VIDARABINE

VIDARABINE

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/1/2000
Etat : valide

  • Identification de la substance
  • Propriétés Pharmacologiques
  • Mécanismes d’action
  • Effets Recherchés
  • Indications thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Effets sur la descendance
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie & mode d’administration
  • Pharmaco-Cinétique
  • Bibliographie
  • Spécialités contenant la substance

    Identification de la substance

    Formule Chimique :
    AMINO-6 BETA-D-ARABINOFURANNOSYL-9 9H-PURINE

    Ensemble des dénominations

    DCF : VIDARABINE

    DCIR : VIDARABINE

    autre dnomination : ADENINE ARABINOSIDE

    autre dnomination : ARA-A

    autre dnomination : CI-673

    bordereau : 2395

    sel ou driv : VIDARABINE MONOPHOSPHATE

    Classes Chimiques


    Regime : liste I

    1. ANTIVIRAL (principale certaine)
      HERPES VIRUS,POXVIRUS, VIRUS B DE L’HEPATITE

    Mécanismes d’action

    1. principal
      Inhibition assez slctive de la synthse de l’ADN du virus par inhibition de l’ADN polymrase virale.

    1. ANTIVIRAL (principal)

    1. HERPES (principale)
      Cutano-muqueux chez les immunodprims :
      – J Infect Dis 1984;149:1.
    2. HERPES NEONATAL (principale)
      Sel de vidarabine non prcis :
      – N Engl J Med 1991;324:444-449.
    3. CONJONCTIVITE HERPETIQUE (principale)
      Voie locale :
      – Bull Soc Ophtalmol Fr 1979;79:761.
    4. KERATITE HERPETIQUE (principale)
      Voie locale :
      – Br J Ophthalmol 1985;69:847-850.
    5. ENCEPHALITE HERPETIQUE (principale)
      Voie locale.
    6. VARICELLE (secondaire)
      Chez les immunodprims :
      – Nouv Presse Med 1982;11:3547.
    7. ZONA (secondaire)
      Chez les immunodprims :
      – Nouv Presse Med 1982;11:3547.
    8. HEPATITE CHRONIQUE A VIRUS B (principale)
      – Gastroenterology 1984;86:150-157.
      Essai contrl :
      – Gastroenterol Clin Biol 1987;11:568-573.
      L’interfron alpha lymphoblastode et la vidarabine auraient une efficacit comparable chez les patients Ag HbC ngatifs (essai randomis) :
      – J Med Virol 1996;49:325-328.
    9. PERIARTERITE NOUEUSE (principale)
      Dans les formes lies au virus de l’hpatite B.
      Traitement en association avec les changes plasmatiques :
      – Presse Med 1988;17:1522-1526.
      – Presse Med 1988;17:1527-1532.

    1. NAUSEE (CERTAIN RARE)
    2. VOMISSEMENT (CERTAIN RARE)
    3. DIARRHEE (CERTAIN RARE)
    4. TREMBLEMENT (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES

      Pour des doses suprieures 20 milligrammes par kilogramme et par jour.

    5. POIDS(DIMINUTION) (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES

      Pour des doses suprieures 20 miligrammes par kilogramme et par jour.

    6. ANEMIE MEGALOBLASTIQUE (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES

      Pour des doses suprieures 20 milligrammes par kilogramme et par jour.

    7. THROMBOPENIE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES

      Pour des doses suprieures 30 milligrammes par kilogramme et par jour.

    8. LEUCOPENIE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES

      Pour des doses suprieures 30 milligrammes par kilogramme et par jour.

    9. DOULEUR MUSCULAIRE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES
      TRAITEMENT PROLONGE

      Souvent trs intense et prolong malgr l’arrt du traitement.
      Gnralement la rgression est complte bien que trs lente.

    10. NEUROPATHIE PERIPHERIQUE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES
      TRAITEMENT PROLONGE

      Chez plus de 20 % des sujets :
      – J Antimicrob Chemother 1984;14:93.
      – Presse Med 1985;14:1154.
      Gnralement la rgression est complte bien que trs lente.

    11. ATAXIE (A CONFIRMER )
    12. PARESTHESIE (A CONFIRMER )
    13. ENCEPHALOPATHIE (A CONFIRMER )

    1. TERATOGENE CHEZ L’ANIMAL
      – N Engl J Med 1980;302:903.
    2. MUTAGENE
      – N Engl J Med 1980;302:903.
    3. INFORMATION MANQUANTE DANS L’ESPECE HUMAINE
      – N Engl J Med 1980;302:903.

    1. GROSSESSE
    2. ENFANT

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE

    – 2 – OCULAIRE

    Posologie et mode d’administration

    Doses usuelles :
    – Instillation conjonctivale :
    Dans les krato-conjonctivites herptiques caractrises par une kratite dendritique ou dans les ulcres cornens en carte de gographie : pommade trois pour cent applique cinq fois par jour. La
    rpithlisation s’effectue en 7 10 jours.
    Le traitement sera poursuivi une semaine aprs la rpithlisation afin de prvenir une rcurrence de l’infection.
    – Voie intraveineuse :
    Perfusion de dix vingt milligrammes par kilogramme et par jour
    pendant 5 10 jours.

    Pharmaco-Cinétique

    – 1 –
    DEMI VIE
    4
    heure(s)

    – 2 –
    ELIMINATION
    voie rnale

    Absorption
    Rsorbe par la peau.
    En instillation conjonctivale, ne se retrouve dans l’humeur aqueuse qu’en cas de lsion cornenne.

    Répartition
    Dans tous les tissus, surtout le foie, les reins et la rate.
    Passe dans le LCR : 50% du taux srique.

    Demi-Vie
    La demi-vie d’limination est d’environ 4 heures.

    Métabolisme
    Subit une dsamination en arabinosyle-hypoxanthine possdant une activit antivirale moins marque
    Transformation dans le srum et les rythrocytes.

    Elimination
    * Voie rnale :
    60% de la dose sont limins dans les urines sous forme d’arabinosyle-hypoxanthine et sous forme inchange.

    Bibliographie

    – N Engl J Med 1980;302:903.
    – N Engl J Med 1983;309:963-970.
    – N Engl J Med 1983;309:1034-1039.*
    – Drug Saf 1994;10:281-291. (EFFETS SECONDAIRES)*

    Spécialités

    Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr

    Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :


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