUM excipient
- SACCHAROSE enrobage
- POVIDONE K90 enrobage
- MACROGOL 6000 enrobage
- CARBONATE DE CALCIUM enrobage
- GLYCEROL enrobage
- DIOXYDE DE TITANE enrobage
- OXYDE DE FER JAUNE colorant (enrobage)
- INDIGOTINE colorant (enrobage)
- CIRE E excipient
- CONTRACEPTIF HORMONAL (ESTROPROGESTATIF COMBINE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : G03A-A05.
Estroprogestatif combin minidos, biphasique, contenant 0.03 mg d’thinylestradiol et 1 mg d’actate de northistrone puis 0.04 mg d’thinylestradiol et 2 mg d’actate de northistrone.
L’indice de Pearl de cet estroprogestatif (nombre de grossesses pour 100 annes-femmes) est de 0.01.
*** Proprits Pharmacocintiques :
– Ethinylestradiol :
L’thinylestradiol est rapidement et presque compltement absorb par le tractus gastro-intestinal. Il subit un important effet de premier passage hpatique. Par voie orale, sa biodisponibilit moyenne est de 40 45%.
Au niveau plasmatique, l’thinylestradiol se lie exclusivement l’albumine.
Aprs administration orale, le pic plasmatique d’thinylestradiol est atteint en 60 180 minutes.
La demi-vie de l’thinylestradiol est comprise entre 6 et 31 heures.
L’thinylestradiol subit principalement une hydroxylation aromatique, mais une grande varit de mtabolites hydroxyls et mthyls sont forms, que l’on retrouve sous forme libre ou conjugue. L’thinylestradiol conjugu est excrt par la bile et subit un cycle entrohpatique.
40% du produit sont limins dans les urines et 60% dans les selles.
– Actate de northistrone :
L’actate de northistrone est pralablement mtabolis en northistrone. La demi-vie plasmatique de la northistrone varie entre 6.5 et 12 heures.
Au niveau plasmatique, la northistrone se lie l’albumine avec une faible affinit et la SHBG avec une forte affinit.
Plus de la moiti de l’actate de northistrone administr est excrt par voie urinaire, essentiellement sous forme glucuronoconjugue. L’excrtion fcale est faible, car il existe souvent un cycle entrohpatique.
- ***
Contraception orale. - CONTRACEPTION ORALE
- INFARCTUS DU MYOCARDE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - PHLEBITE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - EMBOLIE PULMONAIRE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - HYPERTENSION ARTERIELLE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - THROMBOSE VASCULAIRE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - HYPERTRIGLYCERIDEMIE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - HYPERCHOLESTEROLEMIE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - DIABETE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - MASTODYNIE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - MASTOPATHIE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - ADENOME HYPOPHYSAIRE A PROLACTINE (RARE)
Eventuellement rvl par une galactorrhe.
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - GALACTORRHEE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - CEPHALEE (RARE)
– Si les cphales sont importantes et inhabituelles : effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement.
– Si les cphales sont banales : incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - MIGRAINE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - VERTIGE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - TROUBLE DE LA VISION (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - COMITIALITE(AGGRAVATION) (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - ADENOME HEPATIQUE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - ICTERE CHOLESTATIQUE (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - CHLOASMA (RARE)
Effet rare mais svre devant faire interrompre le traitement. - NAUSEE (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - POIDS(AUGMENTATION) (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - IRRITABILITE (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - JAMBE LOURDE (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - TENSION MAMMAIRE (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - METRORRAGIE (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - OLIGOMENORRHEE (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - AMENORRHEE (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - TROUBLE DE LA LIBIDO (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - INTOLERANCE AUX LENTILLES DE CONTACT (FREQUENT)
Incident plus frquent mais mineur, n’empchant pas habituellement la poursuite du traitement mais pouvant faire envisager un changement du type d’estroprogestatif. - ACNE (RARE)
- SEBORRHEE (RARE)
- HYPERTRICHOSE (RARE)
- LITHIASE BILIAIRE
- AMENORRHEE POST-THERAPEUTIQUE
Condition(s) Exclusive(s) :
ARRET DU TRAITEMENT
ANTECEDENTS DE CYCLES IRREGULIERSDes amnorrhes avec anovulation (survenant plus volontiers chez les femmes ayant des antcdents de cycles irrguliers) peuvent s’observer l’arrt du traitement. Elles cdent en gnral spontanment. En cas de prolongation, avant toute nouvelle prescription, la recherche d’une ventuelle pathologie hypophysaire s’impose.
- MISE EN GARDE
– Risque thromboembolique artriel et veineux :
Avant la prescription d’une contraception orale estroprogestative, il importe de rechercher systmatiquement les facteurs de risque thromboembolique artriel et veineux et de prendre en compte les contre-indications ou prcautions d’emploi.
La survenue de symptmes pouvant faire craindre l’imminence d’une complication impose l’arrt du traitement : cphales importantes et inhabituelles, troubles oculaires, lvation de la tension artrielle, signes cliniques de phlbite et d’embolie pulmonaire.
* Risque thromboembolique veineux :
Des tudes pidmiologiques ont montr que l’utilisation d’un contraceptif oral augmente faiblement le risque thromboembolique veineux. Cependant, ce risque est infrieur celui associ la grossesse.
De plus, chez les utilisatrices de contraceptifs oraux de 3me gnration contenant un progestatif tel que dsogestrel ou gestodne, une lgre augmentation du risque thromboembolique veineux, par rapport aux femmes utilisant une contraception orale de 2me gnration comprenant un progestatif tel que lvonorgestrel, lynestrnol ou northistrone, a t observe dans certaines tudes pidmiologiques.
Ces rsultats pourraient tre en partie expliqus par des biais ou des facteurs de confusion. En particulier, l’augmentation apparente du risque pourrait tre due une prescription prfrentielle des contraceptifs oraux de 3me gnration des femmes prsentant plus de risques de dvelopper des thromboses veineuses.
Les facteurs de risque thromboemboliques veineux sont :
. les antcdents personnels thromboemboliques avec ou sans facteur dclenchant, l’obsit (indice de masse corporelle > 30 kg/m2) qui sont des contre-indications.
. l’intervention chirurgicale, l’alitement et le post-partum :
En cas d’intervention chirurgicale prvue, il convient d’interrompre l’estroprogestatif un mois l’avance.
En cas d’immobilisation prolonge, le traitement sera galement interrompu.
En post-partum jusqu’au retour de couches, il est souhaitable d’utiliser une autre mthode contraceptive (contraception mcanique ou contraception orale progestative microdose);
. les antcdents familiaux :
En cas d’antcdents familiaux thromboemboliques veineux (ayant touch un ou plusieurs sujets de moins de 50 ans), il peut tre utile, avant la prescription de la contraception estroprogestative, de rechercher une anomalie favorisant la thrombose veineuse;
. les varices.
* Risque thromboembolique artriel :
Les donnes disponibles sur le risque d’infarctus du myocarde ne permettent pas de conclure un risque diffrent entre les utilisatrices de contraceptifs oraux de 2me et de 3me gnration, mais un risque moindre pourrait exister chez les utilisatrices de contraceptifs oraux de 3me gnration.
Le risque thromboembolique artriel associ la prise de contraceptifs oraux augmente avec l’ge et le tabagisme. C’est pourquoi les femmes de plus de 35 ans sous contraceptif oral doivent imprativement cesser de fumer.
Les autres facteurs de risque thromboembolique artriel sont :
. certaines affections cardiovasculaires (HTA, coronaropathies, valvulopathies, troubles du rythme thrombognes), le diabte, les dyslipidmies, qui sont des contre-indications;
. l’ge : le risque thrombotique artriel augmentant avec l’ge, le rapport bnfice/risque de cette contraception devra tre rvalu individuellement partir de 35 ans.
– Cancers gyncologiques :
Une mta-analyse regroupant les donnes de 54 tudes internationales a mis en vidence une lgre augmentation du risque de cancer du sein chez les utilisatrices de contraceptifs oraux.
L’augmentation du risque ne semble pas dpendante de la dure d’utilisation ni de l’existence de facteurs de risque tels que la nulliparit et les antcdents familiaux de cancer du sein. Cette augmentation est transitoire et disparat 10 ans aprs l’arrt de son utilisation.
La surveillance clinique plus rgulire des femmes sous contraceptif oral, permettant un diagnostic plus prcoce, pourrait jouer un rle important dans l’augmentation du nombre de cancers du sein diagnostiqus.
Les donnes publies ne sont pas de nature remettre en cause l’utilisation des contraceptifs oraux dont les bnfices sont nettement suprieurs aux risques ventuels.
Par ailleurs, la contraception orale diminue le risque de cancer de l’ovaire et de l’utrus (endomtre). - CONTROLE MEDICAL
Un examen mdical est ncessaire avant et en cours de traitement; les contrles porteront essentiellement sur : poids, tension artrielle, seins, appareil gnital, frottis cervicovaginaux, triglycridmie et cholestrolmie, glycmie. - SURVEILLANCE PARTICULIERE
Condition(s) Exclusive(s) :
EPILEPSIE
MIGRAINE
ASTHME
ANTECEDENTS VASCULAIRES ARTERIELS
VARICESUne surveillance attentive doit tre exerce chez les patientes prsentant : pilepsie, migraine, asthme, antcdents vasculaires artriels familiaux et varices.
- TROUBLES DIGESTIFS INTERCURRENTS
La survenue de troubles digestifs intercurrents dans les 4 heures suivant la prise, tels que vomissements ou diarrhe svre, peut entraner une inefficacit transitoire de la mthode, et imposer la conduite tenir prconise en cas d’oubli de moins de 12 heures. Si ces pisodes se rptent sur plusieurs jours, il est alors ncessaire d’associer une autre mthode contraceptive, en particulier de type mcanique (prservatif masculin, spermicides…), jusqu’ la reprise de la plaquette suivante. - METRORRAGIE
Des mtrorragies et des spottings peuvent apparatre, plus particulirement pendant les premiers mois d’utilisation. Ils cessent en gnral spontanment et il n’y a pas lieu d’interrompre le traitement. Si ces saignements persistent ou apparaissent pour la premire fois aprs une utilisation prolonge, la recherche d’une ventuelle cause organique s’impose. - EXPOSITION AU SOLEIL
En cas de chloasma apparu lors d’une grossesse, il est recommand d’viter les expositions solaires. - GROSSESSE
Ce mdicament n’est pas indiqu pendant la grossesse.
En clinique, la diffrence du dithylstilbestrol, les rsultats de nombreuses tudes pidmiologiques permettent d’carter, ce jour, un risque malformatif des estrognes seuls ou en association, en dbut de grossesse.
Par ailleurs, les risques portant sur la diffrenciation sexuelle du foetus (en particulier fminin), risques dcrits avec d’anciens progestatifs trs andrognomimtiques, n’ont pas lieu d’tre extrapols aux progestatifs rcents comme celui prsent dans cette spcialit, nettement moins, voire pas du tout, andrognomimtiques.
En consquence, la dcouverte d’une grossesse sous estroprogestatifs n’en justifie pas l’interruption.
- INFARCTUS DU MYOCARDE
- ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL
- PHLEBITES
- EMBOLIE PULMONAIRE(ANTECEDENT)
- HYPERTENSION ARTERIELLE
- CORONAROPATHIE
- VALVULOPATHIE
- TROUBLES DU RYTHME THROMBOGENES
- ACCIDENTS OCULAIRES D’ORIGINE VASCULAIRE
- DIABETE
Compliqu de micro- ou de macro-angiopathie. - CANCER DU SEIN
- CANCER DE L’UTERUS
- AFFECTIONS HEPATIQUES SEVERES
Ou rcentes. - TUMEUR HYPOPHYSAIRE
- HEMORRAGIES GENITALES NON DIAGNOSTIQUEES
- CONNECTIVITE
- PORPHYRIE
- ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
* Association contre-indique :
– Ritonavir :
Risque de diminution de l’efficacit contraceptive par diminution des concentrations en estrognes. Utiliser une autre mthode contraceptive.
* Associations dconseilles :
– Inducteurs enzymatiques : anticonvulsivants (phnobarbital, phnytone, primidone, carbamazpine), rifabutine, rifampicine, grisofulvine : Diminution de l’efficacit contraceptive par augmentation du mtabolisme hpatique pendant le traitement et un cycle aprs l’arrt du traitement. Utiliser de prfrence une autre mthode contraceptive, en particulier de type mcanique.
– Modafinil : risque de diminution de l’efficacit contraceptive pendant le traitement et un cycle aprs l’arrt du traitement par le modafinil en raison de son potentiel inducteur enzymatique. Utiliser des contraceptifs oraux normodoss ou une autre mthode contraceptive. - TABAGISME (relative)
- HYPERLIPIDEMIE (relative)
- OBESITE (relative)
Indice de masse corporelle = poids/(taille)2 > ou = 30 kg/m2. - OTOSCLEROSE (relative)
- TUMEUR BENIGNE DU SEIN (relative)
- HYPERPLASIE UTERINE (relative)
- FIBROME UTERIN (relative)
- HYPERPROLACTINEMIE (relative)
Avec ou sans galactorrhe. - INSUFFISANCE RENALE (relative)
- CHOLESTASE (relative)
Rcurrente. - PRURIT GRAVIDIQUE(ANTECEDENTS) (relative)
- HERPES GRAVIDIQUE (relative)
- ALLAITEMENT (relative)
En cas d’allaitement, l’utilisation de ce mdicament est dconseille en raison du passage des estroprogestatifs dans le lait maternel.
Si la femme dsire allaiter, un autre moyen de contraception doit tre propos.
Signes de l’intoxication :
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Prendre rgulirement et sans oubli un comprim blanc par jour au mme moment de la journe, pendant onze jours conscutifs puis un comprim vert pendant dix jours conscutifs, avec un arrt de sept jours entre chaque plaquette de
vingt et un comprims.
– Dbut de contraception orale :
Premier comprim prendre le premier jour des rgles.
– Relais d’un autre estroprogestatif :
Premier comprim : aprs un arrt de sept jours si la prcdente plaquette contenait vingt et un
comprims, de six jours si elle en contenait vingt deux, et sans intervalle si elle en contenait vingt huit.
En cas d’absence d’hmorragie de privation pendant les six ou sept jours qui suivent l’arrt de la pilule prcdente, s’assurer de l’absence de
grossesse avant de commencer le traitement.
** Cas d’oubli d’un ou plusieurs comprims :
L’oubli d’un comprim expose un risque de grossesse.
Si l’oubli est constat dans les douze heures qui suivent l’heure habituelle de la prise, prendre
immdiatement le comprim oubli, et poursuivre le traitement normalement en prenant le comprim suivant l’heure habituelle.
Si l’oubli est constat plus de douze heures aprs l’heure normale de la prise, la scurit contraceptive n’est plus assure.
Prendre immdiatement le dernier comprim oubli et poursuivre le traitement contraceptif oral jusqu’ la fin de la plaquette, en utilisant simultanment une mthode contraceptive de type mcanique (prservatifs, spermicides…) jusqu’ la reprise de la
plaquette suivante, y compris pendant les rgles.