ACLOSONE 0,05% Pommade

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ACLOSONE 0,05% Pommade

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 21/8/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POMMADE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : SCHERING PLOUGH

    Produit(s) : ACLOSONE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 7/8/1986
    2. mise sur le marché 15/5/1988

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 329072-5

    1
    tube(s)
    30
    g
    alu verni

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 19.95 F

    Prix public TTC : 30.60 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. DERMOCORTICOIDE D’ACTIVITE ASSEZ FORTE (CLASSE III) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : D07A-B10.
      L’alclométasone est un corticoïde non fluoré d’activité assez forte.


    1. – Dermatite atopique.
      – Eczéma de contact.
      – Eczéma numulaire.
      – Dyshidrose.
      – Traitement dégressif précédant l’arrêt total d’une dermocorticothérapie de classe plus forte.
      – Traitement d’entretien du psoriasis, en relais du traitement par un corticoïde d’une classe plus forte.

    1. ATROPHIE CUTANEE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE

      Moins fréquente qu’avec les corticoïdes de classe I et II.

    2. TELANGIECTASIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE

      A redouter particulièrement sur le visage; sont moins fréquentes qu’avec les corticoïdes de classe I et II.

    3. VERGETURE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE

      A la racine des membres notamment, et survenant plus volontiers chez les adolescents; sont moins fréquentes qu’avec les corticoïdes de classe I et II.

    4. PURPURA ECCHYMOTIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE

      secondaire à l’atrophie; et moins fréquent qu’avec les corticoïdes de classe I et II.

    5. FRAGILITE CUTANEE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      USAGE PROLONGE

      Moins fréquente qu’avec les corticoïdes de classe I et II.

    6. DERMATITE PERIORALE
    7. ACNE ROSACEE
      Au visage, les corticoïdes peuvent créer ou aggraver une rosacée.
    8. RETARD DE CICATRISATION
      Des plaies atones, des escarres, des ulcères de jambe.
    9. EFFETS SYSTEMIQUES
    10. ERUPTION ACNEIFORME
    11. ERUPTION PUSTULEUSE
    12. HYPERTRICHOSE
    13. DEPIGMENTATION DE LA PEAU

    1. MISE EN GARDE
      L’utilisation prolongée sur le visage des corticoïdes de classe I, II et III, expose à la survenue d’une dermite cortico-induite et paradoxalement cortico-sensible, avec rebond après chaque arrêt. un sevrage progressif, particulièrement difficile, est alors nécessaire.

      En raison du passage du corticoïde dans la circulation générale, un traitement sur de grandes surfaces ou sous occlusion, peut entraîner les effets systémiques d’une corticothérapie générale, particulièrement chez le nourrisson et l’enfant en bas âge. Ils consistent en un syndrome cushingoïde et ralentissement de la croissance : ces accidents disparaissent à l’arrêt du traitement, mais un arrêt brutal peut être suivi d’une insuffisance surrénale aiguë.
    2. NOURRISSON
      Il faut se méfier particulièrement des phénomènes d’occlusion spontanés pouvant survenir dans les plis ou sous les culottes imperméables.
    3. INFECTION BACTERIENNE
      En cas d’infection bactérienne ou mycosique d’une dermatose corticosensible, il convient soit de faire précéder l’utilisation du corticoïde d’un traitement spécifique soit éventuellement, et dans certains cas seulement d’utiliser une association corticoïde et traitement spécifique.
    4. INFECTION FONGIQUE
      En cas d’infection bactérienne ou mycosique d’une dermatose corticosensible, il convient soit de faire précéder l’utilisation du corticoïde d’un traitement spécifique soit éventuellement, et dans certains cas seulement d’utiliser une association corticoïde et traitement spécifique.
    5. INTOLERANCE LOCALE
      Le traitement doit être interrompu et la cause recherchée.
    6. APPLICATION PALPEBRALE
      La durée du traitement doit être limitée. Une application prolongée expose en effet à des risques de ptosis par atteinte musculaire du releveur de la paupière, de glaucome, d’effet rebond.

    1. INFECTION BACTERIENNE PRIMITIVE
      Même si elles comportent une composante inflammatoire.
    2. INFECTION FONGIQUE PRIMITIVE
      Même si elles comportent une composante inflammatoire.
    3. INFECTION PARASITAIRE PRIMITIVE
      Même si elles comportent une composante inflammatoire.
    4. LESIONS ULCEREES
    5. ACNE
      Et rosacée.
    6. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS

    Voies d’administration

    – 1 – APPLICATION CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Les applications sont limitées à deux par jour.
    Une augmentation du nombre d’application quotidienne risquerait d’aggraver les effets indésirables sans améliorer les effets thérapeutiques.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Le traitement des
    grandes surfaces nécessite une surveillance du nombre de tubes utilisés.
    Etaler la pommade sur les lésions et faire pénétrer par un léger massage.
    L’arrêt du traitement sera progressif, par la diminution de fréquence des applications et/ou par
    l’utilisation d’un corticoïde moins fort ou moins dosé.


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