METHYLDOPA RPG 250 mg comprimés

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METHYLDOPA RPG 250 mg comprimés

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 29/5/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – EQUIBAR


    Forme : COMPRIMES PELLICULES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : RPG AVENTIS

    Produit(s) : METHYLDOPA RPG

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 22/12/1980
    2. publication JO de l’AMM 20/1/1981
    3. mise sur le marché 15/12/1982

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 339945-1

    3
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/alu
    blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 6/3/1996
    2. inscription SS 25/4/1996
    3. mise sur le marché 3/6/1996


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix public TTC : 18.40 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 339946-8

    10
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/alu
    blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 6/3/1996
    2. inscription SS 25/4/1996
    3. mise sur le marché 3/6/1996


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix public TTC : 43.20 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIHYPERTENSEUR CENTRAL (METHYLDOPA) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : C02A-B01.
      Effet probablement du à la transformation métabolique en alphaméthylnoradrénaline qui abaisse la tension artérielle en stimulant les récepteurs centraux alpha-adrénolytiques en jouant le rôle de `faux neurotransmetteur` et/ou réduisant l’activité rénine plasmatique.


    1. Hypertension artérielle (modérée ou sévère) .

    1. CELLULES LE
      Tests positifs
    2. ANTICORPS ANTINUCLEAIRES(AUGMENTATION)
      Recherche positive
    3. FACTEUR RHUMATOIDE(AUGMENTATION)
      Recherche positive
    4. SEDATION
      Habituellement transitoire, se manifestant en début de traitement ou lors de l’augmentation des doses.
    5. CEPHALEE
    6. ASTHENIE
    7. PARESTHESIE
    8. SYNDROME PARKINSONIEN
    9. MOUVEMENT ANORMAL
      Chez les malades atteints d’une affection cérébrovasculaire grave.
      Interrompre le traitement.
    10. TROUBLE PSYCHIQUE
    11. CAUCHEMAR
    12. PSYCHOSE
      Transitoire.
    13. DEPRESSION
      Réversible.
    14. SENSATION DE VERTIGE
    15. HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE
      Baisser la posologie quotidienne.
    16. BRADYCARDIE
    17. ANGOR
      Aggravation.
    18. OEDEME
      Arrêter le traitement si les oedèmes s’accentuent ou s’il apparait des signes d’insuffisance cardiaque.
    19. POIDS(AUGMENTATION)
    20. NAUSEE
    21. VOMISSEMENT
    22. SENSATION DE BALLONNEMENT
    23. CONSTIPATION
    24. FLATULENCE
    25. DIARRHEE
    26. SECHERESSE DE LA BOUCHE
      Modérée.
    27. COLORATION DE LA LANGUE
      Coloration noire
    28. PANCREATITE
    29. GLANDES SALIVAIRES(INFLAMMATION)
    30. TEST DE COOMBS POSITIF
      La pratique d’un test de Coombs direct peut être utile à titre systématique pour détecter une auto-immunisation latente.
      Elle est indispensable en cas d’anémie pour confirmer le mécanisme auto-immun de l’hémolyse.
    31. ANEMIE HEMOLYTIQUE
    32. LEUCOPENIE
      Réversible.
    33. GRANULOPENIE
    34. THROMBOPENIE
    35. REACTION ALLERGIQUE
    36. FIEVRE
      Peut être le signe d’une réaction allergique. Suspendre le traitement.
    37. ICTERE
      Avec ou sans fièvre, pouvant s’installer en général dans les 2 ou 3 premiers mois du traitement. Cet ictère est habituellement du à une nécrose hépatocellulaire. On a rapporté quelques cas mortels.
      Les biopsies hépatiques effectuées chez plusieurs malades ayant des troubles fonctionnels hépatiques ont révélé une nécrose focale microscopique susceptible d’être le fait d’une hypersensibilité médicamenteuse. Dans quelques cas, un ictère cholestatique a été observé.

    1. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      Explorer la fonction hépatique, faire pratiquer une numération et une formule sanguine à intervalle régulier au cours des 6 à 12 premières semaines du traitement, ou s’il apparait une fièvre inexpliquée.

      Interrompre le traitement en cas de fièvre, d’anomalie des tests hépatiques ou d’un ictère.
    2. TROUBLES HEMATOLOGIQUES
      Explorer la fonction hépatique, faire pratiquer une numération et une formule sanguine à intervalle régulier au cours des 6 à 12 premières semaines du traitement, ou s’il apparait une fièvre inexpliquée.

      Interrompre le traitement en cas de fièvre, d’anomalie des tests hépatiques ou d’un ictère.
    3. TRANSFUSION SANGUINE
      Pratiquer un test de Coombs direct. S’il révèle que les hématies du patient sont incompatibles avec le sérum du donneur, pratiquer un test de Coombs indirect. Si celui-ci est négatif, on peut transfuser le sang du patient avec le sérum du receveur. Toutefois, si le test de Coombs indirect est positif, l’opportunité de transfuser un sang dont les hématies sont compatibles avec le sérum du receveur doit être appréciée par un hématologue ou un expert en problèmes transfusionnels.
    4. INSUFFISANCE RENALE
      Diminuer les doses.
    5. DIALYSE
      Elimine la méthyldopa et peut être suivie d’une apparition de l’hypertension artérielle.
    6. SUJET AGE
      En raison de leur sensibilité (méthyldopa) utiliser des doses faibles.
    7. PHEOCHROMOCYTOME
    8. GROSSESSE
      La méthyldopa a été utilisée sous contrôle médical et obstétrical sévère dans le traitement de l’hypertension artérielle au cours de la grossesse. Il n’a pas été cliniquement prouvé que la méthyldopa ait provoqué des anomalies foetales ou porte atteinte au nouveau-né.

      (elle traverse la barrière placentaire)

      Bien qu’on n’ait observé aucun effet tératogène évident, la possibilité d’une atteinte foetale ne peut être exclue et l’utilisation du médicament chez les femmes enceintes exige que l’on mette en balance au préalable les avantages escomptés et les risques éventuels.
    9. ALLAITEMENT
      Passage de la méthyldopa dans le lait maternel.

      Utilisation chez les femmes qui allaitent après avoir mis en balance les avantages et les risques éventuels.

    1. HYPERSENSIBILITE
    2. ANEMIE HEMOLYTIQUE
    3. ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL RECENT
    4. ACCIDENT CORONARIEN RECENT
      Cérébraux.
    5. ETAT DEPRESSIF
      Confirmé.
    6. HEPATITE
      Aiguë et chronique.
    7. CIRRHOSE
      Sévère.
    8. ANTECEDENT D’HEPATITE MEDICAMENTEUSE
    9. PORPHYRIE

    Traitement

    Surdosage aigu :
    – Signes : le surdosage aigu peut se manifester par :
    . une hypotension aiguë, . des troubles d’origine cérébrale : sédation, sensation de faiblesse, bradycardie, impression de tête vide.
    . des troubles gastro-intestinaux : constipation,
    ballonnement abdominal, flatulence, diarrhée, nausées, vomissements.
    – Traitement :
    . pas d’antidote spécifique; . lavage gastrique ou induction de vomissements si l’ingestion est récente; . perfusion si l’ingestion est moins récente afin de favoriser
    l’excrétion urinaire.
    Surveillance : rechercher l’installation éventuelle d’un ileus paralytique.
    – Mesures thérapeutiques symptomatiques :
    . veiller au maintien du rythme et du débit cardiaque de la volémie, de l’équilibre électrolytique, de la
    fonction urinaire; . administrer si besoin des symptathomimétiques : noradrénaline, adrénaline, bitartrate de métaraminol.
    Surdosage chronique :
    – Signes: le surdosage chronique peut se manifester par une hypotension ou des syncopes surtout s’il existe
    une artériosclérose avancée.
    – Traitement : interrompre l’administration de la méthyldopa.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Début de traitement : deux cent cinquante milligrammes deux ou trois fois par jour, pendant les quarante huit premières heures.
    On peut ensuite réajuster la posologie dans le sens d’une augmentation ou une baisse des doses (chaque
    réajustement devant de préférence être séparé du précédent par un intervalle de quarante huit heures au moins) .
    – Relais d’un autre traitement antihypertenseur : posologie limitée au début à cinq cents milligrammes au plus par jour, augmentée en
    fonction des besoins.


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