MONOTARD HM 40 UI/ml suspension injectable (arrêt de commercialisation)
MONOTARD HM 40 UI/ml suspension injectable (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 29/3/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : SUSPENSION INJECTABLE
action prolongée
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : NOVO NORDISK PHARMACEUTIQUEProduit(s)
Evénements :
- octroi d’AMM 15/6/1982
- publication JO de l’AMM 30/7/1982
- mise sur le marché 12/3/1984
- arrêt de commercialisation 30/3/2000
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 325578-1
1
flacon(s)
10
ml
verreEvénements :
- agrément collectivités 11/3/1984
- inscription SS 11/3/1984
- radiation SS 23/5/1997
- radiation collectivités 10/10/1997
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 24
mois
NE PAS CONGELER
A L’ABRI DE LA CHALEURRégime : liste II
Réglementation des prix :
non remboursé
TVA : 5.50 %
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Volume : 10
ml- INSULINE HUMAINE 400 U.I.
insuline humaine monocomposee sous forme amorphe 30 % et cristalline70%
- ZINC excipient
- ACETATE DE SODIUM excipient
- CHLORURE DE SODIUM excipient
- EAU POUR PREPARATIONS INJECTABLES excipient
- PARAHYDROXYBENZOATE DE METHYLE conservateur (excipient)
- INSULINE D’ACTION INTERMEDIAIRE (principale)
Bibliographie : Classe ATC : A10A-C01.
Hypoglycémiant et effet anabolisant sur les trois voies métaboliques : glucidique, lipidique, protidique.
-
– Diabète insulino dépendant inaugural et patent (Monotard HM) seule ou en association éventuelle avec une insuline d’action rapide.
– Equilibre des diabètes primo-insulines
– Nécessité d’un traitement insulinique transitoire (grossesse, interventions chirurgicales)
– Complications dégénératives graves et diabète insulino-nécessitant
– Lipodystrophie insulinique, insulino résistance, allergie
– Diabète instable.
- REACTION AU POINT D’INJECTION
Erythèmes et douleur au point d’injection. - URTICAIRE (EXCEPTIONNEL)
Exceptionnellement, réaction locale allergique urticarienne le plus souvent due aux excipients ou aux éventuelles contaminations lors de l’injection. - REACTION ALLERGIQUE (EXCEPTIONNEL)
Réactions générales exceptionnelles par allergie à l’insuline pouvant entraîner un collapsus. Ses malades doivent subir un traitement de désensibilisation rapide.
- ***
– Réparition correcte et adaptée de l’alimentation.
– Eviter les boissons alcoolisées de façon immodérée ou à jeun.
– Surveillance accrue en cas d’association aux corticoïdes, estroprogestatifs, amines pressives, hormones thyroïdiennes, HCH, TSH, hydantoïnes, neuroleptiques, diurétiques, bêtabloquants.
Perhexiline maléate, imao, sulfamides antibactériens et alcool.
- VOIE INTRAVEINEUSE
ne pas utiliser la voie iv - ***
ne pas utiliser dans les systemes d’administration automatisee de l’insuline. - DIABETE PLETHORIQUE
sauf rares exceptions - COMA DIABETIQUE
- HYPOGLYCEMIES ORGANIQUES
Traitement
– L’hypoglycémie peut-être due à une dose mal adaptée d’insuline, a une erreur alimentaire (insuffisance d’hydrates de carbone) ou a un effort physique non prévu et non compensé.
– L’hypoglycémie se manifeste par une sensation de malaise (faim, sueurs,
angoisses, asthénie, tremblements, confusion, troubles visuels, céphalées…) pouvant conduire en l’absence de traitement au coma hypoglycémique.
– traitement:
– Sucre per os si possible (sauf s’il y a perte de conscience).
– Sinon glucagon IM ou SC
suivi d’une réalimentation rapide dès le reveil, ou/et en cas d’échec, une injection IV de sérum glucosé hypertonique.
– Il n’y a aucun risque en cas de doute sur le diagnostic d’hypoglycémie à pratiquer le traitement décrit ci-dessus.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Quarante UI par jour.
.
Mode d’Emploi :
Injection par voie SC profonde ou éventuellement IM.
Le dosage est déterminé par le médecin et varie avec chaque malade traité.
Utilisation à température ambiante.
Autocontrôle pluriquotidien
et adaptation des doses en conséquence.