DICYNONE 250 mg/2 ml solution injectable

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DICYNONE 250 mg/2 ml solution injectable

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 17/11/1997

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – 141 MD


    Forme : SOLUTION INJECTABLE

    Usage : adulte, enfant et nourrisson

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : SYNTHELABO FRANCE

    Produit(s) : DICYNONE

    Evénements :

    1. mise sur le marché 1/1/1965
    2. octroi d’AMM 22/5/1967
    3. publication JO de l’AMM 29/9/1967
    4. validation de l’AMM 22/4/1987

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 303088-1

    6
    ampoule(s)
    2
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 15/7/1965
    2. inscription SS 7/6/1974


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 9.50 F

    Prix public TTC : 16.30 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. HEMOSTATIQUE (AUTRE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : B02B-X01.
      Antihémorragique et vasculoprotecteur.
      Amélioration de l’adhésivité plaquettaire et restauration de la résistance capillaire.
      * Propriétés Pharmacocinétiques :
      Chez l’homme :
      Voie injectable : 1 heure après injection (IV ou IM) de 500 mg d’étamsylate, on obtient une concentration plasmatique de 30 mcg/ml. Les demi-vies plasmatiques sont respectivement de 1.9 heures (IV) et 2.1 heures (IM). Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est élevé : il est de l’ordre de 95%. L’étamsylate est éliminé essentiellement par voie urinaire, sous forme inchangée (>80%).

    1. ***
      Proposé
      * En médecine :
      – saignements par fragillité capillaire,
      – ménorragies sans cause organique décelable.
      * En chirurgie générale ou spécialisée (ORL, ophtalmologie, gynécologie) :
      – diminution des pertes sanguines au cours des interventions chirurgicales, en particulier hémorragies en nappe, malades sous anti-coagulants.
    2. HEMORRAGIE
    3. FRAGILITE CAPILLAIRE
    4. MENORRAGIE

    1. FIEVRE
    2. CEPHALEE
    3. ERUPTION CUTANEE
    4. NAUSEE
    5. VOMISSEMENT
    6. DIARRHEE

    1. PRESENCE DE SULFITES
    2. FIEVRE
      L’apparition d’une fièvre impose l’arrêt du traitement.
    3. GROSSESSE
      Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.

      En clinique aucun effet malformatif ou foetotoxique n’est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à l’étamsylate est insuffisant pour exclure tout risque.

      En conséquence, l’utilisation de l’étamsylate ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
    4. ALLAITEMENT
      En l’absence de données sur le passage dans le lait maternel, l’allaitement est déconseillé pendant la durée du traitement.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAMUSCULAIRE

    – 2 – INTRAVEINEUSE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    * adultes :
    – en urgence : deux à trois ampoules, trois fois par jour, par voie intraveineuse ou intramuscumlaire.
    – en pré-opératoire : une heure avant l’intervention, deux ampoules par voie intraveineuse ou intramuscumlaire.
    – en
    per-opératoire : à la demande.
    – en post-opératoire : une ampoule par voie intraveineuse ou intramuscumlaire, deux fois par jour.
    * nourrissons et enfants :
    Même schéma thérapeutique que chez l’adulte en réduisant la posologie de moitié.
    .
    .
    Mode
    d’emploi :
    Le soluté injectable peut être utilisé :
    – par voie orale : dilué dans un demi-verre d’eau.
    – localement : en tamponnements.


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