DICLOFENAC SODIQUE RPG 25 mg comprimés enrobés gastro-résistants

Donnez-nous votre avis

DICLOFENAC SODIQUE RPG 25 mg comprimés enrobés gastro-résistants

Introduction dans BIAM : 10/3/1997
Dernière mise à jour : 22/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    No de Dossier d’AMM – NL21369


    Forme : COMPRIMES ENROBES GASTRORESISTANTS

    Usage : adulte, enfant + de 6 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : RPG AVENTIS

    Produit(s) : DICLOFENAC SODIQUE RPG

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 8/7/1996
    2. publication JO de l’AMM 10/12/1996
    3. mise sur le marché 24/2/1997
    4. rectificatif d’AMM 4/3/1999

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 340736-3

    2
    plaquette(s) thermoformée(s)
    15
    unité(s)
    PVC/alu

    Evénements :

    1. agrément collectivités 14/2/1997
    2. inscription SS 14/2/1997


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 11.41 F

    Prix public TTC : 19.20 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIINFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN (DERIVE ARYLACETIQUE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : M01A-B05.
      Le diclofénac est un anti-inflammatoire non stéroïdien dérivé de l’acide phénylacétique du groupe des acides arylcarboxyliques.
      Il possède les propriétés suivantes :
      – activité antalgique,
      – activité antipyrétique,
      – activité anti-inflammatoire,
      – inhibition de courte durée des fonctions plaquettaires.
      L’ensemble de ces propriétés est lié à une inhibition de la synthèse des prostaglandines.
      *** Propriétés Pharmacocinétiques :
      – Absorption :
      Le diclofénac est rapidement et totalement absorbé. La biodisponibilité par voie orale est de l’ordre de 50 % en raison de l’effet de premier passage hépatique.
      Les concentrations plasmatiques sont atteintes environ 2 heures après l’administration et se situent autour de 0,8 mg/l pour un comprimé à 25 mg.
      Les doses répétées ne conduisent à aucune accumulation de diclofénac dans le plasma.
      – Distribution :
      Le diclofénac est fortement lié aux protéines plasmatiques (> 99 %).
      Dans le plasma, la décroissance des concentrations de diclofénac est biphasique. Elle correspond à une phase rapide de distribution tissulaire et à une phase plus lente d’élimination.
      Le diclofénac diffuse dans le liquide synovial où les concentrations maximales sont mesurées 2 à 4 heures après le pic plasmatique. La demi-vie apparente d’élimination du liquide synovial est de 3 à 6 heures.
      Le diclofénac passe en faible quantité dans le lait maternel.
      – Métabolisme :
      Le diclofénac est métabolisé rapidement et pratiquement totalement, essentiellement au niveau du foie.
      Les principales voies de métabolisation sont l’hydroxylation et la glycuroconjugaison.
      Les métabolites obtenus sont dénués d’activité pharmacologique.
      – Excrétion :
      L’excrétion est à la fois urinaire et fécale.
      Moins de 1 % du principe actif est éliminé inchangé dans les urines. Environ 60 % de la quantité administrée est éliminé sous forme de métabolites dans les urines, le reste est éliminé dans les fèces.
      La demi-vie d’élimination plasmatique du diclofénac inchangé se situe autour de 1 à 2 heures. La clairance plasmatique totale est d’environ 263 ml/minute.
      * Variations physiopathologiques :
      La cinétique du diclofénac est linéaire dans l’intervalle de doses 25 à 150 mg. Les paramètres pharmacocinétiques ne sont pas modifiés par l’âge.

    1. ***
      Elles procèdent de l’activité anti-inflammatoire du diclofénac, de l’importance des manifestations d’intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l’éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.
      * Chez l’adulte et l’enfant à aprtir de 15 ans, elles sont limitées au :
      – Traitement symptomatique au long cours :
      . des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante (ou syndromes apparentés, tels que les syndromes de Fiessinger-Leroy-Reiter, et rhumatisme psoriasique),
      . de certaines arthroses douloureuses et invalidantes.
      – Traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des :
      . rhumatismes abarticulaires (épaules douloureuses aiguës, tendinites, bursites),
      . arthrites microcristallines,
      . arthroses,
      . lombalgies,
      . radiculalgies sévères.
      – Traitement des dysménorrhées essentielles, après bilan étiologique.
      * Chez l’enfant à partir de 6 ans, l’indication est limitée aux rhumatismes inflammatoires infantiles.
    2. RHUMATISME INFLAMMATOIRE
    3. POLYARTHRITE RHUMATOIDE
    4. SPONDYLARTHRITE ANKYLOSANTE
    5. ARTHROSE
    6. RHUMATISME ABARTICULAIRE
    7. PERIARTHRITE SCAPULOHUMERALE
    8. TENDINITE
    9. BURSITE
    10. ARTHRITE MICROCRISTALLINE
    11. DOULEUR LOMBAIRE
    12. RADICULALGIE
    13. DYSMENORRHEE

    1. NAUSEE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
    2. VOMISSEMENT (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
    3. DIARRHEE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
    4. CRAMPE ABDOMINALE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
    5. DOULEUR EPIGASTRIQUE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
    6. DYSPEPSIE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
    7. ANOREXIE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
    8. ERUCTATION (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
    9. ULCERE GASTRODUODENAL (RARE)
    10. HEMORRAGIE DIGESTIVE (RARE)
      Ou perforation.
      Les hémorragies digestives sont d’autant plus fréquentes que la posologie utilisée est élevée.
    11. COLITE HEMORRAGIQUE
      Cas isolés de colite hémorragique non spécifique.
    12. COLITE ULCEREUSE(AGGRAVATION)
      Cas isolés.
    13. PANCREATITE
    14. CONSTIPATION
    15. ALOPECIE
      Cas isolés.
    16. PHOTOSENSIBILISATION
      Cas isolés.
    17. SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON (TRES RARE)
    18. SYNDROME DE LYELL (TRES RARE)
    19. ERYTHRODERMIE (TRES RARE)
    20. ERUPTION CUTANEE
      Réaction d’hypersensibilité dermatologique.
    21. URTICAIRE
      Réaction d’hypersensibilité dermatologique.
    22. ECZEMA
      Réaction d’hypersensibilité dermatologique.
    23. BRONCHOSPASME
      Réaction d’hypersensibilité respiratoire.
    24. PNEUMONIE
      Réaction d’hypersensibilité respiratoire.
    25. VASCULARITE
      Réaction d’hypersensibilité. Cas isolés.
    26. PURPURA
      Réaction d’hypersensibilité. Cas isolés.
    27. HYPOTENSION ARTERIELLE
      Réaction d’hypersensibilité. Cas isolés.
    28. REACTION ANAPHYLACTIQUE (TRES RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      HYPERSENSIBILITE A L’ASPIRINE

      Réaction d’hypersensibilité générale.

    29. CEPHALEE (PEU FREQUENT)
    30. SENSATION DE VERTIGE (PEU FREQUENT)
    31. VERTIGE (PEU FREQUENT)
    32. SOMNOLENCE (RARE)
    33. CRISE CONVULSIVE
      Cas isolés.
    34. MENINGITE ASEPTIQUE
      Cas isolés.
    35. INSOMNIE
    36. IRRITABILITE
    37. ASTHENIE
    38. TREMBLEMENT
    39. PARESTHESIE
      Cas isolés.
    40. FLOU VISUEL
      Cas isolés.
    41. DIPLOPIE
      Cas isolés.
    42. BOURDONNEMENT D’OREILLE
      Cas isolés.
    43. OEDEME PERIPHERIQUE (RARE)
    44. INSUFFISANCE RENALE AIGUE
      Cas isolés.
    45. HEMATURIE
      Cas isolés.
    46. PROTEINURIE
      Cas isolés.
    47. NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE
      Cas isolés.
    48. SYNDROME NEPHROTIQUE
      Cas isolés.
    49. NECROSE PAPILLAIRE RENALE
      Cas isolés.
    50. KALIEMIE(AUGMENTATION)
      Par hyporéninisme. Cas isolés.
    51. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (PEU FREQUENT)
    52. HEPATITE (RARE)
    53. ICTERE
    54. HEPATITE FULMINANTE
      Cas isolés.
    55. LEUCOPENIE (TRES RARE)
    56. AGRANULOCYTOSE (TRES RARE)
    57. THROMBOPENIE (TRES RARE)
    58. PURPURA (TRES RARE)
    59. APLASIE MEDULLAIRE (TRES RARE)
    60. ANEMIE HEMOLYTIQUE (TRES RARE)

    1. MISE EN GARDE
      – Antécédents allergiques :
      Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique et/ou à une polypose nasale, ont un risque de manifestation allergique, lors de la prise d’aspirine et/ou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, plus élevé que le reste de la population. L’administration de cette spécialité peut entraîner une crise d’asthme.
      – Hémorragies gastro-intestinales :
      Les hémorragies gastro-intestinales ou les ulcères/perforations peuvent se produire à n’importe quel moment en cours de traitement sans qu’il y ait nécessairement de signes avant-coureurs ou d’antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, fragile, de faible poids corporel, le patient soumis à un traitement anticoagulant.
      En cas d’hémorragie gastro-intestinale ou d’ulcère, interrompre immédiatement le traitement.
    2. ANTECEDENTS DIGESTIFS
      Le diclofénac sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents digestifs (ulcère gastroduodénal, colite ulcéreuse, maladie de Crohn).
    3. ATTEINTE HEPATIQUE
      Le diclofénac sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant une atteinte hépatique.
      Comme avec la plupart des AINS, on peut observer une augmentation du taux d’une ou plusieurs enzymes hépatiques. Interrompre le traitement lors d’anomalies persistantes ou d’aggravation de la fonction hépatique, lors de signes cliniques d’hépatopathie ou d’autres manifestations (éosinophilie, éruption cutanée..).
    4. TROUBLES DE LA COAGULATION
      Le diclofénac sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents de perturbations hématologiques ou des troubles de la coagulation.
    5. SURVEILLANCE DE LA FONCTION RENALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INSUFFISANCE CARDIAQUE
      INSUFFISANCE HEPATIQUE
      INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
      TRAITEMENT DIURETIQUE
      HYPOVOLEMIE
      SUJET AGE
      DEBUT DE TRAITEMENT

      En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique, après une intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie, et particulièrement chez les sujets âgés.

    6. TRAITEMENT PROLONGE
      Au cours des traitements prolongés, il est recommandé de contrôler la formule sanguine, les fonctions hépatique et rénale.
    7. ALLAITEMENT
      Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.
    8. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Prévenir les patients de l’apparition possible de vertiges, de somnolence et de troubles de la vue.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
      Antécédent d’allergie ou d’asthme déclenché par la prise de diclofénac.
    2. HYPERSENSIBILITE AUX AINS
      Antécédent d’allergie ou d’asthme déclenché par la prise de diclofénac ou de substances d’activité proche, telles que autres AINS, aspirine.
    3. HYPERSENSIBILITE A L’ASPIRINE
      Antécédent d’allergie ou d’asthme déclenché par la prise de diclofénac ou de substances d’activité proche, telles que autres AINS, aspirine.
    4. ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF
    5. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE SEVERE
    6. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
    7. ENFANT DE MOINS DE 6 ANS
      En raison du caractère inadapté de la forme pharmaceutique de ce médicament.
    8. GROSSESSE
      Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
      Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
      – le foetus à une toxicité cardiopulmonaire (hypertension artérielle pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel) et à un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu’à l’insuffisance rénale avec oligoamnios ;
      – la mère et l’enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.
      En conséquence, la prescription d’AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
      En dehors d’utilisations obstétricales extrêmement limitées, et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d’AINS est contre-indiquée à partir du 6 ème mois.
    9. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
      Ce médicament est généralement déconseillé :
      – d’autres AINS y compris les salicylés à fortes doses,
      – les anticoagulants oraux,
      – les héparines par voie parentérale,
      – le lithium,
      – le méthotrexate utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine,
      – la ticlopidine.

    Signes de l’intoxication :

    1. CEPHALEE
    2. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    3. SPASME MUSCULAIRE
    4. IRRITABILITE
    5. ATAXIE
    6. VERTIGE
    7. CRISE CONVULSIVE
    8. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    9. NAUSEE
    10. VOMISSEMENT
    11. HEMATEMESE
    12. DIARRHEE
    13. ULCERE GASTRODUODENAL
    14. INSUFFISANCE HEPATIQUE
    15. OLIGURIE

    Traitement

    Symptômes :
    – céphalées, agitation motrice, secousses musculaires, irritabilité accrue, ataxie, vertiges, convulsions surtout chez l’enfant en bas âge;
    – douleurs épigastriques, nausées, vomissements, hématémèses, diarrhées, ulcère gastro-duodénal;

    troubles de la fonction hépatique;
    – oligurie.
    Conduite d’urgence :
    * transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé ;
    * évacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique ;
    * traitement symptomatique : accélération d’élimination, dialyse
    dans le cas d’intoxication grave s’accompagnant d’insuffisance rénale, diazépam ou phénobarbital en cas de convulsions.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    * Adultes :
    – Traitement d’entretien (ou d’emblée chez certains malades) : 75 à 100 mg par jour, soit 3 à 4 comprimés à 25 mg par jour en 2 ou 3 prises.
    – Traitement des poussées aiguës : 150 mg par jour, soit 2 comprimés à 25 mg, 3
    fois par jour pendant 7 jours maximum.
    En cas de crise aiguë, il est conseillé de prendre les comprimés avant le repas.
    – Dysménorrhée essentielle : 100 mg par jour en 2 prises, soit 2 comprimés à 25 mg, matin et soir.
    * Enfant à partir de 6 ans : 2 à 3
    mg/kg par jour, à répartir en 2 ou 3 prises.
    A titre indicatif :
    – jusqu’à 25 kg (soit environ 8 ans) : 1 comprimé à 25 mg, 2 fois par jour, soit 50 mg par jour.
    – de 25 à 30 kg (soit environ de 8 à 10 ans) : 1 comprimé à 25 mg, 2 à 3 fois par jour,
    soit 50 à 75 mg par jour.
    – de 30 à 35 kg (soit environ de 10 à 12 ans) : 1 comprimé à 25 mg, 3 fois par jour à 2 comprimés à 25 mg 2 fois par jour, soit 75 à 100 mg par jour.
    – de 35 à 50 kg (soit environ de 12 à 15 ans) : 2 comprimés à 25 mg, 2 à 3
    fois par jour, soit 100 à 150 mg par jour.
    .
    Mode d’emploi :
    Les comprimés sont à avaler sans les croquer, avec un verre d’eau, de préférence pendant le repas.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts