MINOCYCLINE CHLORHYDRATE

MINOCYCLINE CHLORHYDRATE

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 27/3/2001
Etat : valide

  • Identification de la substance
  • Propriétés Pharmacologiques
  • Mécanismes d’action
  • Effets Recherchés
  • Indications thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Effets sur la descendance
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie & mode d’administration
  • Pharmaco-Cinétique
  • Bibliographie
  • Spécialités contenant la substance

    Identification de la substance

    Formule Chimique :
    chlorhydrate de 4,7-bis(dimthylamino)-1,4,4a,5,5a,6,11,12a-octahydro-3,10,12,12a-ttrahydroxy-1,11-dioxo-2-naphtacnecarboxamide

    Ensemble des dénominations

    BANM : MINOCYCLINE HYDROCHLORIDE

    CAS : 13614-98-7

    DCIMr : CHLORHYDRATE DE MINOCYCLINE

    autre dnomination : CHLORHYDRATE DE MINOCYCLINE

    bordereau : 1871

    dcim : chlorhydrate de minocycline

    rINNM : MINOCYCLINE HYDROCHLORIDE

    sel ou driv : CHLORTETRACYCLINE

    sel ou driv : DEMECLOCYCLINE

    sel ou driv : DOXYCYCLINE

    sel ou driv : METACYCLINE

    sel ou driv : OXYTETRACYCLINE

    sel ou driv : PENIMEPICYCLINE

    sel ou driv : ROLITETRACYCLINE

    sel ou driv : TETRACYCLINE

    sel ou driv : LYMECYCLINE

    sel ou driv : ETAMOCYCLINE

    Classes Chimiques

    Molécule(s) de base : MINOCYCLINE

    Regime : liste I

    1. ANTIBIOTIQUE (principale certaine)
      Spectre d’activit antibactrienne dtermin par la commission d’AMM:
      * Espces habituellement sensibles :
      Brucella, Pasteurella, Hemophilus influenzae,
      Chlamydiae, Mycoplasma pneumoniae, Ureaplasma urealyticum,
      Rickettsies, C. burnettii, Leptospira,
      Treponema pallidum, Borrelia burgdorferi,
      Propionebacterium acnes.
      * Espces inconstamment sensibles.
      Le pourcentage de rsistance acquise est variable. La sensibilit est donc imprvisible en l’absence d’antibiogramme.
      Neisseria gonorrhoeae, Vibrio cholerae.
    2. ANTIBACTERIEN (principale certaine)
    3. ANTIBIOTIQUE ANTIBACTERIEN (principale certaine)
    4. ANTIINFLAMMATOIRE (secondaire certaine)
      Drug Saf 2000;22:405-414

    Mécanismes d’action

    1. principal
      Action sur la synthse protique des bactries en inhibant la fixation de l’amino-acyl-T-RNA sur le ribosome 30S.
      Inhibition de nombreux systmes enzymatiques microbiens par chlation des cations des mtaux bivalents.
      Rsistance extra-chromosomique par plasmide R chez les staphylocoques, les pneumocoques, les streptocoques, les entrobactries, les bacilles Gram-.
      Rsistance croise partielle avec les autres ttracyclines.
      Le pourcentage de souches sensibles est trs diffrent d’une espce l’autre.
      L’activit anti-inflammatoire reposerait sur l’inhibition des mtalloprotases de la matrice extracellulaire. Aurait galement une activi immunomodulatrice sur les leucocytes :
      – Drug Saf 2000:22:405-414.

    1. ANTIBACTERIEN (principal)
    2. ANTIBIOTIQUE (principal)
      Essentiellement bactriostatique.

    1. ACNE (principale)
    2. BRUCELLOSE (principale)
      En association avec la rifampicine.
    3. CHOLERA (principale)
    4. RICKETTSIOSE (principale)
    5. TYPHUS EPIDEMIQUE (principale)
    6. TYPHUS MURIN (principale)
    7. FIEVRE BOUTONNEUSE (principale)
    8. FIEVRE POURPREE DES MONTAGNES ROCHEUSES (principale)
    9. FIEVRE Q (principale)
    10. INFECTION A MYCOPLASMA (principale)
    11. ORNITHOSE (principale)
    12. PSITTACOSE (principale)
    13. MALADIE DES GRIFFES DU CHAT (principale)
    14. BORRELIOSE (principale)
    15. URETRITE A CHLAMYDIA (principale)
    16. URETRITE AMICROBIENNE (principale)
    17. INFECTION CUTANEE A GERMES SENSIBLES (principale)
    18. INFECTION PERITONEALE (principale)
    19. LEPRE LEPROMATEUSE (principale)
      Etude sur huit cas :
      – Br Med J 1992;304:91-92.
      Autre publication :
      – J Infect Dis 1993;168:188-190.
    20. INFECTION DES VOIES BILIAIRES (secondaire)
    21. GONOCOCCIE (secondaire)
    22. PROSTATITE (secondaire)
    23. SYPHILIS NEUROLOGIQUE ( confirmer)
      Serait utile chez les malades allergiques la pnicilline:
      – N Engl J Med 1997;337:1322-1323.
    24. POLYARTHRITE RHUMATOIDE (secondaire)
      Serait active dans les formes modres (Essai randomis positif) :
      – Ann Intern Med 1995,122:81-89.
      – Ann Intern Med 1995,122:147-148.
      L’activit serait lie un effet sur les mycoplasmes qui pourraient constituer un facteur tiologique de la polyartrite rhumatode (essai contrl portant sur 219 patients) :
      – Ann Intern Med 1995;122:81-89.
      Amlioration chez 65% des patients aprs 6 mois de traitement (100 mg 2 fois par jour) – Essai contrl chez 46 patients :
      – Arthritis Rheum 1997;40:842-848.
      – Arthritis Rheum 1997;40:794-796.
      Rsultats positifs chez 38 sujets ayant reu de la minocycline une phase prcoce :
      – Arthritis Rheum 1999;42:1691-1695.
      Revue gnrale de cette indication :
      – J Clin Rheumatol 1999;5:233-237.
      Efficacit dmontre dans 3 tudes contrles, en particulier lors d’administration prcoce dans des formes lgres :
      – Drug Saf 2000;22:405-414.
    25. SCLERODERMIE ( confirmer)
      Rsolution complte des lsions cutanes chez 3 sujets sur 11 aprs 1 an de traitement:
      – Lancet 1998;332:1755.
      Etude pilote chez 11 malades atteints de formes prcoces diffuses de sclrodermie systmique , suggrant l’efficacit de la minocycline:
      – Lancet 1998;352:1755-1756.

    1. VERTIGE (CERTAIN )
      Pourrait tre corrig par la prise de vitamine B6 :
      – Arzneimittelforschung 1988;38:396-399.
      Affecterait 40% des patients :
      – Ann Intern Med 1995;122:1-4.
      Autre rfrence :
      – ADRAC Bull 1996;15:14.
    2. RASH (CERTAIN )
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE

      -JAMA 1973;224:125-126.

    3. CUTIS LAXA (A CONFIRMER )
      Un cas, associ une hyperpigmentation. Le relchement cutan affectait la face, le tronc et les cuisses chez une femme de 37 ans :
      – Am J Med 2000;109:340-341.
    4. COLORATION DE LA LANGUE (CERTAIN )
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE

      Un cas de coloration rouge de la langue, aprs une semaine de traitement, rversible l’arrt :
      – Arch Dermatol 1995;131:620.

    5. COLORATION DE LA BOUCHE (CERTAIN RARE)
      Pigmentation de la cavit buccale : 2 cas lis des dpts du produit aprs des traitements de 11 mois et 3 ans respectivement :
      – J Am Acad Dermatol 1994;30:350-354.
      Pigmentation de la cavit buccale chez prs de 10% des patients traits 100 mg/j ou plus pendant 6 mois ou plus. L’incidence augmente avec la dure du traitement (20% aprs 4 ans). La pigmentation bien qu’attnue, persiste aprs 1 an d’interruption :
      – Lancet 1997;349:400.
      Coloration bleue ou bleu-noir des muqueuses chez 10% des malades aprs un an d’utilisation et de 20% aprs 4 ans :
      – Lancet 1997;349:400.
      Un cas de pigmentation bleu noire de la rgion priorale aprs 6 ans de traitement.
      – Arch Dermatol 1997;133:1344-1346.
    6. COLORATION DE LA PEAU (CERTAIN )
      Pigmentation gris-bleu de la peau au niveau des ulcrations cutanes aprs prise orale de minocycline :
      – JAMA 1980;244,10:1103.
      Trs rares cas dcrits, pour une dose totale absorbe de 60 g:
      – Ann Dermatol Venereol 1986;113:227-233.(2 cas),
      – Ann Dermatol Venereol 1981;108,11:871-875.
      en association l’amitryptyline:
      – J Am Acad Dermatol 1985;12:577.
      ou en association l’acide 13 cis rtinoque.
      Quatorze cas. Gnralement grise mais parfois bleue ou brune :
      – Austr Adv Drug React Bull 1993;12:6.
      Pigmentation cutane noire ou grise, 17 cas rapports la vigilance australienne :
      – ADRAC Bull 1996;15:14.
    7. COLORATION DES MUQUEUSES (CERTAIN )
    8. COLORATION DES ONGLES (A CONFIRMER )
      Un cas de mlanonychie aprs six mois d’utilisation pour une acne, associ des taches brunes au niveau de lsions cutanes dans le dos du sujet, non rversible en sept mois :
      – Br J Dermatol 1994;130:794-795.
    9. COLORATION DES DENTS (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Coloration bruntre pouvant se voir chez l’enfant ou l’adulte (quatre cas dcrits dont un aprs un traitement de quatre semaines) :
      – JAMA 1985;254:2930-2932.
      Un cas chez l’adulte; coloration bleu noire par dpt superficiel, rversible:
      -Ann Pharmacother 1998;32:887-889.
      Coloration brune ou noirtre aprs une exposition pendant la grossesse. Gnralement irrversible :
      – Prescrire 2000;20:37-38.

    10. COLORATION DES SECRETIONS (A CONFIRMER )
      Un cas de coloration noire du lait associe la prsence de concentration anormalement leves en fer; un autre cas aurait dj t rapport :
      – Br J Dermatol 1996;134:943-944.
    11. GLOSSITE (CERTAIN )
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE
    12. CANDIDOSE BUCCALE (CERTAIN )
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE
    13. NAUSEE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE

      – Arch Int Med 1976;136:761-762.

    14. VOMISSEMENT (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE
    15. DOULEUR EPIGASTRIQUE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE
    16. ULCERATION OESOPHAGIENNE (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas :
      – Presse Med 1989;18:541.
      Survenu lors de prise de glule sans eau, dcubitus.
    17. TROUBLE DE LA MEMOIRE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE
    18. SYNDROME VESTIBULAIRE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE

      – Lancet 1974;23:1260.
      – Lancet 1974;28:744-746.

    19. CEPHALEE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE
    20. TROUBLE DE LA VISION (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE ORALE
    21. NEUTROPENIE (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      CHEZ L’ENFANT
    22. PORPHYRIE CUTANEE(AGGRAVATION) (CERTAIN )
    23. HYPERTENSION INTRACRANIENNE (CERTAIN )
      – Eur Neurology 1978;17:48-49.
      – Br Med J 1981;282:19.
      Un cas :
      – Rev Neurol 1988;144:218-220.
      Autre publication :
      – Therapie 1992;47:403-407.
      Hypertension intracranienne (bnigne) :
      – Curr Ther 1995;36:70-71.
      Deux cas d’hypertension intracranienne bnigne rapports la vigilance australienne :
      – ADRAC Bull 1996;15:14.
    24. FIEVRE (A CONFIRMER )
      Un cas avec retour de la fivre lors de la r-introduction du produit :
      – Postgrad Med J 1990;66:404-405.
    25. SYNDROME LUPIQUE (CERTAIN )
      Premier cas (3 cas ont dj t rapports avec d’autres ttracyclines) :
      – Lancet 1992;340:1553.
      Un cas, aprs trois ans d’utilisation pour acn :
      – Br J Rheumatol 1994;33:1197-1198.
      Un cas :
      – Br J Dermatol 1995;132:120-121.
      Un cas aprs deux ans de traitement :
      – Br J Rheumatol 1995;34:398.
      Onze cas rapports de syndromes lupiques avec manifestations systmiques et articulaires prdominantes, rgressant l’arrt du traitement, selon un rapport de la pharmacovigilance du Royaume Uni :
      – BMJ 1996;312:169-172.
      Un cas :
      – Arch Dermatol 1996;132:934-939.
      Un cas dcrit :
      – Am J Gastroenterol 1997;92:143-146.
      Un cas chez une fille traite pour acn, rversible l’arrt du traitement (14 autres cas rapports) :
      – Ann Pharmacother 1997;31:1160-1163.
      Etude rtrospective canadienne :
      – Arch Dermatol 1997;133:1224-1230.
      Un cas aprs 5 mois de traitement pour une acn chez une adolescente. Rapidement rversible l’arrt :
      – Ann Pharmacother 1997;31:1160-1163.
      Cinq cas chez des adolescentes traites pour une acn :
      – Pediatrics 1998;101:926-928.
      L’utilisation de la minocycline dans l’acn augmenterait de 8,5 fois de risque de syndrome lupique (52 cas sur 100 000 prescriptions) :
      – Arch Intern Med 1999;159:493-497.
      Un cas l’origine d’une insuffisance respiratoire :
      – Chest 1999;115:1471-1473.
      Editorial :
      – Rev Med Int 1999;20:869-862.
      Quatre cas rapports :
      – Rev Med Int 1999;20:869-874.
      Revue gnrale :
      – Dermatology 2000;200:223-231.
    26. NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE AIGUE (A CONFIRMER )
      – Br Med J 1979;6162:525.
    27. PROTEINURIE (A CONFIRMER )
      – Br Med J 1979;6162:525.
    28. INSUFFISANCE RENALE AIGUE (A CONFIRMER )
      – Br Med J 1979;6162:525.
    29. EOSINOPHILIE (A CONFIRMER )
      – JAMA 1982;250:2602.
    30. INFILTRAT PULMONAIRE (A CONFIRMER )
      – JAMA 1982;250:2602.
    31. PNEUMONIE A EOSINOPHILES (CERTAIN )
      Huit cas dcrits :
      – Arch Intern Med 1994;154:1633-1640.
      Un cas de pneumopathie alergique, aprs neuf jours de traitement, rversible en une semaine aps arrt du traitement :
      – Neth J Med 1994;44:210-213.
      Un nouveau cas :
      – Presse Med 1996;25:1801.
      Un cas associ des manifestations extrapulmonaires :
      – Ann Pharmacother 1997;31:736-737.
    32. PNEUMONIE INTERSTITIELLE (CERTAIN RARE)
      Mcanisme d’hypersensibilit:
      – Ann Intern Med 1992;117:476-481.
      – Neth J Med 1994;44:210-213.
      6 cas dcrits:
      – Chest 1979;76:33-34.
      Un nouveau cas dcrit, 30 cas cits:
      – Presse Med 1997;26:1671-1672.
    33. TOXICITE HEPATIQUE (CERTAIN )
      – Gastroenterol Clin Biol 1995;19:640-641.
      Seize cas rapports la pharmacovigilance britannique :
      – BMJ 1996;312:138.
      27 cas rapports la pharmacovigilance australienne :
      – Aust Adv Drug React Bull 1996;15:14.
      Revue des cas publis ou rapports (558 cas) :
      – Drug Saf 2000;23:333-339.
    34. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (A CONFIRMER )
      – Arch Intern Med 1984;144:1491-1492.
    35. STEATOSE HEPATIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas :
      – Arch Intern Med 1984;144:1491-1492.
    36. HEPATITE FULMINANTE (A CONFIRMER )
      – Pharmacotherapy 1992;12:68-71.
      Un cas chez une adolescente traite pour une acn, ayant ncessit une transplantation (trois autres cas auraient t dj dcrits) :
      – Transplant Proc 1993;25:1873.
      Un cas chez une jeune femme traite pendant 3 ans pour une acn, ncessitant une greffe de foie :
      – Am J Gastroenterol 2000;95:560-561.
    37. HEPATITE AIGUE (CERTAIN )
      Condition(s) Favorisante(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE

      Parfois grave et mortelle :
      – BMJ 1996;312:169-172.
      Six cas d’hpatite aigu cytolytique, chez des sujets traits pou acn depuis 4 semaines 2 ans, normalisation des enzymes e, 8 38 semaines aprs l’arrt :
      – Am J Gastroenterol 1996;91:1641-1643.
      Autre rfrence :
      – Arch Intern Med 1984;144:1491-1492.
      Un cas dcrit d’hpatite aigu cytolytique :
      – Am J Gastroenterol 1997;92:143-146.

    38. HEPATITE CHRONIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas dcrit :
      – Am J Gastroenterol 1996;91:1641-1643.
    39. HEPATITE CHOLESTATIQUE (CERTAIN )
      Un cas dcrit associ une neutropnie:
      – J Clin Gastroenterol 1998;27:74-75.
    40. HEPATITE AUTO-IMMUNE (CERTAIN )
      Onze cas rapports avec rfrences selon un rapport de la pharmacovigilance du Royaume Uni :
      – BMJ 1996;312:169-172
      Un cas associ un lupus rythmateux aprs 2 ans de traitement pour une acn :
      – J Am Acad Dermatol 1997;36:867-868.
      Autre rfrence :
      – J Rheumatol 1998;25:1653-1654.
      3 cas dcrits, 18 cas cits :
      – Arch Pediatr Adolesc Med 1998;152:1132-1136.
      – Semin Arthritis Rheum 1999;28:392-397.
      – J Rheumatol 1999 ; 26 : 1420-1421.
      Editorial :
      – Rev Med Interne 1999;20:869-862.
      Quatre cas rapports :
      – Rev Med Interne 1999;20:869-874.
      Un cas rapport :
      – Rev Med Interne 1999;20:930-933.
      Quatre cas dcrits :
      – Am J Clin Pathol 2000;114:591-598.
    41. PANCREATITE AIGUE (A CONFIRMER )
      2 cas rapports:
      – Gastreoenterol Clin Biol 1998;22:555-556.
    42. CHOC ANAPHYLACTIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas associ des manifestations cutanes gnralises, dbutant 30 minutes aprs la prise orale :
      – Acta Dermatol Venereol 1996;76:164.
    43. REACTION D’HYPERSENSIBILITE (CERTAIN )
      Deux cas avec fivre, rythme gnralis, lymphadnopathie, aprs 9 et 14 jours de traitement :
      – Arch Dermatol 1996;132:934-939.
      Pourrait tre plus frquente chez les sujets de race noire :
      – Lancet 1997;349:1252.
      Raction d’hypersensibilit et raction type maladie du srum (tude rtrospective canadienne) :
      – Arch Dermatol 1997;133:1224-1230.
      2 cas de pseudo-maladie srique:
      – Presse Med 1998;27:261-262.
      Un cas avec hpatite mixte et pricardite, rversibles l’arrt :
      – Ann Pharmacother 2000;34:875-877.
    44. OEDEME ANGIONEUROTIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas aprs 3 semaines de traitement d’une acn :
      – J Invest Allergol Clin Immunol 1999:9:403-404.
    45. MALADIE SERIQUE (CERTAIN )
      – Semin Arthritis Rheum 1999 ; 28 : 392-397.
    46. VASCULARITE (A CONFIRMER )
      2 cas la suite de traitements prolongs (9 mois et 2 ans) pour acn :
      – South Med J 1998;91:S24.
      – Semin Arthritis Rheum 1999 ; 28 : 392-397.
    47. DOULEUR MUSCULAIRE (A CONFIRMER )
      Un cas :
      – Presse Med 2000;29:1703-1704.
    48. DOULEUR ARTICULAIRE (A CONFIRMER )
      3 cas chez des jeunes filles traites pour acn depuis 11 mois ou plus. Rgressif l’arrt du traitement :
      – Presse Med 1999;28:1105-1108.
    49. ANTICORPS ANTINUCLEAIRES(AUGMENTATION) (A CONFIRMER )
      3 cas chez des jeunes filles traites pour acn depuis 11 mois ou plus. Rgressif l’arrt du traitement :
      – Presse Med 1999;28:1105-1108.
    50. LUPUS ERYTHEMATEUX AIGU DISSEMINE(AGGRAVATION) (CERTAIN )
      – Semin Arthritis Rheum 1999 ; 28 : 392-397.
      – J Rheumatol 1999 ; 26 : 1420-1421.
    51. SYNDROME MONONUCLEOSIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas dcrit :
      – Cutis 1999;64:91-96.
    52. PERICARDITE (CERTAIN )
      Un cas avec association d’une hpatite mixte dans le cadre d’une raction d’hypersensibilit :
      – Ann Pharmacother 2000;34:875-877.

    1. COLORATION DES DENTS
      Risque de coloration jaune permanente des dents en cas d’administration pendant leur priode de dveloppement.

    1. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
      Adapter les doses en cas d’ictre cholostatique.
    2. INSUFFISANCE RENALE

    1. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE SEVERE
    2. GROSSESSE
    3. ALLAITEMENT
      Mdicament prsent dans le lait, prescrire avec prudence.
      Risque de dyschromie dentaire.
    4. ENFANT DE MOINS DE 8 ANS

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    – 2 – INTRAMUSCULAIRE

    – 3 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    Posologie et mode d’administration

    Dose usuelle par voie orale:
    – chez l’adulte:
    Deux cents milligrammes par jour en 2 prises.
    – chez l’enfant de plus de 8 ans:
    Quatre milligrammes par kilo de poids et par jour.

    Dose usuelle par voie intramusculaire:
    – chez l’adulte:
    Deux cents
    milligrammes par jour en 2 injections; le solvant de l’intramusculaire contient de la lidocane: ne pas utiliser en IV.
    – chez l’enfant de plus de 8 ans:
    Quatre milligrammes par kilo et par jour.

    Dose usuelle par voie intraveineuse:
    En perfusion
    uniquement, ne pas utiliser d’intraveineuse directe:
    – chez l’adulte:
    Deux cents milligrammes par jour en 2 perfusions.
    – chez l’enfant de plus de 8 ans:
    Quatre milligrammes par kilo et par jour en 2 perfusions.

    Dose usuelle dans l’acn:
    Cent
    milligrammes par jour.

    Pharmaco-Cinétique

    – 1 –
    REPARTITION
    76
    %
    lien protines plasmatiques

    – 2 –
    REPARTITION
    lait

    – 3 –
    DEMI VIE
    12
    à 13
    heure(s)

    – 4 –
    ELIMINATION
    voie rnale

    – 5 –
    ELIMINATION
    voie fcale

    – 6 –
    ELIMINATION
    hmodialyse

    – 7 –
    ELIMINATION
    dialyse pritonale

    Absorption
    Absorption incomplte par le tube digestif (75%).
    Les aliments diminuent la biodisponibilit d’environ 15 % :
    – DMJ 1996;312:1101.

    Répartition
    *Voie orale : pic du taux srique entre la deuxime et la quatrime heure atteignant 1 2 mcg/ml prs une prise de 100 mg.
    *Voie intramusculaire : pic du taux srique 6 heures atteignant 0,9 mcg/ml aprs une injection de 100 mg et pic du taux srique
    2 heures atteignant 1,52 mcg/ml aprs une injection de 200 mg.
    *Voie veineuse : pic du taux srique voisin de 3 6 mcg/ml aprs injection de 100 mg.
    Liaison aux protines plasmatiques : 76%.
    Bonne diffusion intra et extracellulaire.
    Diffusion large
    dans les tissus, os, dents et sreuses l’exception des mninges.
    Cycle entro-hpatique avec forte concentration biliaire.
    Franchit la barrire placentaire et passe dans le lait.
    Fixation lective sur cellules tumorales et tissus d’inflammation
    chronique ncrosante entranant une fluorescence caractristique en lumire ultra-violette utilise dans le diagnostic des carcinomes osseux et gastriques.

    Demi-Vie
    La demi-vie se sirtue entre 12 et 13 heures.

    Métabolisme
    50% sous forme de mtabolite inactif.

    Elimination
    *Voie rnale : 5 10% de la dose administre sont limins en 24 heures.
    Clairance rnale : 10 ml/min.
    *Voie fcale.
    *Hmodialyse.
    *Dialyse pritonale.

    Bibliographie

    – Drugs 1975;9:251-291.
    – Ther Drug Monit 1982;4:137-145.
    – Clin Pharmacokinet 1988;15:355-366. (Pharmacocintique)

    Spécialités

    Pour rechercher les spcialits contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr

    Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :


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