DACRYOLARMES collyre

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DACRYOLARMES collyre

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/8/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – METHYLCELLULOSE MSD CHIBRET


    Forme : COLLYRE EN SOLUTION

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : MARTIN J.P.

    Produit(s) : DACRYOLARMES

    Evénements :

    1. mise sur le marché 1/1/1989
    2. octroi d’AMM 4/4/1989
    3. publication JO de l’AMM 28/7/1989

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 339461-4

    1
    flacon(s)
    10
    ml
    plastique

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    A TEMPERATURE AMBIANTE

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 15
    jour(s)

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 17.71 F

    Prix public TTC : 29.40 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE AUTRE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : S01X-A20.
      La méthylcellulose, dérivé méthylé préparé à partir de la cellulose du bois et des fibres végétales, est un composé du type macromoléculaire, de nature polyglucidique, donnant avec l’eau des solutions colloïdales visqueuses.
      Ces solutions présentent un certain nombre de propriétés physiques et chimiques, qui rendent son emploi intéressant en ophtalmologie :
      – viscosité retardant l’élimination par les voies lacrymales,
      – indice de réfraction de la solution à 1% voisin de celui de la cornée (1,334), justifiant son emploi en gonioscopie,
      – absence de pression osmotique autorisant l’emploi de solutions très visqueuses sans danger pour la cornée,
      – neutralité réalisant la condition essentielle d’une bonne tolérance même en instillations répétées,
      – stabilité asurant une conservation prolongée du produit et permettant son association éventuelle à la plupart des médicaments classiques.


    1. – Traitement symptomatique des formes peu sévères du syndrome de l’oeil sec :
      . sécrétion lacrymale insuffisante (syndrome de Gougerot-Sjogren, hyposécrétions neurogènes …), . insuffisance de production du mucus (kérato-conjonctivites chroniques, pemphigus chronique …), . déformations et paralysies palpébrales.
      – Traitement des kératites ponctuées.
      – Protection de l’epithelium cornéen au cours des explorations fonctionnelles ophtalmiques : gonioscopie, tonométrie.
      – Protection de la cornée au cours de l’anesthésie générale.

    1. REACTION DE SENSIBILISATION
      Dues au dérivés mercuriels.
    2. BROUILLARD VISUEL
      Du à la viscosité de la solution.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
      Aux dérivés mercuriels en particulier.

    Voies d’administration

    – 1 – OCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Dans les syndromes secs, la posologie varie en fonction de l’hyposécrétion lacrymale, la posologie allant dedeux à trois instillations par jour jusqu’à six ou sept.
    Pour les explorations fonctionnelles, une seule goutte suffit en
    général.


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