THEOLAIR LP 175 mg comprimés
THEOLAIR LP 175 mg comprimés
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 15/12/1999
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
code expérimentation – 3372
Forme : COMPRIMES A LIBERATION PROLONGEE
Etat : commercialisé
Laboratoire : 3M SANTEProduit(s) : THEOLAIR
Evénements :
- octroi d’AMM 16/6/1981
- publication JO de l’AMM 10/10/1981
- mise sur le marché 1/1/1982
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 325461-7
1
boîte(s)
30
unité(s)
blancEvénements :
- agrément collectivités 28/1/1983
- inscription SS 28/1/1983
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 48
mois
Régime : aucune listeRéglementation des prix :
remboursé
65 %
Prix Pharmacien HT : 9.97 F
Prix public TTC : 17.10 F
TVA : 2.10 %
Composition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE
- THEOPHYLLINE 175 mg
- LACTOSE excipient
- CELLACEFATE excipient
- STEARATE DE MAGNESIUM excipient
- ANTIASTHMATIQUE V. GENER. (XANTHINE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : R03D-A04.
Par relaxation des muscles lisses, la théophylline s’oppose aux effets de nombreux médiateurs bronchoconstricteurs et provoque accessoirement une relaxation des muscles lisses des voies urinaires et biliaires.
Analeptique respiratoire, psychostimulant, agent convulsivant à hautes doses.
Stimulant cardiaque, vasodilatateur coronarien, la théophylline augmente les besoins en oxygène du coeur : pour cette raison elle est considérée comme un coronarodilatateur `malin`.
Antiréaginique bronchique par inhibition de la dégranulation des mastocytes.
-
Asthme à dyspnée paroxystique, asthme à dyspnée continue, formes spastiques des bronchopneumopathies obstructives chroniques.
- NERVOSITE
Associée à une légère agitation. Ces troubles cèdent le plus souvent spontanément. - INSOMNIE
Ces troubles cèdent le plus souvent spontanément. - TACHYCARDIE
Ephémère, ces troubles cèdent le plus souvent spontanément. - PESANTEUR EPIGASTRIQUE
Associée à des nausées. Ces troubles cèdent le plus souvent spontanément. - NAUSEE
En début de traitement, ces effets signalent une intolérance digestive d’emblée à la théophylline, qui doit être interrompue au profit d’une autre thérapeutique. - VOMISSEMENT
En début de traitement, ces effets signalent une intolérance digestive d’emblée à la théophylline, qui doit être interrompue au profit d’une autre thérapeutique. - DOULEUR EPIGASTRIQUE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - DIARRHEE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - CEPHALEE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - TREMBLEMENT
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - EXCITATION PSYCHOMOTRICE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - TACHYCARDIE PERMANENTE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie.
- JEUNE ENFANT
Utiliser avec grande prudence chez le jeune enfant qui est extrêmement sensible à l’action des xanthines : la prescription de théophylline ou de ses dérivés peut être dangereuse (séquelles neurologiques irréversibles et décès signalés pour des doses de 20 mg/kg en suppositoires) . - ENFANT
Posologie prudente. - INSUFFISANCE CARDIAQUE
- INSUFFISANCE CORONARIENNE
- HYPERTHYROIDIE
- INSUFFISANCE HEPATIQUE
Au besoin réduire les doses. - ANTECEDENTS COMITIAUX
- ETAT FEBRILE
- OBESITE
- ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF
Des données expérimentales ont montré que la théophylline a un effet stimulant sur la sécrétion gastrique. - GROSSESSE
En cas d’administration en fin de grossesse, possibilité de tachycardie, hyperexitabilité chez le nouveau né.
Traitement
– Signes chez l’enfant : agitation, logorrhée, confusion mentale, vomissements répétés, hyperthermie, tachycardie, parfois troubles du rythme cardiaque, convulsions, hypotension, troubles respiratoires, hyperventilation puis dépression respiratoire,
rarement ulcérations digestives avec hémorragie.
– Signes chez l’adulte : convulsions, hyperthermie et arrêt cardiaque.
– Traitement : lavage gastrique, réanimation en milieu spécialisé.Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Chez l’adulte : quatre comprimés par jour à répartir en deux prises équivalentes et équidistantes (en moyenne douze milligrammes par kilogramme par vingt quatre heures) .
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Posologie Particulière :
– Tester la sensibilité
individuelle en fonction de l’efficacité et des effets indésirables en commençant par des doses de l’ordre de cinq puis huit puis dix milligrammes par kilogramme par vingt quatre heures.
– Des doses plus élevées peuvent être nécessaires notamment chez
l’enfant pour obtenir un taux efficace mais sous contrôle de la théophyllinémie ( dix à quinze microgrammes par millilitre ; ne pas dépasser vingt microgrammes par millilitre) .
– Obésité : adapter la posologie au poids idéal.
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Mode d’Emploi
:
Utiliser avec grande prudence chez le jeune enfant :
La prescription de théophylline ou de ses dérivés peut être dangereuse (séquelles neurologiques irréversibles et décès signalés pour des doses de vingt quinze milligrammes par kilogramme en
suppositoires) . Un surdosage peut résulter de doses inappropriées (au besoin fractionner les présentations) , de prises répétées à intervalles trop courts, par potentialisation par des médicaments associés ( cf. interactions médicamenteuses) en raison
des grandes variations inter-individuelles du métabolisme de la théophylline , il est nécessaire d’adapter les doses en fonction, des réactions indésirables et/ou des taux sanguins (cf.posologie et mode d’emploi) .
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Incompatibilité Physico-Chimique
:
Celles de la théophylline.