LAROFERON 3 M UI solution injectable (arrêt de commercialisation)

Donnez-nous votre avis

LAROFERON 3 M UI solution injectable (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 14/11/1995
Dernière mise à jour : 6/11/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SOLUTION INJECTABLE

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : PRODUITS ROCHE

    Produit(s) : LAROFERON

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 30/12/1994
    2. publication JO de l’AMM 24/3/1995
    3. mise sur le marché 8/2/1996
    4. arrêt de commercialisation 26/10/2000

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 338502-9

    1
    flacon(s)
    1
    ml
    verre

    Evénements :

    1. inscription SS 8/2/1996
    2. agrément collectivités 1/3/1996
    3. radiation SS 14/10/2001
    4. radiation collectivités 14/10/2001


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Matériel complémentaire : 1 seringue + 2 aiguilles

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER AU REFRIGERATEUR
    A L’ABRI DE LA LUMIERE
    NE PAS CONGELER

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 24
    heure(s)

    CONSERVER ENTRE +2 ET +8 DEGRES C

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 338503-5

    12
    flacon(s)
    1
    ml
    verre

    Evénements :

    1. inscription SS 8/2/1996
    2. agrément collectivités 1/3/1996
    3. radiation SS 14/10/2001
    4. radiation collectivités 14/10/2001


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Matériel complémentaire : 12 seringues + 24 aiguilles

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER AU REFRIGERATEUR
    A L’ABRI DE LA LUMIERE
    NE PAS CONGELER

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 24
    heure(s)

    CONSERVER ENTRE +2 ET +8 DEGRES C

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Conditionnement 3

    Numéro AMM : 342537-8

    6
    flacon(s)
    1
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 3/9/1997
    2. inscription SS 3/9/1997
    3. mise sur le marché 2/10/1997
    4. radiation SS 14/10/2001
    5. radiation collectivités 14/10/2001


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Matériel complémentaire : 6 seringues + 12 aiguilles

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER AU REFRIGERATEUR
    A L’ABRI DE LA LUMIERE
    NE PAS CONGELER

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 24
    heure(s)

    CONSERVER ENTRE +2 ET +8 DEGRES C

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. IMMUNOMODULATEUR (INTERFERON) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : L03A-B04.
      Laroferon a démontré qu’il possédait de nombreuses propriétés de l’interféron-alfa naturel humain. Laroferon exerce ses effets anti-viraux en induisant une résistance cellulaire aux infections virales et en modulant les effecteurs du système immunitaire de façon à neutraliser les virus ou éliminer les cellules infectées par le virus.
      Contrairement à d’autres protéines humaines, de nombreux effets de l’interféron alfa-2a disparaissent lorsqu’il est testé sur d’autres espèces animales. Toutefois, une activité significative contre le virus de la vaccine a été induite chez des singes rhésus pré-traités avec l’interféron alfa-2a.

    1. ***
      Laroferon est indiqué dans le traitement de l’hépatite chronique C (non A – non B) histologiquement prouvée, chez les patients n’ayant jamais été traités par interféron alfa et présentant des transaminases hépatiques élevées, en l’absence de cirrhose décomposée. L’effet est une réduction de l’activité de la maladie, chez les patients ayant été traités jusqu’à 12 mois.
    2. HEPATITE CHRONIQUE A VIRUS C

    1. SYNDROME PSEUDOGRIPPAL (FREQUENT)
      On retrouve chez la majorité des patients un syndrome pseudo-grippal avec fatigue, fièvre, frissons, perte d’appétit, myalgies, céphalées, arthralgie et sueurs. Ces effets secondaires aigus sont habituellement atténués, voire disparaissent sous paracétamol. Ils tendent à disparaître sous traitement. Cependant la poursuite du traitement peut conduire à un état de grande lassitude, à une sensation de faiblesse et de fatigue.
    2. TROUBLE DIGESTIF
      – Fréquents : anorexie, nausées.
      – Moins fréquemment : vomissements, altération du goût, perte de poids, diarrhées et douleurs abdominales d’intensité légère à modérée.
      – Rarement : constipation, flatulence, hypermotilité gastrique ou épigastralgies.
      La réactivation d’un ulcère gastrique ou des saignements gastro-intestinaux ne mettant pas en jeu le pronostic vital restent des cas isolés.
    3. TROUBLE HEPATIQUE
      Une élévation des transaminases (ALAT), mais aussi des phosphatases alcalines, de la LDH et de la bilirubine a été notée. De rares cas d’hépatites ont été rapportés.
    4. TROUBLE NEUROLOGIQUE
      – Etourdissements, vertiges, troubles de mémoire, somnolence, troubles du sommeil peuvent survenir peu fréquemment.
      – Possibilité d’états confusionnels, voire de coma, notamment chez le sujet âgé.
      – Rarement : effets indésirables cérébro-vasculaires ou impuissance temporaire.
      – Des états dépressifs avec des idées ou conduites suicidaires ont été décrits.
    5. NEUROPATHIE PERIPHERIQUE (PEU FREQUENT)
      Des paresthésies, engourdissements, neuropathies, tremblements peuvent se produire de façon occasionnelle.
    6. TROUBLE CARDIOVASCULAIRE (RARE)
      Certains troubles on été rarement observés :
      Il s’agissaient d’épisodes transitoires d’hypo et d’hypertension artérielle, d’oedème, de cyanose, d’arythmie, de palpitations ou de douleurs thoraciques.
      Des cardiomyopathies transitoires réversibles ont été observées chez des patients sans pathologie cardiaque pré-existante.
      De même, les cas d’insuffisance cardiaque congestive, d’infarctus du myocarde et d’arrêt cardio-respiratoire sont exceptionnels.
    7. TROUBLE RESPIRATOIRE (RARE)
      Des infiltrats pulmonaires et pneumopathies pouvant être fatals ont été décrits. De même, les cas d’oedème pulmonaire sont exceptionnels.
    8. TOXICITE CUTANEOMUQUEUSE (RARE)
      Des cas d’exacerbation d’herpès labial, de rash, de prurit, de sécheresse de la peau et des muqueuses, de rhinorrhée et d’épistaxis ont été rarement rapportés.
      Une alopécie légère à modérée peut survenir chez un malade sur cinq environ ; elle est réversible à l’arrêt du traitement.
      L’utilisation de l’interféron alfa a été rarement associée à l’exacerbation ou l’apparition d’un psoriasis.
      Une réaction locale au site d’injection est possible.
    9. TROUBLE RENAL (RARE)
      Dans de rares cas, une altération de la fonction rénale peut apparaître. Les pertubations électrolytiques sont généralement associées à une anorexie ou une déhydratation.
      Les troubles se traduisent particulièrement par une protéinurie et une augmentation du nombre des cellules dans le sédiment urinaire. Une élévation de l’urée sanguine, de la créatinine sérique et de l’acide urique sont peu fréquentes.
    10. TROUBLE DE L’HEMATOPOIESE
      Une leucopénie transitoire peut se produire chez 30 à 50% des patients traités. Chez les patients sans insuffisance médullaire, une thrombocytopénie et une baisse de l’hémoglobine et de l’hématocrite se produisent rarement. Ces effets secondaires disparaissent habituellement 7 à 10 jours après l’arrêt du traitement par laroferon.
    11. TROUBLE OCULAIRE (RARE)
      Des hémorragies rétiniennes, des nodules cotonneux et des occlusions des artères ou veines rétiniennes ont été rarement mis en évidence chez des patients traités par interféron alfa.
    12. DYSTHYROIDIE (RARE)
      De rares cas d’hyper ou d’hypothyroïdie non réversibles à l’arrêt du traitement ont été signalés. Ils répondent à un traitement conventionnel, suivant le taux de TSH.
    13. HYPOTHYROIDIE (RARE)
      De rares cas d’hyper ou d’hypothyroïdie non réversibles à l’arrêt du traitement ont été signalés. Ils répondent à un traitement conventionnel, suivant le taux de TSH.
    14. HYPERTHYROIDIE (RARE)
      De rares cas d’hyper ou d’hypothyroïdie non réversibles à l’arrêt du traitement ont été signalés. Ils répondent à un traitement conventionnel, suivant le taux de TSH.
    15. CALCEMIE(DIMINUTION) (FREQUENT)
      Une hypocalcémie minime, a été notée chez un patient sur deux environ.
    16. REACTION LOCALE
      Une réaction locale au site d’injection est possible.
    17. ANTICORPS ANTI-INTERFERON (FREQUENT)
      Des anticorps neutralisants ont été décelés chez environ un cinquième des patients traités. Jusqu’à présent, aucune conséquence clinique liée à leur présence n’a pu être clairement démontrée.

    1. MISE EN GARDE
      Des effets indésirables modérés à sévères peuvent imposer dans certains cas, l’interruption du traitement par Laroferon.

      Laroferon est susceptible d’être, dans de rares cas, à l’origine de :

      – réactions d’hypersensibilité aiguë (tels urticaire, angiooedème, bronchoconstriction, choc anaphylactique),

      – arythmies cardiaques, principalement supra ventriculaires, répondant habituellement bien au traitement conventionnel,

      – hypotension artérielle par déplétion hydrique,

      – infiltrats pulmonaires o pneumopathies d’étiologie non définie mais pouvant être fatals,

      – dépression, idées suicidaires ou tentatives de suicides,

      – états confusionnels chez les personnes âgés,

      – crises d’épilepsie,

      – troubles de fonctions thyroïdiennes à type d’hyperthyroï ou d’hypothyroïdie de mécanisme inconnu. Ces anomalies sont habituellement contrôlées par les traitements conventionnels, mais peuvent être réversibles à l’arrêt du traitement.

      – exacerbation de psoriasis préexistant,

      – troubles oculaires se manifestan par des modifications du champ visuel, de l’acuité visuelle ou par d’autres symptômes oculaires. La survenue de ces manifestations nécessite un examen ophtalmologique avec réalisation d’un fond d’oeil.

      Un syndrome pseudo-grippal (fievre, céphalées, arthralgies, myalgies, sueurs) survient très fréquemment en début de traitement et ne nécessite pas son interruption. Les symptômes sont en général attenués par le paracétamol.
    2. PRECAUTION GENERALE
      La spécialité Laroferon n’est pas adaptée à la prise en charge des patients :

      – ayant déjà été traités par interferon alfa,

      – co-infectés par le virus HIV,

      – co-infectés par le virus de l’hépatite B.
    3. TROUBLES RESPIRATOIRES
      Laroferon est à utiliser avec précaution chez des patients présentant une pathologie sous-jacente invalidante telle une pathologie respiratoire.
    4. DIABETE
      Laroferon est à utiliser avec précaution chez des patients présentant une pathologie sous-jacente invalidante tel un diabète mal équilibré.
    5. TROUBLES DE LA COAGULATION
      Laroferon est à utiliser avec précaution chez des patients présentant une pathologie sous-jacente invalidante tels des troubles de la coagulation.
    6. ANTECEDENTS CARDIAQUES
      Laroferon est à utiliser avec précaution chez des patients ayant des antécédents cardiaques, en particulier insuffisance cardiaque, infarctus du myocarde, troubles du rythme : des ECG seront réalisés avant la mise en route puis régulièrement pendant toute la durée du traitement.
    7. ANTECEDENTS PSYCHIATRIQUES
      Il est déconseillé de traiter par Laroferon les patients présentant des antécédents de troubles psychiatriques graves.
    8. PSORIASIS
      Laroferon est à utiliser avec précaution chez des patients présentant un psoriasis.
    9. EXAMENS PRELIMINAIRES
      Avant la mise en route du traitement, il est conseillé de réaliser un dosage des anticorps anti-thyroïdiens et de la TSH sérique et de mettre en route un traitement correcteur en cas de découverte d’anomalies de la fonction thyroïdienne. Un dosage de TSH doit être effectué en cas de survenue d’anomalies thyroïdiennes pendant le traitement. La surveillance de la TSH sérique pendant le traitement sera accrue en cas de présence d’anticorps anti-thyroïdiens.

      Les examens biologiques sanguins standard doivent être réalisés avant instauration du traitement, puis après deux et quatre semaines de traitement, puis tous les mois par la suite.

      – numération formule sanguine,

      – numération des plaquettes,

      – bilan électrolytique,

      – protides,

      – enzymes hépatiques,
      bilirubine,

      – créatinine.
    10. SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
      – Si les taux d’ALAT restent supérieurs à deux fois la valeur normale lors des contrôles biologiques systématiques effectués aux 3ème, 6ème et 9ème mois de traitement, il est recommandé d’adresser à nouveau le patient dans le service hospitalier ayant effectué la prescription initiale. Il sera alors décidé de l’opportunité de la poursuite du traitement. Il en sera de même si une élévation brutale des ALAT survient entre le 3ème et le 12ème mois de traitement.

      – Un dosage de TSH doit être effectué en cas de survenue d’anomalies thyroïdiennes pendant le traitement. La surveillance de la TSH sérique pendant le traitement sera accrue en cas de présence d’anticorps anti-thyroïdiens.

      – Les examens biologiques sanguins standard doivent être réalisés avant instauration du traitement, puis après deux et quatre semaines de traitement, puis tous les mois par la suite.

      – numération formule sanguine,

      – numération des plaquettes,

      – bilan électrolytique,

      – protides,

      – enzymes hépatiques,

      – bilirubine,

      – créatinine.
    11. RECOMMANDATION
      Maintenir une bonne hydratation pendant toute la durée du traitement.
    12. TROUBLES VISUELS
      Pratiquer un fond d’oeil en cas de troubles visuels.
    13. FIEVRE
      En cas de survnue de fièvre, possible sous Laroferon, écarter d’abord la possibilité d’autres causes de fièvre persistante.
    14. FEMME EN AGE DE PROCREER
      Une contraception efficace doit être utilisée.
    15. ENFANT
      L’efficacité n’ayant pas été démontrée, les avantages thérapeutiques seront évalués en regard des risques possibles.
    16. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Laroferon peut avoir un effet sur la capacité à réagir, ce qui peut gêner la conduite de véhicules ou l’utilisation de machines. Cet effet est variable selon le schéma thérapeutique utilisé et la sensibilité de chaque patient.
    17. GROSSESSE
      Les femmes traitées par Laroferon doivent recourir à une contraception efficace.

      Chez la femme, pendant la grossesse, le bénéfice thérapeutique attendu devra être estimé au regard du risque potentiel sur l’évolution de la grossesse. Bien que les tests effectués chez l’animal avec Laroferon ne mettent pas en évidence d’effets tératogènes, des conséquences dommageables pour le foetus ne peuvent être exclues. Un effet abortif a été observé chez les guenons rhésus en gestation, ayant reçu des doses très supérieures à celles recommandées en thérapeutique humaine.
    18. ALLAITEMENT
      En l’absence de données sur le passage du médicament dans le lait maternel, le choix entre l’arrêt de l’allaitement ou l’arrêt du traitement repose sur l’évaluation du bénéfice thérapeutique pour la mère.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
      Allergie connue à l’interféron alfa 2A ou à tout autre composant de la préparation.
    2. AFFECTIONS CARDIAQUES GRAVES
      Pré-existantes ou antécédents cardiaques connus. Aucun effet cardiotoxique direct n’a été démontré, mais les effets secondaires : fièvre ou frissons fréquemment associés à l’adminisration de Laroferon , peuvent aggraver une insuffisance cardiaque pré-existante.
    3. INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
    4. INSUFFISANCE MEDULLAIRE SEVERE
    5. ANTECEDENTS COMITIAUX
      Antécédents d’épilepsie et/ou atteinte des fonctions du SNC.
    6. HEPATITE CHRONIQUE
      – Accompagné de cirrhose du foie avec ascite ou insuffisance hépato-cellulaire.
      – Récemment traités ou en cours de traitement par des agents immunosuppresseurs en exception d’une corticothérapie de courte durée.
    7. HEPATITE AUTO-IMMUNE
    8. ANTECEDENTS DE MALADIE AUTO-IMMUNE
    9. TRAITEMENT IMMUNOSUPPRESSEUR
      Patients transplantés sous traitement immuno suppresseur.
    10. INSUFFISANCE THYROIDIENNE
      Troubles thyroïdiens pré-existants sauf s’ils sont contrôlés par des traitements conventionnels.

    Signes de l’intoxication :

    1. LETHARGIE
    2. ASTHENIE
    3. COMA

    Traitement

    Les effets d’un surdosage n’ont jamais été observés. Cependant, l’utilisation répétée de fortes doses d’interféron alfa peut être associée à une léthargie, une asthénie, une prostration ou un coma. Dans ce cas une hospitalisation doit être envisagée
    ainsi que la mise en route d’un traitement approprié. Les effets indésirables apparus sous Laroferon régressent habituellement avec les soins appropriés dans les jours suivants l’arrêt du traitement.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAMUSCULAIRE

    – 2 – SOUS-CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    La dose recommandée est de trois millions d’Unités Internationales admistrées en sous-cutané ou en intra-musculaire trois fois par semaine pendant une durée maximale de douze mois.
    Si les taux d’ALAT restent supérieurs à deux fois la
    valeur normale lors de contrôles biologiques systématiques effectués aux troisième, sixième, neuvième mois de traitement, il est recommandé d’adresser à nouveau le patient dans le service hospitalier ayant effectué la prescription initiale. Il sera
    alors décidé de l’opportunité de la poursuite du traitement.
    Il en sera de même si une élévation brutale des ALAT survient entre le troisième et le douzième mois de traitement.
    .
    Mode d’emploi :
    Précautions particulières de conservation :
    – Avant
    reconstitution :
    . à conserver à température comprise entre + 2 degré C et + 8 degré C (au réfrigérateur). Ne pas congeler.
    . le flacon peut être conservé à température ne dépassant pas 25 degré C pendant deux à quatre semaines, si l’utilisation
    clinique du produit le justifie. Si le produit conservé à température ne dépassant pas 25 degré C n’a pas été utilisé dans les quatre semaines, il doit être détruit.
    – Après reconstitution :
    . la solution reconstituée doit être utilisée dans les deux
    heures si elle est conservée à température ne dépassant pas 25 degré C ou dans les vingt quatre heures si elle est conservée à température comprise entre + 2 degré C et + 8 degré C (au réfrigérateur).
    . la solution reconstituée ne contient pas de
    conservateur, il est conseillé d’utiliser le flacon une seule fois.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts