AUREOMYCINE EVANS 1 pour cent pommade ophtalmique

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AUREOMYCINE EVANS 1 pour cent pommade ophtalmique

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 11/12/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – 4250 RP
    nom ancien – AUREOMYCINE THERAPLIX


    Forme : POMMADE OPHTALMIQUE

    Usage : adulte, enfant + de 8 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : MEDEVA PHARMA

    Produit(s) : AUREOMYCINE EVANS

    Evénements :

    1. mise sur le marché 15/8/1953
    2. octroi d’AMM 8/1/1974
    3. publication JO de l’AMM 18/2/1976
    4. validation de l’AMM 18/8/1992

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 342133-4

    1
    tube(s)
    5
    g
    alu verni

    Evénements :

    1. agrément collectivités 16/12/1960
    2. inscription SS 28/12/1961
    3. radiation SS 1/6/1997


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 3.70 F

    Prix public TTC : 6.80 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 560064-4

    50
    tube(s)
    5
    g
    alu verni

    Evénements :

    1. agrément collectivités 16/12/1960


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste II

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE ANTIBIOTIQUE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : S01A-A02.
      La Chlortétracycline est un antibiotique bactériostatique de la famille des Tétracyclines.
      Son activité antibactérienne s’exerce par inhibition de la synthèse protéique.
      Le spectre antibactérien naturel de la Chlortétracycline est essentiellement celui de la Tétracycline.
      1 / Espèces habituellement sensibles :
      – Brucella.
      – Pasteurella.
      – Mycoplasma pneumoniae.
      – Chlamydiae.
      – Rickettsiae.
      – Gonocoque.
      – Listeria.
      – Méningocoque.
      – Leptospire.
      – Treponema pallidum.
      – Haemophilus.
      – Propionibacterium acnes.
      – Ureaplasma urealyticum.
      2 / Espèces inconstamment sensibles ( 10 à 40 % de souches résistantes ) :
      – Staphylocoques.
      – Streptocoques A.C.G.
      – Pneumocoques.
      – Shigella.
      – Klebsiella.
      – Proteus morganii.
      – Escherichia coli.
      – Anaerobies ( Clostridium, Bacteroïdes, Fusobacterium ) .
      3 / Espèces résistantes ( CMI supérieure ou égale à 16 mg / l ) :
      – Streptocoques B.D.
      – Enterobacter.
      – Serratia.
      – Proteus mirabilis.
      – Proteus rettgeri.
      – Providencia.
      – Pseudomonas.
      – Mycobacterium tuberculosis.
      Lorsque pour une espèce donnée, la notion d’une sensibilité constante des souches n’est pas établie, seul un antibiogramme permet de confirmer si elle est sensible, résistante ou intermédiaire.


    1. – Infections bactériennes de l’oeil :
      Infections bactériennes superficielles de l’oeil ( conjonctivite, kératite ) ou de ses annexes ( blépharite, dacryocystite ) dues à des germes sensibles.
      – Trachome.

    1. SENSATION DE BRULURE
      Conjonctivale. Transitoire.
    2. REACTION D’HYPERSENSIBILITE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      EMPLOI PROLONGE
    3. ECZEMA ALLERGIQUE DE CONTACT
      Condition(s) Favorisante(s) :
      EMPLOI PROLONGE

    1. MISE EN GARDE
      – Hypersensibilité :

      En cas d’hypersensibilité, arrêt du traitement.
    2. PERSISTANCE DES SYMPTOMES
      En l’absence d’amélioration rapide ou en cas de traitement prolongé, une surveillance médicale régulière comportant des contrôles bactériologiques avec étude de la sensibilité du germe permet de dépister une résistance au produit et d’adapter éventuellement le traitement.
    3. ENFANTS DE MOINS DE 8 ANS
      A éviter. Risque de dyschromie dentaire.
    4. GROSSESSE
      A éviter. Risque d’anomalie du bourgeon dentaire chez l’enfant.
    5. ALLAITEMENT
      A éviter chez la femme allaitante. Risque de dyschromie dentaire chez l’enfant.

    Voies d’administration

    – 1 – OCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Infections bactériennes :
    Un ruban d’un demi – centimètre dans le cul de sac conjonctival inférieur, deux à six fois par jour, selon la gravité pendant sept jours en moyenne.
    – Trachome :
    Un ruban d’un demi – centimètre dans le cul
    de sac conjonctival inférieur, deux fois par jour, pendant deux mois. Un suivi attentif est conseillé ; en cas de rechute le traitement sera ré – institué.


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