ZOMIGORO 2.5 mg comprimés orodispersibles

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ZOMIGORO 2.5 mg comprimés orodispersibles

Introduction dans BIAM : 19/10/2000
Dernière mise à jour : 19/12/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES DISPERSIBLES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : ZENECA PHARMA

    Produit(s) : ZOMIGORO

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 25/1/2000
    2. rectificatif d’AMM 8/8/2000
    3. publication JO de l’AMM 22/9/2000
    4. mise sur le marché 28/9/2000

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 353363-6

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    2
    unité(s)
    PVC-alu/alu

    Evénements :

    1. inscription SS 7/7/2000


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 18
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 57.59 F

    Prix public TTC : 76.20 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 353364-2

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    6
    unité(s)
    PVC-alu/alu

    Evénements :

    1. inscription SS 7/7/2000


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 18
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 164.12 F

    Prix public TTC : 210.60 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 3

    Numéro AMM : 353366-5

    2
    plaquette(s) thermoformée(s)
    6
    unité(s)
    PVC-alu/alu

    Evénements :

    1. agrément collectivités 7/7/2000
    2. inscription SS 7/7/2000


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 18
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 305.59 F

    Prix public TTC : 369 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIMIGRAINEUX (AGONISTE DE LA SEROTONINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02C-C03.
      Lors des études précliniques, le zolmitriptan s’est avéré être un agoniste sélectif des récepteurs recombinants humains vasculaires 5-HT et 5-HT. Le zolmitriptan présente une forte affinité pour les récepteurs 5-HT et une faible affinité pour les récepteurs 5-HT. Le zolmitriptan ne présente aucune affinité (mesurée par des dosages de radioligands), ni effets pharmacologiques significatifs sur les récepteurs sérotoninergiques 5-HT, 5-HT, 5-HT, adrénergiques alpha-1, alpha-2, bêta-1, histaminiques H, H, muscariniques, dopaminergiques 1 ou 2.
      Le système trigéminovasculaire est impliqué dans la physiopathologie de la migraine. Chez l’animal, le zolmitriptan, grâce à son activité agoniste sur les récepteurs 5-HT, induit une vasoconstriction et une inhibition de la libération du peptide lié au gène de la calcitonine (CGRP), du peptide vasoactif intestinal (VIP) et de la substance P. Ces deux effets (vasoconstriction et inhibition de la libération de neuropeptides) sont vraisemblablement à l’origine de l’amélioration des crises de migraine, représentée par une disparition de la douleur et des autres symptômes de la migraine dans l’heure suivant l’administration.
      Outre ses actions périphériques, le zolmitriptan traverse la barrière hématoméningée et peut accéder ainsi non seulement aux centres périphériques de la migraine mais aussi à ceux du tronc cérébral. Il bloque la voie réflexe vasodilatatrice utilisant les fibres orthodromiques du trijumeau et l’innervation parasympathique de la circulation cérébrale et inhibe ainsi la libération du VIP qui en est le principal neurotransmetteur.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Absorption :
      Après administration orale, le zolmitriptan est rapidement absorbé chez l’homme (absorption supérieur ou égale à 64%), avec une biodisponibilité de l’ordre de 40%.
      Après une dose unique comprise entre 2.5 et 50 mg, 75% de la Cmax sont atteints en moins d’une heure. Les concentrations plasmatiques sont ensuite maintenues pendant 4 à 6 heures.
      L’absorption n’est pas modifiée par la nourriture.
      La répétition des prises n’entraîne pas d’accumulation du produit.
      Distribution :
      Après administration intraveineuse, le volume de distribution est de 2.4 l/kg. La fixation aux protéines plasmatiques est négligeable (25%).
      Métabolisme :
      Le zolmitriptan est métabolisé essentiellement au niveau hépatique. Les trois principaux métabolites sont : l’acide indole acétique (principal métabolite urinaire et plasmatique), les analogues N-oxyde et N-desméthyl du zolmitriptan. Ce dernier est le seul métabolite actif, agoniste sérotoninergique 5-HT, 2 à 6 fois plus puissant que la molécule mère chez l’animal.
      Les concentrations plasmatiques de ce métabolite représentent environ la moitié de celles du zolmitriptan ; il participe vraisemblablement à l’activité thérapeutique du produit.
      Elimination :
      Plus de 60% de la dose administrée par voie orale sont retrouvés dans les urines (principalement sous forme d’acide indole acétique) et environ 30% dans les fèces sous forme inchangée.
      Après administration intraveineuse, la clairance plasmatique totale est de 10 ml/min/kg, dont le tiers est représenté par la clairance rénale.
      Les demie-vies d’élimination du zolmitriptan et de ses métabolites sont approximativement de 2,5 à 3 heures.
      Forme comprimé orodispersible :
      La bioéquivalence entre le comprimé orodispersible et le comprimé standard de zolmitriptan a été démontrée en terme d’AUC et de Cmax pour le zolmitriptan et son métabolite actif N-déméthylé lors d’une étude de pharmacologie clinique.
      Les valeurs de Tmax du métabolite actif N-déméthylé du zolmitriptan sont comparables pour les deux formes : comprimé orodispersible (1-6 heures ; médiane 3 heures) et comprimé standard (0.75-5 heures ; médiane 3 heures). Le Tmax de zolmitriptan peut être allongé pour le comprimé orodispersible (0.6-5 heures ; médiane 3 heures), par rapport au comprimé standard (0.5-3 heures ; médiane 1.5 heure). Cependant, les concentrations plasmatiques de zolmitriptan sont comparables pour les deux formes, dans les 45 premières minutes qui suivent l’administration, période essentielle pour l’absorption initiale après l’administration.
      Populations particulières :
      La clairance rénale du zolmitriptan et de ses métabolites est réduite (de 7 à 8 fois) chez les patients avec une insuffisance rénale modérée à sévère. Cependant, les AUC du zolmitriptan et du métabolite actif sont légèrement supérieures (16 et 35%, respectivement) et les demi-vies d’élimination sont légèrement augmentées, soit 3 à 3.5 heures. Ces valeurs restent dans les intervalles observés chez le volontaire sain.
      Les données restent insuffisantes chez le sujet âgé de plus de 65 ans.
      * Données de sécurité précliniques
      Dans le programme d’évaluation de sécurité préclinique, chez le rat, à forte dose (400 mg/kg/j), le zolmitriptan a provoqué une augmentation de la fréquence des anénomes de la thyroïde dont le mécanisme est inconnu.
      A 100 mg/kg/j, une augmentation de la fréquence des tumeurs thyroïdiennes a été notée. A la dose sans effet thyroïdien (25 mg/kg/j), l’exposition des animaux (AUC) par le zolmitriptan est plus de 80 fois supérieure à l’exposition chez l’homme à la dose maximale quotidienne recommandée de 10 mg.

    1. ***
      Traitement de la phase céphalalgique de la crise de migraine.
    2. MIGRAINE(TRAITEMENT DE LA CRISE)

    1. NAUSEE
      Les effets indésirables sont habituellement, transitoires, apparaissent en début de traitement et disparaissent spontanément.
    2. VERTIGE
      Les effets indésirables sont habituellement, transitoires, apparaissent en début de traitement et disparaissent spontanément.
    3. SOMNOLENCE
      Les effets indésirables sont habituellement, transitoires, apparaissent en début de traitement et disparaissent spontanément.
    4. SENSATION DE CHALEUR
      Les effets indésirables sont habituellement, transitoires, apparaissent en début de traitement et disparaissent spontanément.
    5. SENSATION D’ETOUFFEMENT
      Symptôme habituellement transitoire, pouvant être intense,:sensations de lourdeur, de pression ou d’oppression, douleur au niveau de la gorge, du cou, des membres et de la poitrine;
    6. PARESTHESIE
      Des sensations anormales ont été signalées à type de myalgies, faiblesse musculaire, paresthésies ou dysesthésies
      Les effets indésirables sont habituellement, transitoires, apparaissent en début de traitement et disparaissent spontanément.
    7. ASTHENIE
      Les effets indésirables sont habituellement, transitoires, apparaissent en début de traitement et disparaissent spontanément.
    8. SECHERESSE DE LA BOUCHE
      Les effets indésirables sont habituellement, transitoires, apparaissent en début de traitement et disparaissent spontanément.
    9. TACHYCARDIE
    10. PALPITATION
    11. HYPERTENSION ARTERIELLE
      Des augmentations transitoires de la pression artérielle survenant juste après le traitement ont été observées.
    12. ARYTHMIE (RARE)
      Des cas extrêmement rares d’événements coronariens graves ont été rapportés, incluant arythmies cardiaques.
    13. ELECTROCARDIOGRAMME(ANOMALIE) (RARE)
      Des cas extrêmement rares d’événements coronariens graves ont été rapportés, incluant des signes ischémiques transitoires à l’ECG.
    14. INFARCTUS DU MYOCARDE (RARE)
      Des cas extrêmement rares d’événements coronariens graves ont été rapportés, incluant l’infarctus du myocarde.
    15. SPASME CORONARIEN
      De rares cas d’événements coronariens graves ont été rapportés, incluant le vasospasme des artères coronaires.
    16. TACHYCARDIE VENTRICULAIRE
      Quatre épisodes de tachycardie ventriculaire asymptomatique ont été rapportés chez 4 volontaires ayant reçu des doses uniques de 5 ou 10 mg. L’un d’entre eux était porteur d’un syndrome de Wolff-Parkinson-White.
    17. COLITE ISCHEMIQUE (RARE)
      De rares cas de colites ischémiques ont également déjà été rapportés avec certains agonistes sélectifs des récepteurs 5HT1.
    18. CEPHALEE
      Comme avec tous les antimigraineux, l’usage excessif de zolmitriptan peut conduire à un état de céphalées chroniques quotidiennes nécessitant une fenêtre thérapeutique.
    19. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
      Réactions d’hypersensibilité allant de l’allergie cutanée à de rares cas de réactions anaphylactiques.

    1. MISE EN GARDE
      Le zolmitriptan ne doit pas être utilisé qu’après un diagnostic certain de migraine.

      Le zolmitriptan n’est pas indiqué dans le traitement des migraines hémiplégiques, basilaires ou ophtalmoplégiques.

      Comme avec les autres traitements de la crise de migraine, avant de traiter les céphalées des patients sans diagnostic antérieur de migraine, ou des patients migraineux présentant des symptômes atypiques, il est nécessaire d’exclure d’autres pathologies neurologiques potentiellement graves. Il faut noter que les migraineux peuvent présenter un risque accru de survenue d’événements vasculaires cérébraux (par exemple AVC,AIT).

      Après administration, la prise de zolmitriptan, comme celle des d’autres agonistes des récepteurs 5HT1, peut être associée à des symptômes transitoires, comprenant des douleurs thoraciques, ou une sensation d’oppression pouvant être intense et pouvant s’étendre au niveau de la gorge. (cf Effets indésirables). Si la symptomatologie évoque une ischémie cardiaque, il ne faut pas prendre de doses supplémentaires de sumatriptan et des explorations appropriées devront être réalisées.
      Le zolmitriptan ne doit pas être administré aux patients ayant des facteurs de risque de maladie cardiaque ischémique, y compris les gros fumeurs ou les patients utilisant des thérapies de substitution à base de nicotine, sans un bilan cardiovasculaire préalable. Une attention particulière doit être portée aux femmes ménopausées et aux hommes de plus de 40 ans présentant ces facteurs de risque. Cependant, ce bilan peut ne pas identifier tous les patients qui ont une maladie cardiovasculaire et, dans de très raes cas, des événements cardiaques graves sont survenus chez des patients sans maladie cardio-vasculaire sous-jacente.
      -Ne pas dépasser la dose recommandée de sumatriptan.
    2. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
      En cas d’insuffisance hépatique sévère la dose maximale à ne pas dépasser sera de 5 mg; Aucun ajustement posologique n’est nécessaire dans l’insuffisance hépatique légère à modérée.
    3. GROSSESSE
      Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène.

      En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaines se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.

      Dans l’espèce humaine, il n’existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique du zolmitriptan lorsqu’il est administré pendant la grossesse.

      En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser le zolmitriptan pendant la grossesse.
    4. ALLAITEMENT
      Chez l’animal, le zolmitriptan est excrété dans le lait.

      En l’absence de données spécifiques chez la femme allaitante, l’utilisation de zolmitriptan est déconseillée.
    5. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines sera attirée sur les risques de somnolence ou de vertiges dus à la migraine ou au traitement par le zolmitriptan.
    6. SUJETS DE MOINS DE 18 ANS
      La sécurité et l’efficacité du zolmitriptan chez l’enfant de moins de 18 ans n’ont pas été établies.
    7. SUJETS DE PLUS DE 65 ANS
      La sécurité et l’efficacité du zolmitriptan chez le sujet de plus de 65 ans n’ont pas été établies.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. INFARCTUS DU MYOCARDE(ANTECEDENT)
    3. ANGOR DE PRINZMETAL
    4. TROUBLES CARDIAQUES ISCHEMIQUES
      Pathologie artérielle périphérique ou symptômes de pathologie cardiaque ischémique ou signes compatibles avec une pathologie cardiaque ischémique.
    5. ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL (ANTECEDENT)
      ou d’accident ischémique transitoire.
    6. TROUBLES DU RYTHME CARDIAQUE
      Syndrome de Wolff-Parkinson-White ou trouble du rythme lié à une voie de conduction accessoire, connus.
    7. HYPERTENSION ARTERIELLE NON CONTROLEE
    8. HYPERTENSION ARTERIELLE
      – sévère ou modérée.
    9. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
    10. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Contre-indication absolue :
      – Association à l’ergotamine ou dérivés de l’ergotamine (y compris le méthylsergide), autres agonistes des récepteurs 5-HT1D.
      -risque d’hypertension artérielle, de vasoconstriction artérielle coronaire par addition d’effets vasoconstricteurs en cas d’association au cours d’une même crise. Le délai devant s’écouler entre l’utilisation du zolmitriptan et des médicaments contenant de l’ergotamine n’est pas connu. Il dépendra des doses et du type de produits à base d’ergotamine utilisé. Les effets peuvent être additifs. Il est conseillé d’attendre au moins 24 heures après l’utilisation de médicaments contenant de l’ergotamine, avant l’administration du zolmitriptan. Inversement, il est conseillé d’attendre au moins 6 heures après l’utilisation du zolmitriptan, avant l’administration d’un médicament contenant de l’ergotamine.
      Contre-indication relative :
      – Association aux inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO).
      risque d’hypertension artérielle, de vasoconstriction artérielle coronaire par addition d’effets sérotoninergiques. Respecter un délai de 2 semaines entre l’arrêt de l’antidépresseur et le début du traitement par le zolmitriptan.
    11. PHENYLCETONURIE
      En raison de la présence d’aspartam.

    Signes de l’intoxication :

    1. SEDATION

    Traitement

    Les volontaires sains recevant des doses orales uniques de 50 mg de zolmitriptan présentent fréquemment une sédation.
    La demi-vie d’élimination du zolmitriptan étant de 2.5 à 3 heures, en cas de surdosage, la surveillance des patients devra être
    poursuivie au moins 15 heures ou tant que les signes ou symptômes persistent.
    Il n’existe pas d’antidote spécifique du zolmitriptan. En cas d’intoxication sévère, une surveillance intensive est recommandée, en étant particulièrement attentif à la
    surveillance et au maintien des fonctions ventilatoire et cardiovasculaire.
    L’effet d’une hémodialyse ou d’une dialyse péritonéale sur les concentrations sériques du zolmitriptan est inconnu.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    Le zolmitriptan ne devra pas être utilisé à visée prophylactique.
    Il est recommandé de prendre le comprimé le plus tôt possible, dès l’apparition de la céphalée migraineuse. Cependant, le zolmitriptan est aussi efficace lorsqu’il est
    administré plus tard.
    Le zolmitriptan est inefficace lorsqu’il est administré au moment de l’aura. Il est déconseillé de l’administrer au stade de l’aura.
    A / Adulte :
    La dose recommandée pour le traitement de la crise de migraine est de 1 comprimé à
    2,5 mg.
    L’efficacité est significative dans l’heure suivant la prise du comprimé.
    Toutefois, l’apparition de l’effet pour certains patients peut être retardée en raison de l’absorption plus lente du zolmitriptan sous forme de comprimé orodispersible
    comparativement au comprimé pelliculé.
    Si un patient n’est pas soulagé après la première dose, une seconde dose ne doit pas être prise au cours de la même crise. Le zolmitriptan pourra être utilisé pour la crise suivante.
    Si un patient a été soulagé
    après la première dose mais que les symptômes de la migraine réapparaissent, un deuxième comprimé peut être pris dans les 24 heures suivantes, à condition de respecter un intervalle d’au moins 2 heures entre les 2 prises.
    Il est recommandé de ne pas
    dépasser la dose maximale de 10 mg par 24 heures.
    Dans certains cas, la dose maximale à ne pas dépasser sera de 5 mg par 24 heures :
    · insuffisance hépatique sévère ;
    · association au propranolol, à la cimétidine et aux inhibiteurs de l’isoenzyme
    CYP1A2.
    .
    Posologies particulières :
    * Enfant (de moins de 18 ans) :
    La sécurité et l’efficacité du zolmitriptan chez l’enfant n’ont pas été établies.
    * Sujet âgé (de plus de 65 ans) :
    La sécurité et l’efficacité du zolmitriptan chez le sujet de plus
    de 65 ans n’ont pas été établies.
    * Insuffisant hépatique :
    En cas d’insuffisance hépatique sévère, la dose maximale à ne pas dépasser par jour sera de 5 mg. Aucun ajustement posologique n’est nécessaire dans l’insuffisance hépatique légère à
    modérée.
    * Insuffisant rénal :
    Aucun ajustement de dose n’est nécessaire.
    .
    Mode d’emploi :
    Le comprimé orodispersible se dissout rapidement dans la bouche et peut être avalé sans eau, permettant une administration précoce.
    Le comprimé orodispersible
    peut être utilisé lorsqu’une boisson n’est pas disponible, ou pour éviter les nausées et les vomissements qui peuvent accompagner la prise de comprimés avec du liquide.


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