IMEGUL gélules

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IMEGUL gélules

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 28/4/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : ARKOPHARMA

    Produit(s) : IMEGUL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 30/4/1998
    2. publication JO de l’AMM 22/12/1998
    3. mise sur le marché 25/2/1999

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 345882-8

    2
    plaquette(s) thermoformée(s)
    10
    unité(s)
    PVC/alu
    transparente

    Evénements :

    1. mise sur le marché 15/3/1999


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES
    EVITER L’HUMIDITE

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 17 F

    Prix public TTC : 28.20 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. LAXATIF STIMULANT (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A06A-B57.
      Ce médicament associe un laxatif modifiant les échanges hydroélectrolytiques intestinaux et stimulant la motricité colique à un laxatif modificateur de la consistance des selles.
    2. PHYTOTHERAPIE (accessoire)
      Bibliographie : Classe BIAM/ATC : V03A-X10.

    1. ***
      Traitement de courte durée de la constipation occasionnelle.
    2. CONSTIPATION

    1. DIARRHEE
    2. METEORISME
      Condition(s) Favorisante(s) :
      COLOPATHIE
    3. DOULEUR ABDOMINALE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      COLON IRRITABLE
    4. KALIEMIE(DIMINUTION)
    5. COLORATION DE L’URINE
      Parfois, coloration anormale des urines sans signification clinique.

    1. MISE EN GARDE
      Le traitement médicamenteux de la constipation n’est qu’un adjuvant au traitement hygiénodiététique :

      – enrichissement de l’alimentation en fibres végétales et en boissons (eau);

      – conseils d’activité physique et de rééducation de l’exonération.

      * Enfa :

      Chez l’enfant, la prescription de laxatifs irritants doit être exceptionnelle : elle doit prendre en compte le risque d’entraver le fonctionnement normal du réflexe d’exonération.

      * Traitement prolongé :

      Une utilisation prolongée d’un laxatif est déconseillée (ne pas dépasser 8 à 10 jours de traitement).

      La prise prolongée de dérivés anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :

      – la maladie des laxatifs avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydroélectrolytiques avec hypokaliémie, elle est très rare;

      – une situation de dépendance avec besoin régulier de laxatifs, nécessité d’augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage; cette dépendance, de survenue variable selon les patients peut se créer à l’insu du médecin.
    2. MEGACOLON
      En cas de mégacolon par altération dela motricité colique, la prescription doit être prudente (risque de fécalome).
    3. ALITEMENT PROLONGE
      La prescription doit être prudente (risque de fécalome).
    4. SUJET AGE
      Chez les personnes âgées, s’assurer que la ration hydrique est suffisante.
    5. GROSSESSE
      Il n’y a pas de données fiables de tératogénèse chez l’animal.

      En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n’est apparu à ce jour.

      Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque.

      En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse.
    6. ALLAITEMENT
      L’utilisation de ce médicament est déconseillée durant l’allaitement.

    1. COLOPATHIES ORGANIQUES INFLAMMATOIRES
      De type rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn…
    2. SYNDROME OCCLUSIF
    3. SYNDROME SUBOCCLUSIF
    4. SYNDROME DOULOUREUX ABDOMINAL D’ETIOLOGIE INCONNUE
    5. FECALOME
    6. DESHYDRATATION SEVERE
      Avec déplétion électrolytique.
    7. ENFANTS DE MOINS DE 10 ANS
    8. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Associations déconseillées :
      – Médicaments donnant des torsades de pointes :
      * antiarythmiques : amiodarone, brétylium, disopyramide, quinidiniques, sotalol.
      * non antiarythmiques : astémizole, bépridil, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sultopride, terfénadine, vincamine.
      Risque de torsades de pointes : l’hypokaliémie est un facteur favorisant de même que la bradycardie et un espace QT long préexistant.
      Utiliser un laxatif non stimulant.

    Traitement

    La posologie ne doit pas excéder deux gélules.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Réservé à l’adulte.
    – Une gélule, le soir au coucher.
    – La posologie peut être portée à deux gélules par jour si nécessaire.
    – La durée du traitement ne doit pas excéder huit à dix jours.
    .
    Mode d’emploi :
    – A prendre avec un grand
    verre d’eau, la durée du traitement ne doit pas dépasser dix jours.


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