TRIVASTAL 3 mg/ml solution injectable

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TRIVASTAL 3 mg/ml solution injectable

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 11/12/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – 4200


    Forme : SOLUTION INJECTABLE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : SERVIER

    Produit(s) : TRIVASTAL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 28/3/1974
    2. mise sur le marché 2/4/1975
    3. publication JO de l’AMM 24/2/1976
    4. validation de l’AMM 12/9/1991
    5. rectificatif d’AMM 25/1/1999

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 316990-0

    12
    ampoule(s)
    1
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 18/3/1975
    2. inscription SS 18/3/1975
    3. inscription liste sub. vénéneuses 4/7/1975


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    remboursé
    35 %

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 550981-4

    120
    ampoule(s)
    1
    ml
    verre

    Evénements :

    1. inscription liste sub. vénéneuses 4/7/1975


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Conservation (dans son conditionnement) : 60
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste II

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Volume : 1
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. VASODILATATEUR PERIPHERIQUE (AUTRE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : C04A-X13.
      Agoniste dopaminergique, le piribédil stimule les récepteurs à la dopamine et les voies dopaminergiques cérébrales.
      Le piribédil entraîne une augmentation du débit fémoral (l’existence de récepteurs dopaminergiques dans le lit vasculaire fémoral permet d’expliquer l’action du piribédil sur la circulation périphérique).
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      L’absorption du piribédil est rapide.
      La concentration maximale est atteinte une heure après la prise orale de piribédil.
      L’élimination plasmatique est biphasique : elle est constituée par une première phase caractérisée par une demi-vie de 1.7 heure et une deuxième phase plus lente caractérisée par une demi-vie de 6.9 heures.
      Le métabolisme du piribédil est intense avec deux métabolites principaux (un dérivé hydroxylé et un dérivé dihydroxylé).
      L’élimination du piribédil est essentiellement urinaire : 68% du piribédil absorbé sont excrétés par voie rénale, sous forme de métabolites et 25% sont éliminés par la bile.
      L’élimination urinaire est rapide, pratiquement complète en 12 heures.

    1. ***
      Amélioration des manifestations douloureuses des artériopathies en poussée ischémique en association avec le traitement chirurgical et dans l’attente de celui-ci ou en cas d’impossibilité d’un geste chirurgical.
    2. ISCHEMIE AIGUE DES MEMBRES INFERIEURS

    1. TROUBLE DIGESTIF
      Troubles mineurs (nausées, vomissements, flatulence), qui peuvent disparaître, notamment en ajustant la posologie individuelle.
    2. NAUSEE
    3. VOMISSEMENT
    4. FLATULENCE
    5. TROUBLE PSYCHIQUE (RARE)
      Plus rarement, tels que confusion ou agitation, disparaissant à l’arrêt du traitement.
    6. CONFUSION MENTALE (RARE)
    7. EXCITATION PSYCHOMOTRICE (RARE)
    8. TROUBLE TENSIONNEL (EXCEPTIONNEL)
      Hypotension orthostatique ou instabilité tensionnelle.
    9. HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE (EXCEPTIONNEL)
    10. INSTABILITE TENSIONNELLE (EXCEPTIONNEL)

    1. INTRAVEINEUSE DIRECTE
      La solution injectable ne doit pas être administrée par voie IV directe.
    2. GROSSESSE
      Ce médicament est réservé au sujet âgé, pour lequel le risque de grossesse est absent. En l’absence de données pertinentes, l’utilisation de cette spécialité est déconseillée pendant la grossesse.
    3. ALLAITEMENT
      En l’absence de données pertinentes, l’utilisation de cette spécialité est déconseillée pendant l’allaitement.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
    2. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE
    3. INFARCTUS DU MYOCARDE A LA PHASE AIGUE
    4. OEDEME AIGU DU POUMON
    5. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Association contre-indiquée :
      Ð Neuroleptiques (sauf clozapine) : antagonisme réciproque de l’antiparkinsonien et des neuroleptiques.
      – En cas de syndrome extrapyramidal induit par les neuroleptiques, ne pas traiter par un antiparkinsonien dopaminergique (blocage des récepteurs dopaminergiques par les neuroleptiques), mais utiliser un anticholinergique.
      – Chez les parkinsoniens traités par un antiparkinsonien dopaminergique, en cas de nécessité de traitement par neuroleptiques, il n’est pas logique de poursuivre la dopathérapie car celle-ci aggrave les troubles psychotiques et ne peut agir sur des récepteurs bloqués par les neuroleptiques.
      – Pour les neuroleptiques antiémétiques : utiliser un antiémétique dénué d’effets extrapyramidaux.
    6. GROSSESSE (relative)
      Ce médicament est principalement utilisé chez le sujet âgé, pour lequel le risque de grossesse est absent.
      En l’absence de données pertinentes, l’utilisation de cette spécialité est déconseillée pendant la grossesse.
    7. ALLAITEMENT (relative)
      En l’absence de données pertinentes, l’utilisation de cette spécialité est déconseillée pendant l’allaitement.

    Signes de l’intoxication :

    1. INSTABILITE TENSIONNELLE
    2. NAUSEE
    3. VOMISSEMENT

    Traitement

    Les signes de surdosage sont :
    – instabilité tensionnelle (hypertension ou hypotension artérielle),
    – manifestations digestives (nausées, vomissements).
    Ces symptômes cèdent à l’arrêt de l’administration et à la thérapeutique symptomatique.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAMUSCULAIRE

    – 2 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)
    lente

    Posologie & mode d’administration

    Posologie :
    Ð En injection intramusculaire :
    – une ampoule par jour les deux premiers jours (cette dose peut être éventuellement fractionnée en deux demi-ampoules),
    – ensuite deux ampoules par jour en deux injections.
    Ð En perfusion intraveineuse lente
    :
    – une ampoule par jour les deux premiers jours,
    – deux ampoules par jour les deux jours suivants.
    – ensuite, si nécessaire, trois ampoules par jour.
    La soultion injectable sera diluée dans au moins deux cent cinquante millitres de soluté injectable
    isotonique de chlorure de sodium ou de glucose. La durée de la perfusion sera de quatre heures.


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